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Je ne faisais que regarder cet homme qui venait de rentrer dans la boutique d'en face. Je ne veux pas le rater à ça sortie. C'est sur qu'il doit être un de ce genre d'homme.

Il était assez classe. Portant un costume bleu, des lunettes de soleil, une barbe bien taillée. Il n'est pas trop mal puisque j'ai vu plus beau.

Cassi : qu'est-ce que tu regardes depuis la. Demande-t-elle en tournant sa tête sur le côté pour regarder dans la même direction que moi.

Je ne lui réponds pas et désigne la boutique de mon menton.

Cassi : ouais je vois bien la boutique tu veux qu'on jette un coup d'œil ?

Moi : non. En fait je viens de voir un homme assez sexy y entré. Dis-je piquant une frite de son assiette.

Cassi : arrête de me piquer mes frites c'est pas cool. Lance-t-elle furieuse.

Moi : alors on se le fait ? Demandais-je sans faire attention à sa remarque.

Sonia : moi je ne l'ai pas vu. Dit-elle mâchant ses fruits sans retenue.

Nous sommes au Macdo toute les trois et au lieu de l'importer, chose qu'on c'était dit de faire, nous voici assis à manger nos plats. Sonia et à côté de moi et Cassandra face à moi.

Moi : il sort, il sort. J'annonçais à l'égard de mes acolytes.

Elles se retournent et le visage de Cassi s'illumine instantanément. Faut croire que c'est son genre d'homme. Bien habillé, qui sens le fric à des milliers de kilomètres et qui n'est pas vilain à regarder. Même si elle préfère les bel hommes de loin, celui-ci n'est pas mal.

Cassi : c'est pour moi. Balance t elle avant de courir presque pour sortir rattraper son futur joujou.

Et dire que je l'ai vu avant elle. Sonia et moi se regardèrent et elle me lance un sourire désolée. Oui, Cassi vient de me piquer mon joujou, ouais c'est ainsi qu'on les nomme. Elle fait ça tout le temps enfaîte et ça ne m'étonne plus. Dès que je remarque un homme comme ça, Cassi se jette à son cou à la vitesse V. Elle aime trop les hommes classe et friqués. Pas que je traite ma copine d'une fille attirée par le fric non. Enfaîte le fric n'est pas un problème pour elle. Son père est assez riche pour que ça fille n'ait pas à envier quelqu'un, c'est juste qu'elle est attirée par les hommes importants.

Faut croire qu'elle est elle aussi le genre de femme qui attire la majorité des hommes.

Sonia : tu l'as connais mieux que moi. Dit-elle haussant les épaules.

Je ne réponds pas et me contente de soupirer. Je décide de regarder comment elle s'en sort avec lui. Et remarque que c'est à peine si elle ne se colle pas à lui. Je souris au moins si elle réussit à l'avoir on va aussi en profiter.

Quelques minutes plus tard elle revient avec un grand sourire scotché à ses lèvres. Elle l'a dans la poche. Elle reprend sa place face à moi et son sourire s'efface de suite alors que le mien apparaît.

Cassi : t'es pas sérieuse Tia. Commence-t-elle les sourcils froissés.

Moi : tu m'as qu'en même piquer mon joujou donc faut assumer. Dis-je avec un sourire amusé.

Cassi : n'empêche tu aurais pu t'emprendre à autre chose qu'à mes frites tu sais que je vénère la bouche moi.

Oui, j'ai manger ses frites avant qu'elle ne revienne. Elle l'a cherché aussi. Je hausse les épaules en guise de réponse et les me lance son plus mauvais regard. Je m'en fous.

Sonia : si vous avez fini on rentre. Dit-elle, pas trop intéressée par notre chamaillerie.

On se bouge et rentre à la maison. Nous sommes coloc toute les trois. Et on ne loue pas un appart, non on s'est payés un villa. Disons plutôt qu'on nous a payer un villa à Cassi et moi et on a demander à Sonia de venir vivre avec nous.

Arrivée à la maison je m'enferme dans ma chambre. Je me change pour porter un bas de jogging et un haut et écris à  Marie. Il est dix-sept heures et je lui demande de passer peut-être qu'avec les filles on va sortir aujourd'hui puisqu'on est vendredi et demain y'a pas de travail. Je me laisse tomber de tout mon long sur le lit en soupirant. Si Cassi elle vénère le manger, moi par contre je vénère mon lit.

***

J'ouvre les yeux les clignotants plusieurs fois et remarque par la fenêtre qu'il fait déjà nuit. je tourne ma tête de l'autre côté pour voir mon téléphone et tombe sur le corps de quelqu'un. Je me redresse sur mes coudes pour tomber dans les yeux de Marie.

Moi : tu es là depuis longtemps ? Demandais-je en m'asseyant les jambes pliées.

Marie : une heure. Répondit-elle simplement.

Moi : tu as vu les autres ?

Marie : oui assis au salon. Dit-elle en se levant.

Moi : pourquoi t'es pas avec elles ? Osais-je poser la question tout en connaissant la réponse.

Marie : sérieux ? Me questionne t-elle en froissant les sourcils. Les mains sur les hanches.

Moi : t'aurais du me réveillée alors, dis-je ne répondant pas.

Marie : pour que tu me pique une crise ? Non merci je préfère attendre.

Je descends de mon lit et sortie,  suivi de près par Marie. On descend au salon où on trouve Cassi avachie dans un fauteuil regardant la télévision, tandis que Sonia était assis sur le canapé en manipulant son téléphone. Marie et moi rejoignons Sonia sur le canapé.

Moi : alors, y'a quoi au menu aujourd'hui ? Demandais-je au fille.

Cassi : rien moi je suis fatiguée. Répondu t'elle.

Sonia : moi par contre je ne dirais pas non pour une sortie.

Marie : j'ai un pote qui organise une soirée aujourd'hui si ça vous tente. Propose t'elle.

Moi : bien sur que je suis pour, dis-je sans hésiter.

Cassi : puisque j'ai pas le choix, dit elle alors qu'on ne lui a rien proposé.

C'est tout Cassandra ça.

Marie : enfaîte si j'ai proposé et bien c'est parce que toi tu ne comptais pas venir.

Cassi : c'est sur que votre soirée sera nul sans moi. Avance t'elle en replaçant quelques mèches derrière son oreille.

Marie : Ti' dis à ta sœur que je ne veux pas qu'elle vient. Me demande-t-elle avec un ton dur.

Cassi : sa grande sœur tu veux. L'interpelle t-elle.

Mes deux acolytes ne s'aiment pas. Pourquoi ? Parce que Cassandra a piquer le mec de Marie. Pas que Cassi voulait du sérieux avec lui, non, elle l'a juste utilisé quelques semaines et la jeter comme avec les autres. Elle n'est pas vraiment méchante ma demi-sœur c'est juste qu'elle aime être le centre du monde.

Cassandra est ma demi-sœur. Son père et ma mère ce sont mariés quand nous avions 12 ans elle me donne quelques mois. Quand on dit que nous sommes sœur les gens ont tendance à ne pas nous croire. Et je les comprends. Cassi est une très belle femme pas étonnant que les hommes lui cours après. Âgée de 29 ans, elle fait 1m75, blonde au yeux bleu magnifique, elle a un nez tout pointu des lèvres fines charnues le corps très attirant avec des courbes, la peau très blanche augmentant encore plus sa beauté. Faut croire que mère nature a été très généreuse avec elle.

Quant à moi, je suis noire de peau, j'ai 28 ans et je fais 1m77, le visage long, les lèvres pulpeuses de gros yeux marron et des courbes trop grandes à mon goût, côté courbes je crois que de nous deux c'est moi que mère nature a gâter. Je ne suis pas trop mal mais je ne fais pas le poids face à Cassi même si y'en à qui pense le contraire.

Sonia elle est brune et Marie est rousse toutes belles.

Moi : laisse Marie tu sais que je n'irai pas sans elle. Dis-je non pas pour la défendre mais pour mettre les points sur les "i"

Marie : j'accepterai seulement si vous promettez de laisser votre mauvais côté ici.

Elle parle du fait que Cassi, Sonia et moi passons notre vie a entraînées les hommes dans nos lit les dépouiller et les jeter une fois fini.

Moi : c'est promis. Acceptais je pas sur que Cassandra s'abstiendra.

Traînées ? non, belles Salopes.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant