Tiana
J'ai demander à Ayron, le garde-corps de ma sœur de venir me chercher avant même qu'on atterrit. C'est donc lui qui nous a ramené, Miharu et moi. Devant la grille de notre maison, j'ai remarqué des hommes costauds, vêtus de costume s'y tenir. Mais j'ai pas porté plus d'attention.Je rentres dans la maison, suivit de près par Miharu. Pourquoi elle m'a suivit même ? Je dépose mon sac à main au pied des escaliers, imité par Miharu. Puis me dirige vers le salon où j'entends des voix. Dès qu'on pénètre dans le salon, les regards se tournent vers nous. Il y'avais Sonia et ma sœur.
Cassi : un seul chinois ne te suffisait pas, tu décides maintenant de devenir une garderie pour les chinois ? Me nargue-t-elle dès mon retour.
Je roule des yeux avant de répondre.
Moi : primo, Yaen n'est pas un chinois, mais un japonais. Secundo, je fais ce que je veux. Donc merci de foutre la paix à Miharu. Je fini agacé.
Cassi : je fais ce que je veux aussi petite sœur, donc si j'ai pas envie de foutre la paix à ta petite protégée c'est mon problème. Où, non, attends, c'est pas elle ta protégée, mais Yaen. Du coup, elle est quoi elle ? Elle demande pointant du doigt Miharu.
Moi : pas t'es affaires.
Cassi : Miharu n'est pas ? Est-ce qu'elle comprend au moins ce que je dis ? Me demande la blonde. Saaalut, mooii c'....eesst Caaa...ssan...dra, elle parle comme si elle s'adressait à un extraterrestre en faisant des gestes avec ses mains.
Moi : tu es ridicule, je lui fait remarquer. Bref, Miharu je te présente Cassandra, ma sœur et Sonia notre pote.
Miharu : bonjour, dit-elle en s'inclinant légèrement comme on salut chez eux, avec un léger accent qui la rend toute mignonne, ce qu'elle est déjà.
Sonia : salut Miharu, elle répond d'un ton joyeux.
Cassi : elle n'est pas entrain de me provoquer là, rassure moi. Parce que d'habitude chez eux quand une personne s'incline devant une autre, ça veut dire je suis prête pour t'affronter. Elle exagère dans son délire comme elle sait si bien le faire.
Miharu : non, c'est pour vous montrer mon respect envers vous. Elle essaie de s'expliquer.
Moi : perds pas ton temps avec elle. Viens je vais te donner une chambre. Je dis en me retournant.
Cassi : qu'elle ne perd pas son temps ? Je m'arrête net et refais face à ma sœur. C'est donc ce que je suis pour toi, une perte de temps ? Vas te faire foutre Tiana. Non seulement tu me laisse tomber, mais aussi tu veux me rendre la vie impossible ? Elle lève le ton.
Moi : Je t'ai laissé tomber ? Quand ça dis moi, quand tu m'as demandé de partir et de ne jamais revenir ? Je demande également énervé.
Non seulement j'ai à travers la gorge ce que Yaen m'a fait pendant ce séjour chez lui, et aussi j'ai pas oublié tout les mots horribles qu'elle m'a balancée avant mon départ. Ce jour la, j'ai tout mis sur le fait de son chagrin. Mais à bien réfléchir, elle n'avait tout simplement pas le droit de me parler comme elle l'a fait. Même si elle se sentait mal, elle n'avait tout simplement pas à me tenir responsable de son malheur. Tout comme Yaen n'avait pas à me laisser tomber comme une vieille chaussette dès qu'on a mis les pieds dans son pays natale.
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Traînées ? non, belles Salopes.
FanfictionLes hommes ont cette fâcheuse tendance de se venter au près de leurs camarades en disant qu'ils se tapent les femmes par milliers et les jeter comme des chaussettes après une nuit mouvementée. En plus qu'elles aiment ça et en demande toujours plus...