Traînées ? non, belles Salopes.

20

Tiana

J'ai pas pu fermer l'œil de la nuit , j'étais tellement pressé que le jour se lève. J'ai dû donc me résoudre a attendre le lever du jour. À peine les premiers rayons de soleil traversière ma chambre que je quittais mon lit pour m'apprêtée.

Une fois terminé, je me dirige vers la chambre de Miharu et toque. Elle vient m'ouvrir, tout habillée.

Je ne savais pas qu'elle allait sortir.

Je lui dit bonjour et la préviens que je partais travailler, qu'elle peut me contacter en cas de besoin. Je n'attends même pas de réponse que je me dirige vers les escaliers, mais j'entends ses pas, chose qui veut dire qu'elle me suis.

Miharu : dis, ça ne te dérangerai pas de me déposer à l'hôpital ? Me demande t-elle

Moi : non, bien sûr que non. Mais que vas-tu faire là-bas ? Je réponds en levant le regard sur elle.

Miharu : je vais voir Yaen pour l'attendre et rentrer avec lui comme tu me l'as demandé.

C'est vrai que c'est moi qui lui ai demandé ce petit service. Sur le coup j'avais même pas pensé à lui demander son avis. J'ai conclu toute seule, chose carrément irrespectueux de ma part. J'aurais dû lui demander son avis.

Moi : au fait, je voulais m'excuser pour hier. J'ai décidé que tu allait raccompagner Yaen sans ton consentement. Tu peux refuser, je ne t'en voudrais pas tu sais et je suis vraiment désolée. Je lui dis alors qu'on arrivait à ma voiture.

Miharu : oh, t'inquiète pas. Ça me fait vraiment plaisir. Et puis je l'ai suivi dans ce pays pour m'occuper de lui. Répondu-t-elle

Je ne dis rien ne sachant pas quoi répondre. J'ouvre la portière puis pris place devant le volant suivi par Miharu. On se mit en route sans plus tarder.

***

La porte de mon bureau s'ouvre sur les Steak. Janette et son idiot de frère bien évidemment. Je me lève pour les accueillir et les invite à prendre place sur le canapé tout en quittant ma place pour les suivre.

Janette portait une robe courte en dentelle noire qui lui allait à ravir, ses cheveux étaient attaché dans un queu de cheval. Elle était magnifique. Elle me salua avec un sourire chaleureux avant de prendre place. Quant à son frère. Il était dans un caustard noir sans cravate avec les deux premiers boutons de sa chemise défait lui donnant une ère foutrement sexy, les cheveux coiffé vers l'arrière pour dégager son front, sa main gauche dans la poche de son jean, même si sa me fait mal de l'admettre il est carrément bien foutu le gars.

Ses yeux rencontrent les miennes et comme la première fois que nous nous sommes croisés, il me regardait froidement. Son visage ne montrait aucune émotion. Il était froid voir colérique.

Il s'est avancé jusqu'à moi. Entour m'a taille avec sa main droite, en enlevant la gauche de sa poche puis déposa délicatement ses lèvres sur ma joue. Il me salua d'un "bonjour chérie" comme si c'était normal.

Dire que j'étais surprise serait un euphémisme. Comme si de rien était, il attrapa ma main pour me tirer à sa suite. Une fois près du canapé il prit place avec moi sur ses jambes, sans me laisser la possibilité de comprendre ce qui m'arrivait.

À quoi il joue encore ? J'ai bien compris qu'il comptait me pourrir la vie, mais il n'a pas besoin de jouer le jeu devant sa famille.

Moi : Monsieur Steak arrêtez ! Commençais je en essayant de me lever de sur lui.

Mais n'étant pas du même avis que moi, il me tira jusqu'à ce que je sois carrément assis sur ses cuisses puis encercla ma taille de sa main.

Jordan : c'est plus la peine de faire semblant chérie. Tu as oublier que tout le monde est au courant ?