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Jordan suite

Pas corriger et bonne lecture.




Ma tête dans le cou de ti', je mordille sa peau douce et sucré. Je l'embrasse et la suce. Ses gémissement me rendent fou. Mes mains n'ont toujours pas quitter ses tendre fesses.

Je reprends ses lèvres. J'ai l'impression de découvrir des lèvres pour la première fois. Notre baiser s'enflamme, hâtive, nos lèvres se cherchent, se découvrent, s'épousent. C'est bon, brûlant. Le souffle nous manque et on met fin à notre baiser.

Le souffle court, nos front collé. On se regarde dans les yeux. Nos respirations sont rapides, brusque. Au bout d'un moment, notre respiration se stabilise et on se détache. Tiana me regarde quelques secondes avant d'ouvrir grandement les yeux. Elle vient de prendre conscience de ce qui vient de se passer. Elle bafouille un.

- Excuse-moi.

Et fuit vers l'entrée. Je n'essaie même pas de la retenir parce que je ne comprends pas ce qui vient de se passer aussi. Je l'ai embrasser. Je l'ai tripoter et j'ai beaucoup aimé. Je sais que je n'aurais pas du et surtout que ça n'a aucun sens, on est pas un vrai couple, mais je n'ai qu'une envie, c'est de recommencer encore et encore.

Qu'est ce que je raconte comme connerie ? Je ne devrais pas. Je ne dois pas me laisser aller. Je ne peux pas me permettre de ressentir une telle désir pour elle. Même si mes actes prouve que je suis déjà atteint, je ne dois pas l'accepter. Il en est hors de question que je ressens ce genre de truc pour elle.

Je passe ma main dans mes cheveux et souffle. Comment je vais faire, si rien que l'embrasser me met dans une situation délicate qu'en serait-il de lorsque j'aurai couché avec elle ? Pourquoi j'ai même proposé ça comme solution pour pas qu'elle aille voir ailleurs ? Je ne dois pas coucher avec elle. Non c'est beaucoup trop risqué. Je dois trouver une solution. Mais quoi ? Elle m'a clairement fait comprendre qu'elle ne se priverait pas pour moi.

Je souffle agacé. Me parler à moi même me fatigue trop. Je de boutonne les deux premiers boutons de ma chemise et me retourne pour me rendre à l'intérieur. Je me dirige vers le bar qu'ils ont installé pour la soirée et demande de l'alcool que je bois d'un coup. J'en demande un autre qui subit la même procédure que le précédent et pars m'installer sur le canapé qui fait face à la piste de danse.

Je vois les gens se trémousser, se coller et s'embrasser. Ils sont tous déchirer ces cons. Yaen, sorti de nulle part vient s'asseoir à côté de moi.

- Tiens, te voilà je ne t'ai pas vu depuis mon arrivée. Lance-t-il en prenant un gorgé de la bière qu'il avait dans sa main.

Je comprends mieux pourquoi il est pas aussi déchirer que les autres.

- Ouais moi aussi. Dis-je

J'ai pas envie de m'épuiser à beaucoup parlé, du coup je m'abstiens de lui dire que j'étais là quand il nous a appris le compte à rebours.

- Tu t'amuses sinon ? Continue l'asiatique.

- Ouais à fond.

- Elle est passée où ta meuf alors ?

J'ai envie de lui arracher la tête, là tout de suite. Il me soûl avec ses questions sans fin.

- 'sais pas, je marmone dans ma barbe pour qu'il me lâche.

- Tu-

- La soirée déchire. Ça fait un moment que j'ai pas autant profiter d'une soirée comme ça.

Mon frère vient de couper la parole à Yaen sans s'en rendre compte. En plus il s'est assis à côté de moi cet enfoiré. J'ai envie de lui demander de se casser mais il serait prêt à venir s'asseoir sur moi pour me faire chier, du coup je ne dis rien et puis s'il reste je me contenterais de les regarder discuter tout les deux.

Traînées ? non, belles Salopes.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant