Moi : je ne sais pas, je réponds pas trop intéressée à ma mère.
Cassi : mais bien sur que tu sais. Répondit-elle plus savante que moi.
Moi : le choix me revient que je sache. Je dis furieuse.
Cassi : ouais mais si t'es pas foutus de prendre le bon choix faut bien que quelqu'un le fasse pour toi. Continue la blonde.
Moi : et ce quelqu'un c'est toi hein ? Demandais-je en haussant le ton.
Cassi : t'as tout compris.
Moi : mais mêle toi de ce qui te regarde pour une fois, merde. Je fais toute rouge de rage.
Papa : bon calmez vous les filles. Ma chérie ta sœur a raison le choix lui appartient, laisse là faire ce qu'elle. Me défend Patrick.
Nous sommes tous à table et Cassi veux me faire passer pour la méchante, la moins expérimentée, la moins intelligente, comme à chaque fois qu'on se retrouve en famille. J'aime Cassi je l'aime vraiment mais des fois elle est vraiment insupportable.
Moi : merci papa, dis-je toujours furieuse.
Maman : du coup tu vas réfléchir ? Continue-t-elle le sujet qui fâche.
Moi : maman ? Fais-je las.
Maman : écoute chérie je sais que tu ne veux pas faire un pas en avant et dix en arrière. Mais on parle de ton avenir, tu peux faire un succès fous avec ça tu seras connue mondialement. Tu deviendras la plus grande styliste du monde, donc je pense que tu ne devrais pas hésiter chérie.
Moi : tu sais ce que ça veut dire être mondialement connu ? Je demande.
Papa : être très riche ? Dit il en faisant des vagues entre ma mère et moi.
Moi : non. Mais ça veut dire plus de liberté. Tu ne peux même pas chier sans être vu par quelqu'un qui apparemment apprécie ta vie plus que toi même. Je ne veux pas être sans arrêt sous les projecteurs. C'est à peine si je peux les éviter même maintenant.
Cassi : je suis toujours sous les projecteurs mais j'ai pas l'impression que ma vie est aussi merdiques que ce que tu veux faire croire. Dit elle
Moi : tout le monde ne veut pas être le centre du monde. Rétorquai je.
Papa : tu sais chérie de nos jours tout ce qui compte c'est se faire un masse de fric. Tu ne devrais pas porter trop d'importance à ce que les gens disent ou pensent de toi.
Moi : je vais réfléchir, donnez moi au moins quelques jours.
Patrick est vraiment le seul qui peut me faire changer d'avis. C'est mon idole. N'ayant pas connu mon père, j'ai compenser son absence par Patrick et lui et moi on s'entend très bien comme ma mère avec Cassandra.
***
Je suis allongée sur le canapé mes jambes sur le dossier du canapé et ma tête sur les cuisses de Yaen. Nous regardons la télévision chez Yaen sans vraiment regarder puisqu'on ne fait que causer.
Moi : t'en penses quoi du coup ? Je demande.
Yaen : tu sais bien que je suis cent pour cent avec toi peu importante ce que tu décides. Me soutien t'il.
Moi : je sais mais ton avis compte plus que tout babe, c'est ta version que je veux entendre. J'insiste.
Yaen : qu'est-ce que tu veux vraiment ? Demande mon beau japonais.
Moi : non s'il te plaît c'est très important pour moi yaenniiii. Je dis en me redressant pour m'assoir les jambes pliées sur le canapé.
Yaen : d'accord d'accord. Tu sais que je ne veux que ton bonheur, me demande mon meilleur pote, je hoche la tête et il continue. Alors pour moi, fonse et n'hésites pas je sais que tu peux y arriver j'ai confiance à ma princesse, il m'attire à lui pour que je monte à califourchon sur lui.
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Traînées ? non, belles Salopes.
FanfictionLes hommes ont cette fâcheuse tendance de se venter au près de leurs camarades en disant qu'ils se tapent les femmes par milliers et les jeter comme des chaussettes après une nuit mouvementée. En plus qu'elles aiment ça et en demande toujours plus...