Nous venons toutes de rentrer dans l'appart de Samuel, l'ami de Marie. Il règne une ambiance de dingue ici. L'odeur de l'alcool et du fumé vient envahir mes narines, tandis que la musique assourdissait mes oreilles. je regarde les filles qui elles étaient plutôt à l'aise puisque Sonia bougeait son corps s'éloignant de nous Marie qui souriait amusé et Cassi elle disparaissait dans la foule.
Un garçon brun très élancé portant une chemise noire manches longues, ouvert sur le torse un jean noir, très séduisant s'avançait vers nous. Il fait la bise à Marie une fois à sa hauteur et porte ses yeux émeraude sur moi. Ses yeux sont déstabilisants.
Marie : Sam je te présente Tiana ma copine dont je t'ai parlé. Me présente t'elle à son ami qui la tenait par les hanches. Ti' lui c'est Samuel un pote. Finit elle.
Sam : je me sens vexé là. Moi qui m'attendait à ce que tu me présente comme ton copain, fait il boudeur.
Il était trop craquant. Je vous jure le visage carré, les sourcils très noirs et bien taillés, des lèvres fines un nez bien dessiné. C'est sur qu'il doit faire mouiller plus d'une avec sa gueule.
Moi : ravie de te rencontrer Samuel. Dis-je mettant fin à mes pensées malsaines.
Sam : pour toi c'est Sam tu es une amie de Marie alors moi aussi, me tend t-il sa main que je sers vite fait. Bien amusez vous bien les filles. Nous sourit-il avant de partir.
Je l'ai dit je crois, mais il est trop craquant, putain de craquant même.
Marie : je vois ta culotte déjà mouillée pour lui, mais je te retiens Sam n'est pas un jouet, donc merci de bien vouloir éviter de coucher avec lui, je souris, mais elle prend un ton qui se veut dur. Sans blague Ti ne couche pas avec lui, abstiens toi du mieux que tu peux. Aller babe faisons la fête. Me planta-t-elle en se déhanchant les mains en l'air comme si elle ne venait pas de presque me menacer pour que je me tiens loin de ce gars.
On dirait bien que Marie à un faible pour quelqu'un. Je soupir et me dirige vers le bar pour me trouver à boire. je m'assieds sur la chaise les mains sur le comptoir et demande au barman de me servir quelque chose de fort. Je bu le contenu d'un coup sec et me lève pour aller danser à mon tour.
Je souris comme une idiote en tournoyant sur moi même. J'ai très chaud mais l'homme avec qui je danse est trop canon pour que je veuille arrêter, je ne sais pas qui s'est et je m'en fiche, ses yeux d'un vert profond sont les seuls choses qui me semblent familier. Je crois que j'ai trop abusé de l'alcool. Il pose ses mains sur la chute de mes hanches et m'attire à lui, en profite pour plonger sa tête dans mon cou pour déposer quelques baisers.
...- ça te dit qu'on se trouve une chambre ? Me murmure-t-il à l'oreille.
Moi : chambre j'aime troooooop, je répondis toujours souriant.
Il me tire par la main pour m'amener je ne sais où. A peine ai-je entendu une porte claquée que des lèvres s'écrasent sur les miennes. La personne m'embrassait comme s'il goûtait pour la première fois des lèvres. Il me pousse sur un lit et monte à califourchon sur moi, reprenant mes lèvres. Il m'embrassait avec fugue, mordant ma lèvre inférieure pour se frayer un passage, non langues valsaient. Il me déshabilla à la vitesse V et fait de même avec ses habits avant d'écarter mes cuisses et s'y mettre, jel'enroule automatiquement de mes jambes. Il s'enfonça en moi sans douceur après avoir porter une capote et commença ses coups de reins les uns plus puissants que les autres. C'était tellement bon. Je gémissait sans pouvoir m'arrêter, baladant mes mains dans ses cheveux.
...- putain t'es trop bonne. Lâche-t-il le souffle saccadé.
Il augmenta dans ses coups m'amenant vers les étoiles. Après une longue durée, il juit enfin et se laissa tomber sur moi.
***
J'ouvre les yeux en grimaçant. J'ai un mal de crâne horrible. J'examine l'endroit où je me trouvais et c'est pas ma chambre en plus je suis toute nu. Je me presse de me rhabiller du mieux que je pu et ramasse le reste pour filer loin d'ici. Je ne prends même pas le temps de regarder le mec avec qui je viens de coucher même si j'ai beaucoup aimé.
Je ne sais par quel miracle suis rentrée hier nuit, mais me voilà assis sur une des hautes chaises de la barre de la cuisine avec une bol de céréale en main. J'essaie de me remémorer ce que j'ai foutus hier. Après avoir vidé le verre, je suis partie danser puis je suis retournée boire d'autres verres et c'est là que tout à déraper. J'ai danser avec un inconnu au yeux émeraude, coucher avec lui et rentrer tard à la maison. Enfin je me suis réveillée avec une gueule de bois, pris des médocs et fini dans la cuisine à onze heures.
Les yeux émeraudes ??? Je ne sais pas mais ça me rappelle quelque chose. Je n'arrive pas à trouver ce qu'est, mais j'ai l'impression de déjà vue.
Quelqu'un entre dans la cuisine, ouvre le frigo pour se servir je ne sais quoi et viens s'asseoir près de moi. Je relève la tête et tombe dans les iris de Cassi, et merde j'ai paniqué.
Moi : tu ne pète vraiment pas la forme, on dirait un zombie, lui avais-je avouer.
Cassi : je ne sais pas ce que j'ai foutus hier mais je ne suis vraiment pas beau à voir. Je me rappelle seulement avoir couchée avec deux mecs. Dit ma belle blonde.
Moi : ouais, je réponds sans plus.
Cassi : tu sais le mec d'hier que je t'ai piquée ? Demande Cassi.
Moi : uhm, affirmais-je la bouche remplie.
Cassi : et bien il m'a invité ce soir. Contiua-t-elle.
Moi : cool alors. Ne tarde juste pas puisque tu sais que les parents veulent passer ce dimanche en famille et j'ai pas envie de me présenter près d'eux sans toi.
Cassi : j'ai un casting t.....
Moi : je t'arrête, la coupais-je. Je suis au courant pour ton casting, mais c'est pas demain donc ne cherche pas d'excuses. Demain on passe la journée en famille. Dis je en me levant pour sortir.
Cassandra est un mannequin, elle passe son temps à voyager et à faire des séances de photos. Elle n'a jamais le temps pour rendre visite à nos parents et je crois que ma mère en souffre un peu, même si elle aussi n'a jamais le temps. Avocate réputée pour ne jamais avoir perdu un seul procès, ma mère passe son temps dans les voyages d'affaires, son bureau et les tribunaux. Rares sont les fois où on peut vraiment se retrouver en famille.
Patrick, le père de Cassandra, lui aussi n'est pas mieux. Un très grand homme d'affaires, Patrick est toujours noyé dans son travail, une bonne partie de son temps au bureau et l'autre dans les voyages aussi. Faut croire que notre famille c'est retrouver. Et moi n'est-ce pas ? Et bien moi je suis dans la mode. Je suis une styliste très convoitée. J'ai mon propre atelier et je suis chef de moi même. Je crée des modèles de haute gamme et je suis très connue. Nombreux sont les artistes qui veulent être habillés par moi.
Toute notre famille est toujours sous les projecteurs, sauf moi bien évidemment. J'évite la paperasserie du mieux que je peux moi. Peu sont ceux qui me connaissent de visage, la plupart ne me connaissent qu'à travers mon nom complet que je ne révèle pas très souvent.
***Marie : je t'avais dit de ne pas l'approcher. Hausse t'elle la voie furieuse.
Moi : mais de quoi tu parles ? Je demande confus.
Marie : de Samuel, tu as coucher avec lui hier soir alors que je t'avais bel et bien interdit de l'approcher.
Les yeux émeraudes.
Moi : oh merde ! Je suis désolée Marie je ne l'ai pas fait exprès j'étais ivre, je suis vraiment désolée. Dis-je honteuse de ce que j'ai fait.
Marie : tu mens je te connais assez pour savoir que tu couche avec le premier venu, j'aurais jamais dû vous invité, t'es pas mieux que ta sœur en fin de compte. Me balance t'elle à la gueule avant de sortir claquant bien fort la porte.
Je crois que j'ai vraiment merder et j'aurais pas dû, mais c'est pas ma faute j'étais ivre. je suis tellement désolée si j'ai gâchée ses chances avec lui, mais comme je l'ai dit avant, je ne l'ai pas fait exprès, j'étais ivre. J'espère juste qu'elle arrivera à me pardonner. Je vais aller voir ce Samuel pour lui faire ouvrir les yeux pour pouvoir récupérer mon amie, mais pour ça, il me faut de l'aide et venant de qui ? De mon amour de cœur. Mon frère d'une autre mère.
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Traînées ? non, belles Salopes.
FanfictionLes hommes ont cette fâcheuse tendance de se venter au près de leurs camarades en disant qu'ils se tapent les femmes par milliers et les jeter comme des chaussettes après une nuit mouvementée. En plus qu'elles aiment ça et en demande toujours plus...