Après avoir atterri, trois grosse voiture, noir, blindé nous attendaient avec chacune deux garde-corps qui se tenaient devant, les mains joignirent dans leurs dos. Nous sommes monter dedans et nous voici maintenant devant la porte de leurs grande et magnifique maison. Ses parents sont à un pas de l'entrée face à nous, avec deux servantes dans leurs dos.
Les parents de Yaen portaient des habits propres au Nippon, le père de Yaen avait les traits fatigués, on aurait dit qu'il use d'une force surnaturelle pour se tenir sur ses pieds, alors que sa mère avait dans les yeux la joie de vivre.
Yaen : pa' ma' bonjour, il commence s'inclinant légèrement vers l'avant. Je vous présente Tiana ma copine.
Je limite et dis bonjour à mon tour. Le visage impassible de ses parents s'est refermé encore plus. Ils nous ont invité à rentrer, ce qu'on a fait. Les servantes ont pris nos bagages qu'elles ont ramené dans nos chambres sûrement. On se dirige vers le salon, et s'est installé sur les canapés faites de bois. On nous sert du thé, thé que j'ai voulu refuser, mais que Yaen m'a chuchoté de m'abstenir car ça serait vu comme un manque de respect. Après avoir chacun déposé notre tasse de thé, la discussion s'installe.
Wu : tu as fait bon voyage? Demande le père de Yaen à son fils.
Yaen : oui pa' merci.
Wu : bien, tu ne nous as pas dit que tu serais accompagné. Continue l'homme au visage fatigué.
Yaen : c'est une surprise pa', affirme le noiraud.
Jia : et si on ne voulait pas d'elle ? Ouvre-t-elle enfin sa bouche.
Yaen : je l'aime ma', donc vous allez l'aimer aussi. Je vous ai tant parlé d'elle mère. Il dit en prenant ma main dans la sienne.
Jia : c'est elle ti'? Elle demande ouvrant grand les yeux, Yaen hoche la tête, mais tu disais que c'est une amie seulement une amie yu. Fini la mère de mon faut copain.
Yaen : y'a qu'un pas entre l'amitié et l'amour et j'ai franchis cette barrière. Déforme yaenni le vrai proverbe.
Wu : pan ! Il lève un peu la voix.
Une servante vient de suite s'incliner devant nous, et le père de Yaen lui dit d'aller chercher quelqu'un pour lui. La jeune femme disparaît dans l'allée, avant de revenir quelques instants plus tard accompagné par une autre femme qui avait la tête baissée. La servante s'excuse avant de partir, et le père de Yaen demande à la femme de venir s'asseoir près de Yaen, ce qu'elle fit, la tête toujours baissée.
Wu : elle c'est Miharu, celle qu'on ta choisi comme future femme, on l'a invité à passer quelques jours ici pour faire plus connaissance avec toi. Finit il son discours.
Je ne sais pas pourquoi mais mon regard s'est assombri, je crois bien que j'aime pas les parents de Yaen, encore moins cette fille qu'on veut lui coller. Je ressert sa main sans m'en rendre compte, ce n'est que quand il cherche mes yeux du regard et me sourit que je compris, en relâchant prises.
Yaen : pa' est-ce qu'on est obligé d'avoir cette discussion là maintenant ? Il questionne son père sûrement pour m'éviter d'assister à ça. Et je l'en remercie silencieusement.
Jia : tu ne veux pas que ta copine sache qu'elle ne serait jamais plus qu'un plan cul ? Elle demande croyant que je ne comprenais rien de ce qu'elle dit.
Je regarde Yaen et il me sourit comme il sait bien le faire quand il ne sait comment s'y prendre.
Yaen : ma' tia sera tout sauf un plan cul, je l'aime plus que tout au monde ma' je donnerais ma vie pour elle. Il répond à sa mère tout en me regardant.
VOUS LISEZ
Traînées ? non, belles Salopes.
FanfictionLes hommes ont cette fâcheuse tendance de se venter au près de leurs camarades en disant qu'ils se tapent les femmes par milliers et les jeter comme des chaussettes après une nuit mouvementée. En plus qu'elles aiment ça et en demande toujours plus...