Maintenant que tu n'est plus là ( Aokaga )

Kagami Taiga

Au bout de 20 minutes de marche nous atterrissons devant un magnifique bâtiment, il n'est pas épeurant comme un hôpital normal. Les mur son en brique blanche, mais dessus il y a des dessins qui ressemble a ceux d'un enfants, des soleil, des licornes, des arbres, des arc-en-ciel, il y a de quoi créer un vrai univers magique. L'immeuble fait 3 étage et doit faire un plusieurs mètres de long, sait vraiment grand. À côté de celui-ci il y a un parc d'enfants entouré part une clôture blanche avec des fresques de fée et de lutin, on ne peu y accéder que part l'intérieur de l'hôpital. Derrière le parc se trouve un terrain de sport avec une piscine rectangle de taille moyenne.

Sur la devanture de l'immeuble et marquer en grand «  sos » en rose et bleu.

- en effet, sait plus convivial que un hôpital normal

D- je te laver dit

Je suis Aomine qui lui pénètre dans l'établissement, nous arrivons dans un accueil, il y a des chaise d'attente et une dame derrière un gros comptoir en forme de demi rond qui traîne au milieu de la pièce. Le plancher et en bois, les mur blanc, y a des main fait avec de la gouache sur les mur, en dessous se trouve le nom des enfants. Je me prête au jeu et cherche celle de Daiki Aomine. Je la trouve au bout de quelques seconde.

- ta main était tout petite...

Il ricane.

- normal j'avais 11 ans quand je suis arrivé ici

Je reporte mon attention sur les lieux, sur l'autre mur se sont les photos des enfants ainsi que leurs nom pour les identifier.

Y a des plante de toute sorte un peu partout, la décoration et chic mais sobre, sait vraiment accueillant.

La porte de l'hôpital s'ouvre sur un policier tenant un petit garçon de 2 ans qui pleure a chaud de larmes, il a des contusions un peu partout, la dame derrière le comptoir et deux médecins se précipite verre lui, la dame pour le rassurer et les deux médecins pour évaluer les dégâts.

D- un nouveau...

- sa l'arrive souvent des nouveaux ?

D- trop souvent.... 1 fois part semaine sait trop.... sait pas normal qu'on souffre autant

- pauvre petit... toi quand tes arriver ici sa sait passer comment ?

D- je crier et je me debater contre le père de Kise, il ma amené ici sans que je le sache, quand j'ai compris que s'était un hôpital, je me suis accroché a sa jambe puis je les taper si fort qu'il a était blessé. J'étais terrorisé des hommes ... chaque fois qu'un homme s'approcher je hurler, je le mordez ou je me cacher sous une chaise, il mon attraper mon attacher sur une civière avec force la tête en bas. J'étais immobile et a cause du sang qui monter dans ma tête j'avais mal a celle-ci. Mais j'en démordez pas j'essayer des morde, je les insulter. Ils on était forcé de me piquet, je me suis endormi, a mon réveille j'étais attacher dans un lit, une psy dans la pièce. Je les écouter... s'était une fille, je me disais qu'elle pourrait rien me faire, on na parler un long moment, elle ma detacher du lit ma serrer contre elle et ma dit que tout irait bien... les jour qui on suivie elle revenez souvent me voir, me parler... puis un jour elle est pas venue, jai pris mon courage et je suis allé voir un médecin qui ma annoncer que son mari l'avait tuer part jalousies car elle le tromper. A partir de la... sa la était une catastrophe

Je l'écoute sans un mots, toucher et intéresser part son histoire. Sait fou comme il a du vécu alors que nous n'avons que 16 ans...

D- je me suis enfermé dans ma chambre, en menaçant de s'ôter de la fenêtre si on s'approcher de moi, j'étais au troisième étage sa m'aurait était fatale, je pleurer en me disant que s'était ma faute... que je l'avais tuer, parce que j'étais gay. Ma mère était morte et maintenant elle... je me senter coupable. Si Kise n'était pas rentré dans la pièce et m'avait pas parler j'aurais sauté. Après sa il mon transfer de chambre, je suis au rez-de-chaussée maintenant. Dans la zone a grand risque, dans cette zone y a des sal d'isolement, des sal d'opération puis des chambre.