* Précision avant le chapitre, j'ai pris un malin plaisir à lire les commentaires du dernier chapitre. Est-ce que j'aime briser le cœur des gens ? Oui. Est-ce-que cette torture va s'arrêter ? P.A.S D.U T.O.U.T
Ensuite, beaucoup n'ont pas compris le passage avec la forêt et l'hôpital mais pourtant la réponse est donnée entre les chapitres 50-60. Sachez que je ne laisse rien au hasard et quand analysant bien des passages qui sont passés inaperçus, je donne la fin du livre The Night. D'ailleurs même dans le début du livre je disais déjà sur la malédiction. Donc prenez votre temps et lisez bien entre les lignes.
J'ai vu qu'il y'a beaucoup de personne qui pensent que (T/P) est l'une parmis des milliers de copies, un peu comme Méliodas et Elisabeth. Mais non, il n'aura qu'une seule et unique "copie" en 376 ans et que si Livaï la perd, ça sera définitivement et fin de l'histoire. Il n'y aura plus d'autre copie. Je suis désolée si je me suis mal exprimée dans l'écriture...
Ensuite, beaucoup de personne font de théories sur la fin du livre. Mon but n'est pas de faire une fin heureuse ( Du style les Bisounours, ou ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, de toute façon dans mes histoires n'y aurait pas de vrai happyend) Ni d'ailleurs faire de fin horrible où vous allez pleurer toute les larmes de vos coeurs car j'aurai tué sans aucune raison les personnages. ( Enfin peut-être) D'ailleurs, vous imaginez quels fin ? Pensez-vous que je pourrais tuer des personnages principaux ? 😏
Pendant qu'on y est, certains d'entre vous m'ont dit que la reader a changé depuis le début de l'histoire à maintenant, en terme de psychologie ect... Est-ce que d'autre ont vu ce détail ?
Bref, bref, trêve de discussion donc bonne lecture !
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Je me réveillais doucement et lentement, comme si j'avais fait un long rêve. Mes yeux papillonaient et ma vision devenait plus nette au fil des secondes, je faisais face à un plafond délabré, une odeur de moisie et d'humidité agressait mes narines. Je grimaçais en sentant une douleur lourde dans mon corps. Je sentais comme une sensation de pression dans mes doigts, mes mains, mes bras et le reste de mon corps. Je ne voyais presque rien par l'obscurité, pourtant au premier abord, j'étais dans un couloir.
Je m'assoyais d'un geste lent et désordonné, ma tête tournait tandis que d'une main molasse je la posais sur mon front. Mon corps vacillait doucement tandis que j'avais l'impression d'être dans un état de transe. Je tournais ma tête en me trouvant au beau milieu d'un couloir lugubre et délabré par le temps, le malaise et la panique m'envahissaient par l'atmosphère terrifiante qui s'émanait de ce lieu. Ma bouche devenait aussi sèche que le Sahara et je me levais en désirant juste quitter cette endroit, je ne savais même pas comme j'étais arrivée ici.
