Pour ceux qui sont mal à l'aise avec les scènes mature, sautez directement ce chapitre !
Sinon pour les autres, bonne lecture !
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Livaï avait posé ses mains sous mes fesses pour tenir contre lui tandis que j'embrassais chaque partie de son visage, j'enlaçais étroitement mes jambes autour de sa taille. Il libéra sa main pour ouvrir la porte de sa chambre, il me faisait descendre en fermant la porte derrière lui. Mes doigts attrapaient le cuir marron de sa ceinture pour l'attirer contre moi, nous nous regardions avec intensité et désir. Son torse se bombait et il retenait sa respiration lorsque je débouclais sa ceinture pour la faire glisser. Le métal contre le sol cassait le calme, un soupir s'échappait de mes lèvres lorsqu'il étreignait fortement mon corps contre le sien..
Je me redressais pour saisir délicatement ses lèvres fendues, je savais que c'était sa première fois et qu'il ne savait comment s'y prendre. Mais je voulais le rassurer dans ce baiser doux et tendre, je sentis ses muscles se détendre lentement. Je prenais sa main pour le guider jusqu'au lit, mon coeur battait à tout rompre dans ma poitrine tandis qu'il me faisait doucement allonger contre les draps bleus marines. Son genou s'installait entre mes jambes pour se mettre à genoux devant moi en répondant à mon baiser avec hésitation. Je me redressais et attirais son visage contre le mien dans un geste hâtif pour approfondir nos baisers enfiévrés.
Nos respiration se mélangeaient alors qu'il posait sa main sur ma joue en la dérivant doucement dans mes cheveux. Je faisais de même et passais mes mains sous son chemisier en caressant délicatement sa colonne vertébrale, il humait dans notre baiser en fermant fortement les yeux. Je le sentais frisonner contre moi, on venait rompre notre baiser en haletant légèrement.
— Tout va bien ? Je demandai tendrement.
Livaï me fixait avec timidité et hochait de la tête en ne pouvant s'empêcher de rougir, il était si adorable. Je caressai son bras d'un geste lent et rassurant pour tenter de le réconforter. Il me regardait de ces yeux d'acier en embrassant ma joue et descendait ses lèvres jusqu'à mon cou, je fermais les yeux et mordais ma lèvre lorsqu'il trouvait directement l'endroit qui me faisait frissoner de plaisir. Je me mordais la lèvre inférieure en sentant sa langue douce et chaude goutter à ma chair pendant que je nous fis délicatement allonger. À mon plus grand bonheur je sentais son corps robuste épouser le mien. Je sentais mes bourgeons roses qui se durcissaient sous mon tee-shirt, ma poitrine était collée contre ses pectoraux.
— Ho Livaï ! Murmurais-je en me cambrant contre lui lorsqu'il aspirait ma peau.
Je pouvais constater que son désir s'agrandissait contre mon bas ventre. Je saisissais ses mèches de cheveux et mon bas dos quittait la surface dure du matelas, je me plaquais contre son torse en sentant sa main tremblante et hésitante passer doucement sous le tissu doux du tee-shirt pour caresser ma taille. Je frissonnais en sentant ses doigts parcourir les courbes de mon buste, je restais ma tête contre l'oreiller laissant faire Livaï.
