Nous sommes arrivés à l'aéroport, déjà, tous passe si vite j'ai même pas le temps de prendre conscience de notre départ qu'on est déjà partis...
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Il commence à faire nuit, les lumières commencent à éclairés Paris. Dans la rue, peu de voiture roule. Il n'y a que quelques gens dans l'aéroport. On est, en hiver et personne ne voyagent, enfin presque. L'aéroport est géant !
Nous sommes assis sur des chaises en fer bleu, en attente de l'avion, on à 8h de route, j'espère que je serais à côté de John.
J'ai ma valise entre mes jambes, les grandes vitres qui constituent l'aéroport me laisse la vu sur la ville éclairée, et en particulier la tour Eiffel. À côté de moi, il y a John, il lit un livre. Tandis que Mona, écoute encore sa musique. Maman et papa sont partis chercher les billets. Je commence à être fatiguée, ça deviens difficile de garder mes yeux ouverts.
J'ouvre alors mon livre et commence ma lecture, je ne veux pas dormir ici, j'aurais des courbatures en me réveillant et puis on sait jamais si ils m'oublie là.
-Qui a faim ! Demande maman.
-Non merci, j'ai déjà mangé avant de partir. Réponds John, on peut pas dire qu'il a mangé il veut surtout garder sa ligne, je sais pas comment il fait pour ne pas manger le soir !
- Vous les filles je parie que vous avez faim ?
- Oui !!!
Elle nous tends des sandwich aux poulet crudités que nous attrapons à notre tour.
- Elena, tu es triste de partir? Demande Mona en croquant dans son sandwich.
-Oui, et toi Mona? Répondis-je en exécutant le même geste.
- Non, j'en est marre de cette ville, les gens n'acceptent pas mon style. Peut être qu'à New York ils accepterons...
Je suis sûre qu'au fond Mona est une fille superbe, mais elle cache souvent ses émotions et elle est très insolente envers papa, ce qui me dégoûte vraiment, en sachant qu'il est malade.
- Ouais peut être, moi je te trouve jolie. Dis-je sincèrement.
- Bon arrête un peu de faire la grande sœur modèle, et critique moi parce que le rôle de la gentille ça te va pas. Réponds-elle gênée.
Pour une fois que je lui fait un compliment elle trouve encore des problèmes, elle est lunatique cette fille c'est incroyable !
- Bon bah excuse moi mademoiselle la moche. T'es contente ?
Je me tourne, pour éviter le conflit.
J'ai une pressente envie de faire pipi au mon dieu !!!
- Maman je peux aller au toilette ?
- Vite on part dans 5min.
Je cours au toilette à la dernière minute , comme toujours. Lorsque quelqu'un me bouscule.
- Et mais fait attention ?
-Désolé, je suis pressé mon avion par dans 5 min et...
- Ouais c'est ça jmen fou dta vie, dégage.
Je me relève, mes larmes montent, il ne faut pas que je pleure ça lui donnerais raison. J'aimerais être comme Mona parfois. Ce mec la je l'aurai un jour !
Je sors des toilette et cours rejoindre mes parents qui était partis faire la queu sans moi.
- Vous m'avez oublié ?
- Non on a vu que tu parlais avec un jeune homme, charmant, on c'est dit que tu voulais faire le trajet avec lui.
- Il m'a bousculé, t'es sérieux la ?
- On rigole détends toi, petite sœur.
John et ses '' détends toi''... Comment est-ce qu' il veut que je me détende, on va changé de ville. J'appréhende mon entrée au lycée, je sens déjà que les filles là bas vont me jugées.
- On va faire la queu combien de temps la j'ai mal au pied ? Demande Mona d'un air agacée.
-On sait pas, tu n'avais pas qu'a mettre tes bottes avec ces énormes semelles... Exclame Maman désespéré.
Mona se tourne et souffle. Je l'a comprends parfois ma sœur, c'est dur dans cette société d'assumer son style, mais elle, elle y arrive malgré les remarques déplacé de maman. Dans ma famille, celle qui veut toujours qu'on soit parfait et modèle, c'est maman. Papa et John s'en fiche de notre style ils nous aiment pour ce qu'on est, contrairement à maman qui elle a du mal. C'est pas pour autant que Mona ne s'assume pas.
La queu avance doucement, j'ai les mains posées sur les barres en fer, elles sont gelées, puis après pour embêter mon grand frère, je déplace mes mains dans son cou.
- Ah, mais c'est froid ? Elena, t'es débile ou quoi ?
- C'était une blague aller détends toi. Dis-je en souriant narquoisement.
Voilà, comme ça il comprends l'effet d'entendre à chaque fois '' détends toi'', je sais que lui aussi il stress, c' est ce qui me fait encore plus rire.
Ça y est, la queu est terminée, je passe mon ticket au Monsieur qui se tient devant nous, qui n'arrête pas de répèter à tue-tête : '' ticket s'il-vous-plaît''. Il est très grand et il porte un gilet jaune, qui n'est pas jaune d'ailleurs mais orange. Je me sens tels une star montant dans son avion privé, je n'ai jamais pris l'avion pour infos. J' angoisse un peu, j'ai l'impression d'avoir un énorme monstre qui n'arrête pas de se compressé dans mon ventre, c'est horrible.
Je me place sur un siège, les siège sont étonnement confortable, il sont colorés d'un beige éclatant. Je propose à John de s'installer à côté de moi, ce qu'il accepte sans hésiter.
- Ça va, pas trop angoissé ?
- T'inquiète pas et toi ?
- J'ai déjà pris l'avion donc pas trop mais on a toujours le stress c'est normal.
Je pense ce soir regarder 𝑁𝑜𝑠 𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, j'adore ce film.
Au faite je sais même pas où est Mona, je crois qu'elle est toute seule, ou à côté d'un inconnu, je sais pas.
Papa et Maman sont placés devant John et moi.
J'ai fait exprès de me placer vers la fenêtre car j'aime regardé les champs, les rivières, les maisons et appartements lorsque nous sommes en haut, c'est envoûtant, toute cette verdures que nous ne voyons pas quand nous trainons dans les rues de Paris. Ces doux nuages blanc, bleu incrustés sur le fond bleu du ciel. J'aime Paris, ma ville, je suis tombée amoureuse d'elle, mais malheureusement je dois la quitté alors j'essaye de le faire en beauté. Je scrute les paysages avant de quitter la terre, avant qu'on atteigne le sommet. J'essaie de me convaincre qu'à New York, tout ira mieux, surtout que papa ira mieux.
Il est tard, je me réveille brusquement, je m'étais assoupis, le silence règne dans l'avion, presque tous le monde dort. Seule les écrans des tablettes illuminent l'avion.
-Psss, John, tu dors?
Pas réponse. Quoi je suis donc là seule à être réveillée ? Quesqu'on s'ennuie dans un avion. J'écoute de la musique avec mes écouteurs, puis me rendors.
On est déjà presque arrivé, que ça passe vite quand on dort. John est réveillé, il déjeune. Il m'a laissé de côté un croissant avec du jus d'orange. Je mange donc ce qu'il m'a laissé.
Nous sommes enfin arrivés. Il fait à peine jour, le jour vient de ce levé.
Je descends de l'avion pleine de souvenirs de mon ancienne vie, mon ancienne ville. Il c'est passé tellement de choses là-bas, comment tout oublier le temps d'un voyage, impossible, pourtant, mon frère, ma sœur et ma mère semblent avoir réussi. Pourquoi pas moi ? Je suis peut être la seule à avoir réellement aimé ma vie avant ? C'était banal, mais je me plaisais. Il est temps pour moi de me faire à l'idée que je dois changer de vie, qu'elle soit meilleur ou pire, je n'est pas le choix.
Le temps est affreux, ça par contre ça change pas de Paris mais la sensation n'est pas la même.
Il y a du mouvement partout dans l'aéroport, les gens sont si pressés. Mais où vont ils tous.
Tout les panneaux, affiches, rues sont écrits en Américain, comment je vais faire... Je suis pas une pro, malgré les connaissances que mon père m'a inculqué lorsque j'étais enfants. À vrai dire je n'écoutais pas vraiment ce qu'il m'apprenais, je ne trouvais pas ça important, à ce moment là.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Voilà pour ce chapitre, j'espère qu'il vous a plu ? <3
N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez que ce soit en mal ou en bien, je prends tous les commentaires ! ➕;-)
Pas trop méchant non plus...
Et pour les fautes je m' excuse j'essaye d'en fair ele moins que possible !!!!
VOUS LISEZ
𝖳𝗎 𝗆'𝖺𝗌 𝖼𝗈𝗆𝖻𝗅𝖾́ 𝖽'𝖺𝗆𝗈𝗎𝗋 /Timothée Chalamet Fan Fiction
FanfictionBon, comment décrire mon histoire, je m'appelle Elena j'ai 17 ans et je suis en dernière année du lycée. J'ai été chamboulé par mon déménagement à New York. Je trouvais ma vie en France plutôt pas mal. Je pensais que ma vie à New-York allait être en...
