(Message John)
- Salut papa t'aurais pas contacté par hasard parce que moi rien.
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(Message John)
- Non, rien.
Répond plus sèchement...Mais alors si il répond pas c'est qu'il lui ait sûrement arrivée quelque chose !
Dans ces moments là nous ne savons pas quoi faire, nos membres deviennent froids à en être figé vous ne savez pas si vous devez partir ou simplement attendre.
- Guillaume je suis désolée mais il va falloir que j'y aille, couvre moi pour cette fois. Dis que...je sais pas que j'ai vomis !
- Parce que t'as pas vomis ? Rétorque til sur le ton d'un homme qui a une certaine habitude à faire des taquineries.
Rapidement, mes membres qui étaient gelés de peur deviennent maintenant chauds de précipitation.
J'arrive avec une grande vitesse devant l'appartement de mon père qui n'habite pas si loin du cinéma.
En sortant j'aperçois l'un de ses voisins ouvrir la porte alors je file à toute vitesse pour qu'il laisse la porte ouverte.
- Bonjour, merci pour la porte. Dis-je avec un grain d'essoufflement.
Il me fait signe d'une reconnaissance de la tête tout en gardant son regard de jugement, se demandant qui je suis sûrement.
N'ayant pas d'ascenseur je monte à pied. Mais alors mon essoufflement anodin que j'avais auparavant n'est rien comparé à cette vague de souffle coupé qui se mêle à ma respiration faible dû à là fumette puis aussi au stress qui lentement néanmoins sans prévenance s'intègre dans tout mon corps.
Une fois arrivé je m'arrête durant quelques minutes avant de poser mon point serré sur la porte.
Je pose ma main brutalement sur mon torse afin d'essayer de calmer les halètements que ma respiration émet.
Puis lorsque je repris lentement mes esprits j'ose sonner à la porte. D'abord une fois, puis une autre ainsi de suite. Mais toujours rien. Pris d'une peur effroyable, ma respiration faiblissante réapparut.
Sur le coup j'appelle ma mère, mais c'est à peine que j'arrive à sortir mon téléphone qui semble être confortablement cacher dans ma poche de manteau.
- Allô maman,oui, je...euh...j'arrive pas à t'expliquer...c'est que...
- Calme toi, explique moi.
- C'est à propos de papa. Je sais pas il répond pas, là je suis venu chez lui et... ça ouvre pas. Fin je m'inquiète.
- T'en fait pas, il a pas voulu t'en parler, il est actuellement à l'hôpital.
Ne voulant pas entendre la suite, je raccroche. Puis surprisement je m'écroule au sol, tout en serrant les yeux afin de ne pas laisser entrer la tristesse profonde qui s'est formée en moi juste en entendant le mot <<hôpital>>. Je n'ose pas savoir ce qui lui est arrivé. Mais pourtant au fond de moi je le sais. Alors pourquoi avait-il l'air mieux, pourquoi il m'a menti. A ce moment-là je ne sais pas si je dois le détester ou le comprendre.
Confuse, je demande l'adresse de l'hôpital à ma mère qui répond à la minute. Déterminée à comprendre tout ce qui se trame derrière cette histoire, je fonce à l'hôpital.
Mes yeux semblent flous et les mouvements, et sons que chaque personne émet autour de moi me semble beaucoup plus rapide qu'ils ne le paraissent. Je me précipite à l'accueil afin de trouver la chambre où réside mon père.
J'appuis avec violence sur les boutons de l'ascenseur qui contrairement aux gens ne semble pas être plus rapide.
En arrivant devant la chambre, malgré l'intense retenue que je me suis fixée, les larmes coulent à flot, seulement voyant mon père dans cet état critique. Ça ne me rappelle pas de bons souvenirs mais plutôt de bons gros mauvais qui étaient tellement enfouis en moi que j'en avais quasiment oublié l'existence. Mais pourtant ils sont là devant moi, alors il faut maintenant que je les affronte, enfin.
Rapidement je lui saute au bras, je sens légèrement son corps frêle et sa chaleur corporelle plus basse que la normale. En relevant la tête, j'observe son visage, cerné d'une atroce souffrance que je n'avais pas remarqué ainsi que ses lèvres abîmées reflétant son cœur qui depuis des années combat la dépression qui le ronge. J'aimerais l'aider, j'aimerais pouvoir arraché cette maladie qui c'est collé à lui t'elle une sangsue affamé.
Avec de légers tremblements, il essuie avec la paume ses mains sèches, les larmes coulissantes de mon chagrin. Ne sachant par où commencer, j'émets seulement un rire froid de rassurement. Ce qui lui fait tendrement défroisser ses lèvres qui sont restés durant un long moment sans sourire.
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𝖳𝗎 𝗆'𝖺𝗌 𝖼𝗈𝗆𝖻𝗅𝖾́ 𝖽'𝖺𝗆𝗈𝗎𝗋 /Timothée Chalamet Fan Fiction
FanfictionBon, comment décrire mon histoire, je m'appelle Elena j'ai 17 ans et je suis en dernière année du lycée. J'ai été chamboulé par mon déménagement à New York. Je trouvais ma vie en France plutôt pas mal. Je pensais que ma vie à New-York allait être en...
