Chapitre 25

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-Helena tu dois renter il se fait tard je peux...

-Non je ne veux pas te laisser seul, je ne peux pas Olivier, Olivier est-ce que tu vas mieux questionnai-je inquiète en le voyant grimacer de douleur

-Si ça va, tu sais c'est normal que je puisse avoir mal ne t'en fait pas je vais bien.

Je ne sais pas pourquoi je réagis ainsi, je suis si inquiète pour lui à tout moment lorsqu'il se sent mal.

Parce que j'ai toujours été là pour le tenir la main et même aujourd'hui je suis là...

Olivier fait parti de ma famille et je ne laisse jamais tomber les membres de ma famille même si je l'ai faite dernièrement à cause de ses sentiments à mon égard;

-Helena m'appelle-t-il faiblement

-Oui Olivier je t'écoute
-Rentre maintenant, tu pourrais revenir demain ne t'inquiète pas ça va aller

-Bon d'accord j'y vais alors à demain.

Je lui fais une bise à la joue puis me dirige vers la sortie prenant le soin de refermer la porte.

Cette journée a été si triste, triste parce que je n'ai jamais vue Olivier dans cet état, si vulnérable et faible et ça à cause de moi.

Heureusement qu'ils m'ont tous pardonnés et qu'Olivier est sortie d'affaire, tout au long de cette journée j'ai constaté qu'un sentiment encore imaginaire et triste s'est installé dans mon coeur je ne sais pas ce que c'est mais c'est si troublant que je voudrais en connaître plus;

Enfin arrivée à la maison mon père, mère  et mes frères sont assis dans le vaste salon, pensant qu'ils me patientent tous je fais des pas pour me rapprocher d'eux;

-Oh vous êtes tous là?
Qui y-a-t-il c'est pour la premiere fois que je vous vois tous ensembles dis-je en les dévisageant;

-Alors là tu te trompes ma fille il n'y a rien on regarde plutôt un interview entre philosophes à la télé joint toi à nous, tu vas surement aimé...réplique mon père

-Oh bien sur que si répondis-je en m'affalant sur le canapé aussitôt.

J'aime la philosophie, la philosophie humaine dont tout le monde veut interpréter à sa façon.

Ce qui passe à la télé est si intéressant deux philosophes français débattent sur le fait que la philosophie resterait toujours la mère des sciences et qu'en elle est né tous mots suscitant la satire et la critique entre les Hommes, des mots troublant comme vie, mort et amour le premier philosophe appuis cette thèse mais le deuxieme philosophe refute cette conception en déclarant que toute science possède sa propre souche et qui, elle ne dérive toujours pas du surnaturel.

Un débat plûtot interessant ces deux philosophes ont raison parce que leur réponse vient de leur coeur, de leur conception et de leur pensée moi je confirme plutôt les dires du premier oui en philosophie se trouve beaucoup de mots, de sciences et oui elle est la mère des sciences néanmoins même en confirmant ses dires je ne peux écarter les dires du second philosophe car il a eu raison de dire que toute science possède ses racines souches ne dérivant pas toujours au surnaturel qui est la philosophie en réalité.

Il y a un mot que j'ai écarté de mon vocabulaire et ce à cause de ce que mes yeux ont vue et encaisser à base âge, le passé m'a traumatisé le cerveau.

Ce mot ne figure pas dans mon vocabulaire je réitère et si jamais un jour il le faisait parti alors là mon histoire serait à réécrire en oubliant ce passé et en allant dans une direction droite sans regarder en arrière, si un jour ce mot faisait parti de ma pensée et dans mon coeur alors ma philosophie changerait, elle parlerait un nouveau language, ce jour là je dirai que l'amour a guerit mon coeur, mon âme et mon esprit, ce jour là philosophie serait unie à l'amour et j'écrirais une histoire à raconter à ma progéniture, une histoire portant comme titre " Amour en philosophie ".

Pourquoi ce titre ?

Pourquoi cette constitution ?

Trop de questions je serais brève en explication pour ne pas trop en dire, amour en philosophie le titre de ma nouvelle vie, je l'ai imaginé ainsi pour toujours garder le début de ma conception au futur, pour me remémorer qu'avant je philosophais mais sans plaisir, sans joie de vie et ce qui est flippant c'est que cette vérité est bien réelle et l'est toujours puisque mon coeur n'a toujours pas changé de direction, il est dans l'obscurité, une obscurité troublante.

Je me rappelle comment mon coeur c'était serré en voyant ses scènes sous mes yeux.

Aujourd'hui j'ai grandi mais ce qui est triste je reste toujours dans ce même nuage brumeux qui m'empêche de changer, de voir autres horizons fantastiques, je dis autres horizons parce que ceux que je connais sont des horizons nocturnes et tristes.

Au début je disais que j'étais heureuse avec ma carapace invincible, je témoignais à mes amis que j'étais heureuse en philosophant sans amour mais c'était faux je ne suis pas heureuse, je ne l'étais et je ne le suis pas toujours parce que je vis encore dans le passé c'est pourquoi le bonheur ne peut pas m'appartenir.

Mon coeur souffre et continue à souffrir en vivant dans ce ténébreux passé.

Amour en philosophie (Terminée et en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant