Amour en philosophie (Terminée et en correction)

Chapitre 13

Pdv d'Olivier:

Les heures sont passées si vite que je n'ai pas pu me relever de mon lit, il faut croire que je risque d'avoir des courbatures intolérables.
Il est 15 h comme me l'indique mon horloge alors je crois que je dois me lever.

Néanmoins je suis anéantie je l'ai toujours été depuis que je l'aime, je dois vraiment me remettre sur pied.
J'ai énormément de boulot à éterniser.
J'ai pu poser le pied sur le carrelage et là je suis déjà énervé car la sonnette rétentie, ça m'énerve parce que je n'ai pas assez de force pour me diriger à la dite place.

Cependant il me faut faire un effort de me lever car la sonnette n'arrête pas de s'alarmer.

D'un pas lent je me dirige vers la porte centrale...

La porte s'ouvre immédiatement laissant dévoilés pleins de visages familiers que je reconnais évidemment.
Ils me dévisagent tous inquiets et je reste stoïque sur place.
Je les laisse pénétré sans un mot, j'ai des vertiges sûrement parce que tout ce qui se passe depuis que je l'ai déclaré mon amour me tourmente, oui cela me tourmente et me déstabilise car je l'ai perdu ma meilleure amie et je ferais de mon mieux pour la retrouver quoi que cela me coûterait.

Je les laisse s'installer et m'excuse pour me diriger vers ma salle de bain car je ne sens pas la rose;

Ce n'est pas possible j'ai vraiment un sérieux problème cette Marina y est et Helena aussi comment suis-je sensé me comporter ?
C'est pour la première fois que j'ai aussi peur des femmes je peux dire que Marina me colle trop, elle doit vraiment m'aimer apparemment mais jusqu'ici je la considère comme toutes ces filles dont je prends pour des coups d'une soirée car elle et moi on a commencé comme cela;
C'est la seule de toutes ces filles qui ne me lâche guère, il faut que j'ai une discussion sérieuse avec elle.

J'ai pris un bain rapide et couvre une serviette au niveau des hanches ainsi me dirige dans ma chambre.

À peine rentré je la vois assise sur mon lit.

C'est elle, elle était là, cette fille qui turlupine depuis cinq ans mon méninge je suis à la fois heureux et triste car elle ne me regarde pas de la même manière que je la regarde je l'aime et ça crève les yeux, je l'aime d'un amour pur mais ce n'est pas réciproque.
Je l'aime et je donnerais ma vie s'il le faut,je mourrais pour la rendre heureuse mais par ou commencer si on ne partage pas de mêmes pensées et de mêmes conceptions ?

Elle est une perle rare et je n'arrive jamais à comprendre ce qu'elle peut penser dans son coeur, elle ne laisse jamais rien transparaître, je ne sais plus si je peux la faire changer de conceptions sur ce mot car elle m'intrigue.
Je ne sais pas comment me comporter je pouvais y arriver comme j'ai pu pendant ces cinq années mais là qu'elle sait tout je ne sais plus comment faire surtout qu'elle ne partage pas ce sentiment.

-Helena dis-je d'une voix rassurée et traînante

Elle se lève aussitôt me fusillant du regard,je m'attendais plutôt à un câlin comme elle le faisait souvent mais je dois me rendre compte que tout à changer maintenant;

Je me rapproche d'elle en soutenant son regard fureteur;
Ainsi proche d'elle elle brise le silence en disant;

-Olivier dit moi comment tu vas ?
On s'est inquiétés pour toi, de ton absence parmis nous est-ce que tu vas bien ? Dit-elle inquiète

-Oui je vais bien et toi ça va ?

Cette fille m'impressionne, tout à l'heure même pas dix minutes son regard laissait apparaître de la nervosité et là elle me demande comment je me porte ?
Ce n'est pas possible que suis-je sensé penser après ça.