-Éloïse pardonne moi, j'aurai du t'écouter et ne pas plus m'éloigner de lui car nous sommes liés par amitié et formant une famille. dis-je en la regardant dans les yeux mais ce que je lis dans ses yeux me perturbe, une colère visible dans ses prunelles et je comprends qu'elle m'est destinée.
-Éloïse je...
-Tu es si pathétique Héléna, je t'ai toujours soutenue et ça tu le sais mais après ça je suis désolée je ne peux te soutenir, je t'avais pourtant prevenue Héléna de ne pas te comporter de la sorte mais vois-tu l'humain se laisse toujours éduquer par les conséquences puisque c'est le passé je te pardonne même si ce n'est pas à moi que tu as brisé le coeur dans trente minutes nous le verons surement vulnérable sur un lit d'hôpital alors garde tes excuses pour lui finit-elle par dire avec des larmes aux yeux.
Elle a raison alors je la prent dans mes bras, Éloïse a toujours eu une manière coléreuse à me reprocher des choses en effet elle est à peu-près comme mon frère et je les écoute toujours mais je ne sais pas ce qu'il m'a prit à ne pas le faire cette fois-çi.
Olivier il faut vraiment que je le vois pour appaiser ma conscience;
Ces trentre minutes sont passées si vite que mon coeur s'est mis à battre si fort, si fort que je me met à stresser en approchant mes pas dans la direction de sa salle.
Me chassera-t-il ?
Voudrait-il me parler après tout ça?
Honnêtement je flippe j'espère que tout se passerait bien.
Mon frère entre le premier suivie de Jennifer puis Samuel suivie d'Éloïse ainsi il ne manque que moi et Marina je ne peux avancer alors je cède le passage à Marina alors elle s'empresse d'entrer me laissant derrière elle.
Réfléchissant deux fois si je suis permise d'entrer mes pieds se dirigent volontairement dans la piece alors que tout mon être est hagard.
À mon entrée tous me regardent alors là je pose ma paire d'oeil sur Olivier et je denvient aussitôt triste de le voir dans cet état, je fais un pas, deux pas, trois pas...
Plus proche d'Olivier je m'assois à sa gauche en le visualisant, il a des égratinures sur le visage, une main platrée, un bondage sur l'abdomen, l'ayant laisser sans habit sur le haut du corps cela me permet de bien le voir, si faible, cheveux en bataille comme s'il était enfermé pendant deux jours dans une forêt sans aucune chose humaine pour s'entretenir.
Mon coeur est si chagriné de le voir dans cet état qu'aussitôt une larme s'écoule sur ma joue;
-Olivier je suis si désolée, pardonne moi pour tout ce que j'ai pu te dire de méchant, je ne voulais pas que tout se termine par accident, je suis si désolée suppliai-je en pleurs comme si ses blessures me sens également infligée;
-Helena tu n'y es pour rien j'aurai du être attentif à la route rien est de ta faute répond-t-il calmement;
-Tu as mal je le sens, tu as encore un mois et des semaines pour sortir d'ici et ton examen émi-je troublée, yeux larmoyants
-Ne t'en fais pas j'étudierai tout en ligne et ne t'en fais pas je pourrais supporter mais promets moi de prendre soin de toi aussi je suis sortie d'affaire juste un repos et tu me veras de nouveau debout d'accord ? Me questionne-t-il
-D'accord merci de m'avoir pardonner je viendrai te voir tout les jours afin que tu ne t'ennuis pas seul entre ces quatre murs blanche;
-Avec plaisir vous êtes tous les bienvenus
-Tes parents sont là, je vais les acceuillir clame Samuel en taponant sur son portable;
-D'accord dit leur surtout que ça va mieux afin qu'ils n'arrivent en courant jusqu'à ma chambre renchérit Olivier avec un sourire schocthé aux lèvres ce qui nous fait rire tous...
Évidemment que les parents ont une drôle façon d'interpréter les choses ils doivent se faire un sang d'encre pour leur fils, leur unique fils en plus, ce qui est normal.
Le soir venu tous rentrent et également ses parents, logés dans un hotel pour environ deux semaines.
On avait tous passé la journée dans cette chambre, certains ballaient déjà et ils ont préféré tous rentrés sauf moi.
Assise sur le lit d'Olivier on cause sur plusieurs anêries drôles et enfantines.
Je remarque que notre complicité a refait surface et cela ne me derrange pas puisque je ne veux plus l'ignorer comme je l'ai faite ces derniers jours.
Olivier est mon ami et il compte beaucoup pour moi je ne veux plus que cette histoire désordonne notre amitié;
Son regard ne trompe pas il m'aime et ne se cache de ça comme s'il voulait que je l'aime de même.
Je sais qu'il fait semblant de ne plus parler de ce sujet dans son lit d'hôpital et qu'une fois sur pied il me le déclarerais une bonne dizaine de fois;
Olivier a commit une grave erreur, celle de tomber amoureux de moi, il ne fallait pas car dans ma conception ce sentiment est une stupidité, une vraie stupidité qui accable l'univers car l'humain est remplie de naïveté. Une naïveté dangereusement ignorante qui fait souffrir l'Homme jour et nuit en priant le bon Dieu de se manifester dans sa gloire alors qu'il s'est déjà manifesté en lui donnant le souffle de vie gratuitement.
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Amour en philosophie (Terminée et en correction)
RomanceJe déteste ce mot qui est inscrit dans tout méninge simplement parce que ma hutte invincible le réfute, je déteste ce mot car c'est ce que mes parents m'ont apprit à faire grâce à leur amour infidèle, je déteste ce mot parce qu'il est parsemé d'emb...