Nous restons près d'une heure dans la piscine. Mais au bout d'un moment, Jules me propose de sortir. Je m'exécute, enroule ma serviette autour de moi et m'approche de Jules. Il enroule sa serviette plus grande que la mienne autour de nos deux corps trempées. Nous restons comme ça pendant un moment mais nous rentrons à cause du froid. Il est quand même dix neuf heures trente. Nous nous rhabillons, puis nous rentrons, il fait très froid et nous sommes en pleine hiver, en maillot de bain. En arrivant à l'intérieur, nous commençons à préparer à manger.
-Va prendre ta douche je m'occupe de tout. Me dit-il.
-Tu es sur ?
-Oui absolument.Il m'embrasse, me fait faire un demi tour et me pousse légèrement vers la salle de bain. Je monte les escaliers, je me déshabille et prend une douche. Au bout d'un moment l'eau devient glacé.
-HA ! Jules arrête de faire couler de l'eau chaude, criais-je.Avec avoir pris ma douche, je vais dans ma chambre et je mets une robe dos nu bleu foncé avec de la dentelle blanche sur le haut. Puis j'enfile mes escarpins blanc. Je me brosse les cheveux et les attache en queue de cheval. Puis je descends en bas. Une délicieuse odeur remonte jusqu'à mes narines. En arrivant en bas, je découvre une table magnifiquement dressé, avec un chandelier qu'il a du trouver dans mon salon.
-La blague de l'eau froide t'a plu ?
-Pas du tout, lui dis-je en lui donnant un coup de poing dans le bras.Il recule la chaise et me fait signe de m'asseoir. Je m'exécute puis il avance la chaise pour que je sois plus près de la table. Il sort ensuite un saladier du frigo et le pose sur la table. Il s'assoit et me sert. Il a fait une salade avec du maïs, de la salade et des tomates. Après avoir fini l'entrée, il ramène le saladier et pose sur la table un plat avec des pommes de terres au four et une poêlé indienne de légumes et de morceaux de viandes. Il sert et s'assoit. J'approche ma main de la sienne et enlace mes doigts avec les siens.
Après avoir fini de manger, on débarrasse la table et je fais la vaisselle. Au bout d'un moment, il se met derrière moi et m'enlace la taille. Il me fait pivoter, éponge à la main et mousse partout sur les mains jusqu'au avant bras, et m'embrasse tendrement en me serrant très fort contre lui. Je mets mes bras autour de son cou en faisant attention de ne pas le tâcher. Puis je lui dis qu'il faut que je finisse et il fini enfin par desserrer son étreinte. Je termine la vaisselle sous son regard tendre et attentionné. Dès que je finis de m'essuyer les mains sur le torchon, il revient vers moi et s'approche au plus près. Puis, sans que je m'y attende,nous commençons à nous embrasser de façon... Torride. Il me plaque soudain contre un mur, je frotte ma jambe à la sienne et il me l'attrape en frôlant mes fesses. Tout en nous embrassant, nous avançons jusqu'à l'escaliers.
Nous montons en vitesse les escaliers, séparé quelques secondes, paraissant une éternité. Arrivé en haut, nous recommençons à nous embrasser de façon torride. En entrant dans ma chambre, il ouvre la fermeture qui ferme ma robe et la laisse glisser le long de mon corps, me trouvant soudain qu'en sous-vêtements. je lui retire violemment son tee-shirt tandis qu'il retire lui-même son pantalon. Nous sommes tous les deux à moitié nu. Je sens la chaleur de son corps collé au mien. Il m'allonge sur mon lit et se positionne au dessus de moi. Il arrête un instant de m'embrasser. Il me regarde et je le regarde. Il sait que je l'aime mais il comprend que je ne suis pas prête à passer à l'étape supérieur de suite.
Il se met à côté de moi et commence à me chatouiller. Je ne peux me retenir de rire aux éclats. Je tente de riposter mais il me tient les poignets. Puis il fini par s'arrêter et nous nous glissons sous la couverture. Il se positionne à droite, puis je pose ma tête sur son épaule gauche et enlace mes doigts de la main gauche à sa main droite. Il m'embrasse sur le front et me dit qu'il m'aime.
Lorsque je me réveille le lendemain, je suis seule dans mon lit. Jules doit être parti en bas. Je décide, à mon tour de descendre. Je lui pique son tee shirt qui est par terre et J'enfile un jogging. Je le vois en train de préparer le petit déjeuner. Il y a deux verre rempli de jus d'orange et deux croissants qu'il a du aller chercher avant que je me lève. Il ne me vois pas tandis que je l'observe. Il a un autre tee shirt que celui que j'ai, il a du aller le chercher chez lui, à un quart d'heure de chez moi.
Il se tourne, prend le plateau et se dirige vers la chambre mais quand il me voit, il a l'air déçu.
-Mince, je voulais te faire une surprise.
-C'est toi ma surprise.
-Comment peux-tu être aussi mature à seize ans.
-Je ne sais pas. Et j'ai bientôt dix sept ans.Il pose son plateau et viens m'embrasser pour le dire bonjour. Je lui demandes si ça fait longtemps qu'il est réveillé. Il me dit une heure environ.
-Ta mère a appelé, elle voulait te prévenir qu'elle revenait que dimanche.
-Tu lui as dis quoi comme ce n'est pas moi qui ai répondu.
-Je lui ai dis que j'étais un ami et que tu en avais invité quelques uns. Tu aurais préférées que je lui dise que je suis le copain de sa fille qui a trois ans de plus que sa fille qui n'a que seize ans et qu'on a dormi ensemble en sous vêtements ?
-Non, tu as bien fais.Nous nous installons à la table et nous mangeons le petit déjeuner que Jules nous as préparé. Puis nous allons dans ma chambre où nous discutons.
-Tu es née quand ? Me demande-t-il soudainement.
-Le 22 janvier 2000 et toi ?
-Le 14 décembre 1998.
-Je pensais qu'on avait trois ans d'écart mais non, on a deux ans et plus d'un mois.
-Tant mieux.Nous parlons de notre avenir. Ce que l'on veut faire comme métier. Moi je veux faire professeur d'anglais dans les collèges, lui veut être enseignant en littérature en FAC de lettres. C'est assez étonnant je trouve, j'aurais pensé qu'il aurait voulu faire bad boy professionnel.
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Happy new year
RomanceDepuis que je suis petite, c'est une tradition d'aller chez mon parrain pour le nouvel an. Je me rappelle de son neveu. Jules. Je l'aimais bien. Même beaucoup. Il a trois ans de plus que moi mais il m'a toujours attiré. Chaque années, on se retrouva...