Je t'Aime Salope

Chapitre 3

Dans la grande chambre peu meublé de daulgue on n'entendait que des bruits de respirations effronté. Ni Daulgue ni Hiska n'avait conscience de ce qu'ils avaient fait. Et ce ne fut que lorsque la brume de leurs esprit post juissance se dissipa qu'ils réalisèrent. Lentement .Choqué d'eux même. Choqué de l'autre, interdit et indécis. c'est Hiska qui bougea le premier. Il commença par ranger son matos dans son pantalons, ça lui semblait le minimum à faire. Mais même après avoir fait ça, il n'arrivait pas à détacher ses yeux de ceux encore vitreux de Daulgue. Ils se regardaient comme ça, qu'allait t'il advenir d'eux maintenant. De leurs relation. Ça faisait un moment qu'ils se connaissait tout les deux, des années, mais jamais ils ne s'étaient vu comme ça. Pourquoi la situation avait elle pris cette tournure. Pourquoi n'avait il pas réussit à se contrôler. Pourquoi n'avait il pas, en découvrant la scène, juste refermé la porte ? Il avait juste agessé et insulter son meilleur ami. Il approcha une main tremblante du visage de Daulgue qui tressaillit. Il stoppa son geste, des larmes se formèrent dans ses yeux.

- Daulgue ...je suis tellement désolé... une larme roula sur sa joue aux pommettes éffacés, il partit en courant. Daulgue l'entendit dévaler les escaliers et claquer la porte d'entrée. Il mordit sauvagement sa lèvre inferieur, jusqu'au sang. Il jeta la manette à travers la pièces, quand elle s'écrasa sur le mur d'en face, beaucoup de ses composants partir en tous sens.

Dans sa chambre, au pied de son lit, un lycéen blond, venant quasiment de se faire violer bucalement, replia ses genoux contre son torse. Il se sentait faible, mais il ne pleura pas. Il n'était p    as du genre à pleurer. Ni à se laisser faire comme il venait de le faire. Il ne se comprenait pas. Il n'avait jamais vu Hiska comme ça. Habituellement il était assez dynamique mais très calme dans ses paroles, toujours doux dans un corps assez robuste. Lui cétait le contraire il était plus petit et plus fin mais était tout de même massif et avait la langue bien pendu et tendence à s'emporter facilement ... Ce soir là il ne mangea pas, pris une douche et se coucha sans trouver le sommeil. Qu'est ce que tu fais Hiska, est ce que tu pleur ? Si oui, continu, il t'en faudra des larmes pour laver ce que tu as fais. Et même si il se disait ça, il savait aussi que ses propres geste n'avait pas étaient de le repousser, bien au contraire. 

Au même instant, rouler en boule dans son lit, le visage humide, Hiska pensait à Daulgue. Daulgue, est ce que tu doute ? Si oui continu, il faut que tu trouve une réponse. Pourquoi avons nous fait ça ?