Cela faisait une semaine qu'ils ne s'étaient pas parlé. Au lycée, ils prirent grand soins de s'éviter. Leurs regard honteux n'arrêtaient cependant pas d'involontairement se croiser. Chacun cherchait l'autre du regard mais fuyait ses mots. Peut on vraiment résister à la pulsion du corps ? Certainement, la vertu de certaines personnes sont un exemple, mais souvent leurs corps est arrêté par la raison... la présence d'un mari bien plus importaante qu'une conquête d'un soir. Mais lorsqu'aucune attache ne te relie à la rigueur, si ce n'est celle de la surprise, devant une si faible explication de ce détournement d'interêt il est bien inutile de résister. Ils n'ont pu, eux aussi, résister bien longtemps. Ce fut Daulgue qui craqua le premier, il savait pertinemment que son ami s'en voulait d'avoir agit si violemment et que de ce fait il ne le recontacterait pas, par honte et par culpabilité. Ce fut donc lui en premier qui se saisit de son téléphone. Il ne savait pas ce qu'il voulait, le revoir comme ami ? Ou alors... poursuivre ce qu'ils avaient commencé... Quoiqu'ils aient commencé. Il réécrivit milles fois son texto, il ne savait tout simplement pas quoi lui dire... Essayant de résumer ces idées à ce qu'il désirait réellement, il finit par écrire « viens » La réponse ne se fit pas attendre plus d'une demi minute.
- "Tu es sûr ? »
- « Oui »
Daulgue sécrasa sur son lit, en étoile de mer, les yeux rivé sur le plafond, son portable toujours serré dans sa main. Il n'arrivait pas à réflechir. Il entendit la porte d'entrée s'ouvrir et la voix de sa mère acceuillir quelqu'un mais il ne bougea pas, il attendit d'entendre de léger coups contre sa porte. Hiska ne frappait pas souvent aux portes, il devait être horriblement mal à l'aise pour le faire. Devant le silence de Daulgue il finit par entrer et le voyant ainsi, allongé et le regard perdu dans l'inconpréhension il alla le rejoindre. Il se cala sur le metelas dans la place qui restait et soupira. Ils ne dirent rien pendant deux bonnes minutes. l'un à côté de l'autre. Daulgue se releva quelques peu, prenant appui sur ses coudes et il détailla Hiska. Celui ci avait les yeux fermés, de larges cernes ornaient ceux ci, preuve d'un sommeil agité...Surement causé par ce qu'ils avaient fait. Ses long cils papillonaient quelques peu sans pourtant s'ouvrir. Ses lèvres fines étaient légèrement entre ouverte. Daulgue respirait fort,cette image devant lui le troublait, il ne contrôlait plus son corps. Après quelques secondes de lutte vaine il se pencha sur son visage et joints leurs lèvres.
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Je t'Aime Salope
RomanceDeux amis d'enfance se découvrent une attirance physique irrépressible l'un pour l'autre ... Lemon ! Cette fiction comporte des scènes homosexuel et des descriptions d'actes sexuels sadomasochistes, donc pouvant heurter certaines sensibilités et j...