Chapitre 7

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Son ventre se tordait en de multiples papillons. Sans même comprendre il vit Hiska plonger sur lui, sur ses lèvres.Mais rapidement il dériva sur son cou, le faisant se cambrer sous la multitudes de frissons qui le parcourait.Hiska le rassit un peu et lui enleva son t-shirt, le torse de Daulgue était légèrement plus musclés, il était capitaine de l'équipe de basket du lycée. Hiska passa ses doigts sur ce corps qui ne lui était pas découvert pour la première fois mais qui pourtant l'excitait tant. Il força Daulgue à s'allonger de nouveau, à califourchon sur lui, leurs torse brûlant au tétons dressé n'arrêtait pas de se frôler, leurs bassins étaient appuyé l'un contre l'autre. Hiska lécha et mordillat l'oreille de Daulgue, il descendit lentement sur son cou, sa clavicule, son épaule... il traça une ligne de baisers jusqu'à son nombril. Entreprit de défaire sa braguette avec ses dents mais sous la complexité de cette tâche il opta pour la façon manuel de retirer cette barrière de tissus. Il avait toujours été plutôt manuel, très habile de ses doigts, long et fin, qui faisait rêver quelques filles que ce soit sur le terrain ou lorsqu'il tenait un fusain. Mais ce qu'il faisait de plus accompli avec ses mains ne pouvait décemment pas être observées dans un lycée sous risque d'une exclusion définitive et une plainte posé pour outrage et exebition...il saisit le sexe gonflé de Daulgue entres ses doigts et commença de lent va et viens, timidement, puis de façon de plus en plus assuré il vint lécher et entouré son gland avec ses lèvres fines... Il disait des choses de façon très assurée mais en réalité il était terrifié. Daulgue se cambrait à chaque mouvement de la langue d'Hiska. Des halètement et des râles rauques ne cessait de sortir de sa bouche qu'il essayait désespérément de fermer à l'aide d'une de ses canines plantée à sa lèvre inférieure.

Hiska ne put s'empêcher de penser que c'était beau. Que tout était beau. Son corps tremblant. Son visage rougit. Sa voix incontrôlable. Sa position de soumission totale devant lui. Ça allait le rendre fou ... Il finit d'enlever le pantalon de Daulgue et saisit ses jambes par les dessous de ses genoux, relevant celle-ci et de ce fait son bassin. Placé au milieu, il avait une vu parfaite sur l'entièreté de ce corps qui, il n'en revenait pas, allait bientôt être à lui... Trop absorbé par le moment, il faillit ne pas l'entendre. Le grincement caractéristique d'une porte qui s'ouvre. 

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