Chapitre 24 : Reveil brusque !

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À part ça quand je viens et que Claire est là je passe du temps avec elle pour essayer de la distraire un peu, pour elle aussi c’est très difficile, des fois elle est très triste mais à chaque fois. Je fais de mon mieux pour lui changer les idées, comme je l’ai dit précédemment mais peu importe ce que je ferai ça sœur lui manquera. Mais ça ne l’empêche pas d’être contente quand elle me voit.

Je sors de ma voiture et rentré à l’intérieur de l’hôpital vu que j’ai l’habitude de venir, je connais déjà le chemin, une fois arrivé devant la chambre d’Alicia, remarque que les rideaux sont fermés d’habitude à cette heure-ci elle son ouvert, ça m’inquiète un peu alors je demande à une infirmière si Alicia Wilson va bien elle me dit oui, avant de partir mais ça ne me rassure pas.

Alors pour la première fois depuis trois semaines, je m’avance vers la porte et je pose ma main sur le poignet de celle-ci. J’ouvre doucement la porte, je rentre à l’intérieur et je remarque qu’à part Alicia, il n’y a personne. C’est le silence il y’a que le bip du moniteur qui se fait entendre, la lumière et allumée, d’habitude à cette heure-ci c’est parent sont ici peut-être qu’ils sont partis manger. Je referme la porte derrière moi est m’approche du lit, c’est la première fois depuis que je l’ai amené ici que je la voie d’aussi près, elle m’a l’aire tellement paisible, les bleus qu’elle avait au visage ont disparu, elle a juste un passement sur son arcade.

Moi : Hey, Salut ! Dis-je en m’asseyant à côté d’elle sur le lit à côté d’elle, le médecin a dit que lui parler l’aidera à se réveiller plus rapidement alors c’est ce que je vais faire aussi.

Moi : Je ne sais pas si tu reconnais ma voix mais moi c’est Jessica, enfin tout le monde m’appelle Jess toi aussi tu pourras le faire si tu te réveilles. Ta petite sœur le fait donc il n’y a pas de raison que toi tu ne le fasses pas. Tu sais depuis que je t’ai ramené ici, c’est la première fois que je te vois d’aussi près et tu es très belle, dis-je avec un sourire. Je sais ça peut te paraître bizarre, moi-même je ne sais pas pourquoi je dis ça, peut-être parce que c’est vrai. En plus je dis toujours ce que je pense, peu importe ce que c’est, tu crois que c’est une bonne chose ou pas ? Tu me répondras quand tu te réveilleras.

Tu sais je ne te connais pas trop enfin je te connais qu’a travers ta petite sœur, et elle n’arrête pas de faire d’éloges sur toi, elle a les yeux qui brillent quand elle me parle de toi, pour elle tu es quelqu’un de forte, et je n’en doute pas une seule seconde. C’est pour cela que je te demande de rester forte pour elle, soit une battante, pour ta famille, pour tes amis, toutes ces personnes veulent que tu te réveilles, et aussi dis-je en lui tenant la main… Je sais que ça doit être dur pour toi, mais sache qu’il t’aura toujours des personnes qui seront là pour te soutenir, moi la première. Alors n’est pas peur d’affronter le monde, même si cela risque d’être difficile, car avec le temps tu arriveras à surmonter tout ça… Je m’arrête de parler en sentant sa main se serrer contre la mienne, je fonce les sourcils car je ne comprends, je suis très étonnée.

Je la regarde mais elle a toujours les yeux fermés, et ça main serre de plus en plus la mienne. Le rythme du moniteur qui commence à s’accélérer je ne sais pas si je dois m’inquiéter ou pas quoique je panique un peu. Je tourne mon regard sur son visage et je la vois ouvrir doucement les yeux, et son regard tombe directement sur moi, je ne sais pas comment réagir.

Moi : Hey ! Tu es… Je finis pas ma phrase que les infirmiers rentrent dans la chambre, elle prend peur est s’agrippe à mon bras, ce qui me pousse à me lève est à m’approcher plus d’aller, elle commence à paniquer ce n’est pas bon pour elle de voir autant de monde d’un coup.

Moi : Sortez de là chambre. Dis-je sans crier.

- Mais…

Moi : Vous ne voyez pas que vous êtes en train de la peur, maintenant vous sortez, et vous allez me chercher un médecin de préférence celui qui s’occupe d’elle. Dis-je très sérieusement, ils sont mécontents mais je m’en fous et ils finissent par sortir.

Entre-temps Alicia s’est fermement agrippée à moi, est c’est comme si elle se cachait, limite elle se colle à moi, elle a tellement peur qu’elle tremble.

Moi : Hé, ne t’inquiète pas, ça va aller. Dis-je pour la rassurer.

En même temps j’essaie de la détacher un peu de moi pour pouvoir lui faire face mais impossible, sont rythme cardiaque va toujours aussi vite, je place ma main sur son dos doucement, elle se crispe, et me serre encore plus fort. Ça risque d’être vraiment compliqué mais je vais faire de mon mieux, je ne suis pas habitué à gérer ce genre de situation.

Moi : T’inquiète pas ce n’est que ma main. Rétorquai-je pour la calmer, mais je ne bouge pas ma main le temps qu’elle s’habitue à celle-ci. Je commence doucement a faire des mouvements avec ma main pour la rassurer est ça marche, sans emprise sur moi sur relâche un peu est son rythme redevient normal, sa respiration ralentit, jusqu’à ce la porte s’ouvre, c’est le médecin, il s’approche du lit mais Alicia recule.

Alicia : Ne… Ne me touche pas… S’il… S’il vous plaît.. Laisser moi… Tranquille. Dit-elle en pleurant,

Éric : Je ne te veux pas de mal. Dit-il doucement pour ne pas l’effrayer, mais ça marche je sens ça main tenir fermant mon t-shirt.

Moi : S’il… vous…. plaît.. Laissez-moi… Ne me toucher..  ne me toucher… pas.. s’il vous plaît !!

Le médecin me regarde avec incompréhension,

Moi : Je vais m’occuper d’elle, où sont ses parents ?

Éric : Ils sont partis chercher des vêtements chez eux,

Moi : Vous pouvez les appeler ?

Éric : Oui bien sûr mais il faut que je regarde si elle va bien.

Moi : Ce n’est pas le moment, elle sous le choque je vais essayer de la calmer comme je peux et vous appelez ses parents.

Éric : D’accord. Dit-il avant de sortir.

Moi : C’est bon il est parti, calme toi, ça va aller ! Dis-je en continuant mes caresses.

Alicia : Arretez de… De me toucher s'il vous plait !

Moi : D’accord, j’arrête. Dis-je en enlevant ma main sur son dos.

Elle s’est vraiment agrippée à moi, alors qu’elle vient de me demander de la lâcher, je ne comprends pas, peut-être qu’elle est totalement perdue et désorienter. Elle est pratiquement collée à moi, ces genoux un peu repliés elle a vraiment peur, ce réveil était vraiment très brutal. Je suis dans une position un peu inconfortable mais ce n’est pas grave l’important c’est qu’elle soit en train de se calmer peu à peu. Une fois qu’elle totalement calmée j’essaie de reculer mais elle me tien toujours.

Moi : Je ne pars pas reste là avec toi d’accord ? Elle ne parle pas mais hoche la tête positivement. Je crois qu’elle commence à avoir les idées claires.

Alors elle relâche son emprise sur moi mais me tiens toujours le t-shirt, alors je me mets devant elle est lui fait face. Elle m’a l’aire complètement perdue son regard ne reste pas fixe elle regarde partout totalement terrifié, alors je place doucement mes mains de chaque côté de son visage pour attirer son attention. Mais elle se crispe et figer alors j’enlève mes mains. Cela va être très compliqué car je ne veux rien faire qui pourrais la brusquer, je vais trouver une solution.

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Vivre malgré toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant