Chapitre VIII

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Je rentre dans la maison et reconnaît en premier le visage de Clara la femme actuelle de Kamal. C'est peut-être la première fois qu'on se rencontre mais cette fois-ci elle va s'en souvenir toute une vie.

Clara: Qui êtes vous? Et que faîtes vous ici ? dit elle de sa voix haut perché

Moi: Je viens vous faire regretter sale dégénéré d'avoir touché à mes bébés

Clara : Tu es celle qui veut voler mon mari dit elle avec mépris

Moi: Garde le ton mari, je ne m'en intéressait pas mais maintenant que tu as inclus mes enfants, je mettrai des mesures en place.

Clara : Que veux tu dire?

Je sors mon arme et fait mine de le nettoyer en continuant de lui parler.

Moi: D'après toi comment allons nous régler sa très cher pot de peinture ?

Elle se met à trembler de toute part pendant que je m'approche d'elle.

Moi: De plus que si tu avais seulement kidnappé mes bébés, je t'aurais laissé tranquille mais tu t'es en plus permis de les frapper dis je d'une voix lente et traînante

Plus je m'approche et plus madame recule, elle sent la peur a des kilomètres.

Clara: Que va tu me faire ?

Moi: Je vais tellement te défiguré que tu ne voudras plus jamais te mirrer saleté dis je durement

Les deux hommes que j'avais ignoré tout à l'heure se manifeste enfin. Un homme brun et maigrelet s'avance et s'agenouille devant moi en signe de supplication.

L'homme : Pitié ne me faîtes pas de mal, je leur avais dit de ne pas le faire et de ramener les enfants mais ils ne m'ont pas écouté!!!

Un homme plutôt vieux et trapue rétorque : August!!!

Le dénommé August l'ignore et continue d'implorer mon pardon.

Moi: Pour vous cela dépendra de mes enfants dis je avec un sourire cynique.

August se retourne automatiquement vers mes enfants qui eux sont toujours ligotés et regardent la scène en silence. Il court vers eux et les libère.

Le vieux : August que fait tu bon sang !!!

August : Je sauve ma vie, j'ai encore beaucoup de rêves à réaliser dit il en dénouant les enfants

Je me tourne vers Clara avant qu'elle ne puisse s'enfuir pendant ce temps, Thao qui lui ne s'était pas encore manifesté s'est chargé de maîtriser les deux hommes pendant que ceux ci avaient leur attentions tournées vers mes enfants. En parlant d'enfants ceux ci étaient plutôt relativement calme, étonnant pour des enfants de six ans. Bref revenons en à notre garce préférée.

Moi: Je sens que nous allons bien nous amuser toi et moi

Clara: Si tu oses me faire quoique ce soit tu auras de sacrés problèmes, je suis quand même la reine d'Agrabah

Moi: Oh que j'ai peur!! Dis je faussement terrifiée Eh bien nous verrons bien ce qui va m'arriver par la suite en attendant Jouons!! continuais je

Pdv de Kamal

Ahmed: Votre Majesté d'après nos récentes recherches, il semble que votre épouse ainsi que la reine mère ne soient pas étrangères à tous ceux-ci

Moi: Je m'en doutais un peu

Ahmed: Si vous vous inquiétez pour madame Rodriguez...

Moi: Ce n'est pas le cas, si il y a bien une chose dont je suis sûr c'est que à l'heure où nous parlons, non seulement Tiana a déjà trouvé les kidnappeurs mais en plus ceux ci doivent être entrain de vivre un véritable matyre et je peux t'assurer qu'à côté Hitler c'était un cadeau. Tous ce que nous, nous devons faire c'est de trouver les preuves et pouvoir les punir quand ma douce aura finir de faire mumuse avec eux.

Ahmed: Bien je m'y mets de suite altesse dit il en ressortant de mon bureau

Je me mets à songer à mes enfants et je me demande dans quel état ils se trouvent et si Tiana les a déjà trouvé. Je suis tellement dans mes pensées que je n'entends même pas la mère pénétrer dans le bureau.

Ma mère : Mon fils, nous devons parler

Moi: Et de quoi exactement mère ? dis je peu intéressé par tout ceci

Ma mère : De ton intérêt pour cette souillon

Moi: Que veux tu dire? dis je à présent plus que concentré

Ma mère : Il est évident que cette arriviste t'a ensorcelé et cela t'empêche de réaliser correctement tes fonctions de cheick de plus tu mets ta femme dans une situation vraiment embarrassante. Si tu continues comme ça, le peuple va se poser des questions. Cela va entaché la réputation de la famille royale si on n'apprenait l'existence de cette femme et de ses bâtards

Moi: C'est de mes enfants que tu parles ainsi dis je en me levant énervé par la tournure de cette conversation

Ma mère : Tes enfants ?! Arrête de te faire des films, mon fils ce ne sont pas les tien et si effectivement ils portent vraiment ton sang, ils n'en reste pas moins des bâtards. Au lieu de perdre ton temps avec eux pense plutôt à faire des enfants à Clara

Moi: Jamais tu m'entends mère jamais !! J-A-M-A-I-S !!! dis je hors de moi

Ma mère : Voyons mon fils soit raisonnable

Moi : Raisonnable ?! À cause de tes sales magouilles, j'ai perdu ma femme et mes enfants, il y a six ans et je ne compte pas te laisser faire une fois de plus tu m'entends. Et tu as intérêt à ne pas être mêlée à leur enlèvement parce que sinon ça va sérieusement barder pour toi. Maintenant sors de mon bureau.

Ma mère : Mais ... Mon fils.... Voyons

Moi: J'ai dis SORS!! criais je furieux

Elle s'en alla de mon bureau limite en courant. Il faut vraiment que j'approfondisse mes recherches, j'ai l'impression que cet enlèvement ne signe que le début de l'orage.

Ma Rose D'OrientOù les histoires vivent. Découvrez maintenant