La meute des bois

*Pendant que le loup n'y est pas* Partie 10

Yiko déposa les pizzas sur le comptoir sens un mot, elle regardait Quiria qui se tenait la face à elle.

-Ça fera 40 yens

-Yiko

-Vous pouvez payer par carte ou en liquide

-Yiko s'il te plaît

-Je travaille si je ne le fais pas correctement je vais me faire virer et j'ai besoin de ce taf pour manger..

Quiria alla chercher l'argent laissant Yiko avec Sasuro et Karken qui était assit dans le canapé

-tu as changé de style

-Je ne suis pas là pour discuter . Répondit sèchement Yiko

-Tu nous en veux je comprends mais nous devions retourner à la chapelle

-Ce n'est pas la peine je m'en fiche de vos explications, je ne veux plus rien à voir avec des personnes comme vous

Quiria revenue lui remettant l'argent

-Yiko

-Merci bon appétit à vous

Elle se retourna avant de se diriger vers la porte .

-Yiko .Dit Karken

Sa voix rauque fit la frissonner malgré elle. Yiko ouvrit la porte .

-Bonne soirée

Elle claque la porte avant de presque courir jusqu'à l'ascenseur, elle appuya frénétiquement sur le bouton qui s'ouvrit, son cœur bâter la chamade, elle les avait revu mais surtout elle avait revu lui . Perdue dans c'est pensé elle ne vit pas la personne qui était derrière elle, Yiko entra dans l'ascenseur en appuyant sur l'étage 0 avant de voir trop tard la personne qui entra avec elle.

La porte se referma, et Yiko se retrouva à fixer par deux pupilles vertes, elle était appuyée le dis contre la paroi de l'ascenseur . Elle sursauta quand la personne aux yeux verts tapa fortement sur le bouton d'arrêt d'urgence de l'ascenseur .

La lumière se coupa, et une lumière plus douce prit place dans la cabine. La tension était palpable, Yiko n'ose même pas s'approcher des boutons bien garder par l'homme brun tatouer à qui appartenaient ces beaux yeux verts.

-Je...je dois aller bosser

-Et alors ?

-Karken j'ai besoin de cela pour vivre

-Et alors ?

Yiko fronça les sourcils

-Écoute Karken . Dit Karken

-Ces toi qui va écouter

Le jeune homme s'approcha de Yiko qui s'écartent sur le coter pour garder une bonne distance avec lui.

-Arrête

-je n'ai pas besoin de ça

-Pas besoin de quoi ?

-De toi

Le jeune homme sourit avant de se coller à Yiko ,qui ce retrouva plaquer dos contre la porte fermé de l'ascenseur.

-On n'a pas fait ça pour te faire de la peine

-Comme je l'ai dit à Sasuro je ne veux pas écouter vos arguments. Vous m'aviez laissé toute seule, et je ne vous le pardonnerai jamais