le jeu de la vie

Chapitre 4

Nous nous somme précipité afin d'arriver jusqu'à la porte le plus rapidement possible afin de ne pas perdre le moindre temps qui nous était nécessaire. De l'extérieur rien ne semblait identique qu'a l'intérieur recelait notre porte de sortit, notre seul moyen de mettre fin a ce massacre. J'espérais que notre raisonnement était bon car le temps allait manqué, si cela s'avérait être faut nous allions tous y laisser notre peau. Alors que nous approchions de la porte le jeune homme que j'avais rencontrer au dernier étage venait d'apparaitre nous faisant face, il se tenait droit ne montrant aucun doute, il avait surement assister au même événement que nous et en avait lui aussi conclu que la zone sécuriser se trouvait derrière cette porte. Ça stratégie d'observer tout ce qui allait se passer depuis le dernier étage n'avait pas été inutile, s'en était presque ingénieux, il ne s'était même pas fatigué a essayer d'ouvrir les porte sans réfléchir. Il fit quelque pas en notre direction pour se rapprocher de l'appartement et de nous par la même occasion. Il nous détaillait de la tête au pied avant de nous adresser la parole.

chishiya: vous aussi vous avez compris 

Arisu: ouais, la zone sécuriser est dans cette appartement.

Arisu avait prononcer cela comme une affirmation, après tout il ne pouvait pas en être autrement, la logique voulait que la zone se trouve bien derrière cette porte. J'essayait de me convaincre que nous ne pouvions pas avoir tord, rien ne venait contredire notre idée. Il s'approchât de la porte, saisissant la poignée froide, prêt a prendre le risque de l'ouvrir. Mais au dernier moment une hésitation apparu sur son visage, ne sachant pas a quoi s'attendre. On n'avait aucune idée de se qui pouvait se trouver derrière la porte.

blond : tu ne compte pas ouvrir?

Arisu: pourquoi la chose nous court après, il pourrait nous attendre ici.

blond : il y a quelque chose qu'on ignore! 

Ils avait tout les deux raison mais il fallait pourtant que l'on prenne le risque, on avait pas vraiment le choix si l'on voulait finir le jeux vivant. Il était clair que quelque chose clochait dans toute cette histoire, mais on n'avait pas assez de temps pour se poser des question. Ils ne nous restait pas d'autre option que de l'ouvrir et de prendre le risque qu'il nous arrive quoique ce soit ou de mourir en ayant même pas essayer, le choix était vite fait.

Aria: mais il ne nous reste que trois minute avant la fin du chrono, on a pas vraiment le choix, si on veut réussir le jeu. 

Ils mon tous les deux jeter un regard comme si ils avaient oublier ma présence avant de se jeter un regard. Puis pendant quelque seconde ils se sont permis de poser le pour et le contre mais l'évidence les frappas, ils allait devoir entrer dans la pièce de toute évidence. 

Téléphone: temps restant trois minutes.

La main toujours bien accrocher à la poignée, il pris son courage à deux main et l'entrouvrît,  essayant d'obtenir la moindre information mais rien, la pièce était visiblement très sombre. Il nous jeta un dernier coup d'oeil avant de l'ouvrir cette fois si pour de bon et d'y mettre un pied  suivit de près par moi et du faux blond a quelque pas de moi. La pièce était plonger dans le noir et dans un silence assourdirent presque stressant, mon coeur tambourinait dan ma poitrine de plus en plus vite. Pourtant rien ne se présenta pour nous stopper alors que nous allions mettre fin a ce jeux horrifique. Nos pas étais le plus silencieux possible pour faire le moins de bruit possible, mes yeux parcourant la pièce du regard, ne trouvant rien d'autre que des ombres essayant de nous faire fuir. Arisu avançait vers une autre porte qui était situer dans le fond de la pièce, moi et le faux blond toujours sur ses talons, aucun de nous ne prononçait la moindre parole trop préoccuper par ce qui nous attendait derrière cette nouvelle porte. Encore une fois Arisu hésitait a ouvrir la porte, quand il se retourna pour nous faire face, ses yeux s'agrandir d'un coup nous avertissant du danger qui se rapprochait dans notre dos.