Chapitre 22

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Tout le groupe était positionné, chacun se trouvait a son emplacement près a excuser le plan conçu par Chishiya. Dix minute au par avant il avait demandé si tout le mon était en position, ce a quoi chacun de nous avait répondu par l'affirmation. Maintenant tout le monde attendait le top départ, qui déclencherai une fois pour toute le plan. Il n'y avait personne dans les couloir, le silence régnait a présent en ce lieu, un lieu qui avait pour but de toujours émettre des sons. Ce silence m'angoissait un peu a vrai dire, je voyais en ce silence un avertissement et une sorte de condamnation. J'espérais sincèrement ne croiser personne pendant tout le long de la mission sachant pertinemment que ma culpabilité se verrai sur mon visage. Mon stress serait évident pour quiconque me verrai, il ne serait donc pas compliquer de comprendre que quelque chose clochait. Alors je croisait les doigt espérant que cela suffise a m'éviter de futur problème. 

Ne trouvant rien a faire, je comptait les seconde espérantos que celle-ci passe le plus rapidement possible, j'avais envie que tout cela se termine au plus vite. Lorsque je senti le talkie-walkie grésiller, mon coeur s'accélèrera aussi vite qu'une voiture de course. Je n'aimais absolument pas être au centre du danger, heureusement que je n'avais pas été designer pour entré dans la chambre du chapelier, je n'en serait jamais ressorti, le plan aurait couler avec moi. 

J'entendis la voix du blond sortir de l'engin qui se trouvait entre mes mains, il nous indiqua que le nouveau chef de la plage était entrain de faire son discours et que les activiste et le conseille se trouvait tous avec lui. Il s'agissait donc de la parfait opportunité pour agir, tout le monde était concentrer sur le discours qu'était entrain de prononcer Aguni et personne n'allait venir nous interrompre. 

Il fallait que je surveille un couloir proche du discours afin de surveiller les aller et venu de tous les habitant de la plage. Je savais que si j e m'en allais cela pourrai tourner en désavantage pour Arisu mais je n'avais pas d'autre choix ma décision était prise depuis mon retour a la plage. Je n'attendais qu'une seule chose, que Arisu soit dans la chambre afin que toute l'attention soit concentrer sur lui. A ce moment la je partirais discrètement afin d'aller retrouver Jiha, qui devait déjà être entrain de m'attendre. 

J'attendais patiemment que l'heure tourne a mon avantage pour m'extraire discrètement de tout danger. Mon coeur était près a réagir à la seconde même ou le garçon envoyer au front annoncerai qu'il serai en pleine terre ennemi. Je me sentait mal, de les abandonner a leur sort, sachant que cela pouvait mal tourner mais je n'aurai peut-être jamais d'autre occasion. Surtout si on prenais bien la fuite après avoir récupérer les cartes. 

Alors quand j'entendis sa voix, j'abandonna directement mon poste sachant que le moment était enfin venu. Je changeas de fréquence afin de pouvoir avertir discrètement mon acolyte de ma venu imminente. Mes pas me guidait tranquillement vers la salle des machines, mon talkie-walkie a la main, ce qui me rendait un peu suspecte. Après tout il était rare de voir une autre personne en dehors des activistes tenir entre ces mains ces engins, je pris donc la décision de le cacher dans la première salle qui s'offrit a moi. Je savais qu'en le laissant ici, je n'aurai aucun moyen de suivre la fin de l'histoire mais il valait mieux que je reste discrète, mon cerveau enregistra le numéro de la chambre afin d'avoir la possibilité de revenir le chercher. 

A partir de maintenant, je me retrouvais sans nouvelle des autres alors que je me rapprochais de ma cible. j'espérais sincèrement que tout ce passait de leur côté, j'avais envie de croire qu'ils allaient réussir. Je savais qu'en tournant a gauche dans le couloir suivant j'attendrai ma destination final mais comme si l'univers était contre moi, je senti un main agripper mon bras d'une manière brutale. Ce geste eu comme effet de me tourner en direction de mon agresseur, il s'agissait de deux activistes armé jusqu'au dent. Les deux m'observaient, m'indiquant qu'il valait mieux pour moi que je ne tente rien que je puisse regretté.

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