Chapitre 14

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A mon réveil, Chishiya était toujours allonger sur le lit, les yeux clos, m'indiquant qu'il dormait encore. Son visage endormie me paraissait paisible, aucun plie ne venait déformer sont visage, on ne pouvait y voir aucune trace de préoccupation quelconque. Une fois que je mettais installer sur le lit, j'avais très vite trouvé le sommeil, sachant que aucun mal ne me serait fait. A peine avais-je fermer les yeux que les rêves m'avait emporter, je me demandait si lui aussi c'était endormi a la même vitesse que moi, ou si le sommeil avait mis plus de temps a vouloir de lui. Je pouvais entendre sa respiration, qui était lente montrant son état de sommeil. Aucun cauchemar ne venait perturber son visage serein, c'était étrange de le voir dans un état aussi fragile, j'avais l'impression d'apercevoir le vrai lui. 

J'étais surprise de voir que cette nuit avais été reposante, cela faisait des jours que je dormais très mal et que cela impactait ma capacité rester énergique pendant toute la journée. Ce matin la je ne sentait aucunement la fatigue, cette fatigue qui s'était agripper a moi pendant des jours mais qui cette nuit avais perdue au combat. Observant une dernière fois le garçon qui m'avait sauver la vie, je me décida a me lever, je n'avais pas du tout envie d'être la quand il se réveillera. Avant de sortir de l'a chambre pour m'en aller je fis un détour dans dans la salle de bains ou reposait mes habits enfin sec près a se rendre utile. 

Alors que je m'apprêtais a sortir de la chambre, je jeta un dernier coup d'oeil a la chambre, me faisant remarquer la commode près de la fenêtre. J'avais le sentiment que celle-ci m'appelait, je n'avais qu'une envie c'était d'ouvrir les tiroirs pour voir ce qu'ils pouvait bien contenir. Je savais que ce n'était pas une bonne idée et qu'a tout moment il pouvait ce réveiller mais il y a bien une autre chose dont j'était sur, c'était que je ne pouvais pas lui faire ouvertement confiance. Avec ce que je m'apprêtais a faire, j'aurais d'une manière ou d'une autre une réponse qu'elle me plaise ou non.

Je m'approcha a pas de loup vers la commode qui avais l'air de briller dans la pénombre de la chambre. Alors que je me retrouvais a ça hauteurs, des doutes m'envahir, je n'étais plus aussi sur que ma décision soit la bonne, je senti mon corps vibré d'indécision. Je jeta un coup d'oeil au garçon toujours endormi, sa respiration ne montrait aucun doute sur son état. Ma mains fini par toucher le bois rugueux de la commode, afin d'accéder au premier tiroir, l'ouvrant doucement pour que celle ci n'émette aucun sons. Une fois ouverte je fus surprise de constater que celle-ci était complètement vide, il n'y avais qu'une petit bout de papier froisser a l'intérieur. Je le pris en mains afin de voir ce qu'il décelait mais il ne s'agissait que d'un gribouillis qui n'avait serte aucun sens pour moi. Je le reposa a l'intérieur avant de refermer le tiroir et d'ouvrir les deux autre qui ne contenait pas grand chose, tout se qui reposait a l'intérieur n'était d'aucune utilité. 

Je dois avoue, le fait de n'avoir rien découvert me perturbait, j'était certaine qu'il y aurai la preuve qu'il trafiquait quelque chose, pourtant il fallait que je l'accepte je mettait complètement tromper. Il faut bien l'admettre depuis que j'avais mis les pied ici, je me méfiait de tout le monde afin de m'assurer qu'aucun deux ne pourrait me mettre un couteau en plat dos mais peut-être devrais-je essayer de faire confiance a certaine personne qui depuis que je les connaissais n'avais jamais eu de comportement étrange avec nous. Avant de sortir de la chambre je l'observa une dernière fois, comme si cela pouvait me permettre de déceler tout ces secrets ou comme si cela allait pouvoir m'assurer que j'avais de quoi lui faire confiance. Il est vrai que depuis que je l'avais rencontrer, il m'avais plusieurs fois prouver que je pouvais lui faire confiance en m'aidant mais tous ce que j'avais fais jusqu'à aujourd'hui pour le remercier c'était de me méfier de lui. 


Errant dans les couloir pour retourner dans ma chambre, je tomba sur les filles, qui avaient l'air un peu paniquer. Lorsque je me rapprocha de quelque pas, elles m'aperçurent et Yuki se jeta dans mes bras en laissant échapper un soupire de soulagement. Elle t'écarta après quelque seconde me laissant respirer, je ne comprenais pas pourquoi elles avaient toute cette réaction. Mon regard les interrogea afin de découvrir ce qui avais pu les tracasser ainsi.

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