le jeu de la vie

Chapitre 19

Mon bras réclamais des soins que chishiya était capable de m'apporté si ce qu'il m'avais confié était vrai. Je n'avais aucune idée de pourquoi j'hésitait ainsi, mon bras était dans un sale état. Si il n'était pas soigner rapidement cela allait sûrement s'aggraver de façon drastique. Chishiya m'observait m'indiquant que je n'avais pas réellement le choix, si je voulais garder mon bras. Pourtant tout mon corps m'indiquait de refuser sa proposition, une alarme avait été déclenché lorsque sa mains avait agripper mon poignet. Depuis que j'était ici je ne mettait pas assez écouté, et a partir de maintenant je ne ferait plus cette erreur. 

Aria: je n'ai pas besoin de ton aide.

Ses sourcils, ce levèrent, amuser par mon mensonge, il savait parfaitement que je n'avais aucune base en médecine. Un sourire discret pris également place sur son visage accentuant ses pensées. Malgré que son regard montre qu'il était amuser par la situation, il n'avait aucune intention de me laisser m'en aller, après tout il c'était déplacé et ce n'était surement pas pour rien.

Chishiya: Ne joue pas a l'enfant, tu sais que tu as besoin de soins. 

Sur ses mots il m'attrapa la main, celle de mon bras non blessé, afin que je me laisse guidé par ses pas, pourtant je resta sur place, ne bougeant pas d'un centimètre. Nos bras était tendu entre l'espace qui nous séparait, aucun de nous n'avais envie d'être le premier a abandonné. Lorsqu'il avait remarquer que je ne le suivait pas, je l'entendit pousser un petit soupir avant de d'incliner sa tête dans ma direction attendant que je le suive. Pourquoi ne pouvait-il pas simplement écouter se qu'on lui dit, avec lui c'était toujours pareil, il désirait avoir le dernier mots. Ne voulant laisser place a la discussion,  pour lui tout ceci était parfaitement normal après tout, il avait toujours réussis a plan le dernier mots.

Aria: ne peut tu pas tout simplement me laisser tranquille

Il me regardait, ses yeux descendait le long de mon corps avant de venir croiser mon regard, esquissant un sourire, me faisant frémir doucement. Je n'était absolument pas d'humeur pour ce petit jeu, je le fusilla du regard pour lui signifier de me laisser une bonne fois pour doute.

Chishiya: Non

Je fus surprise par ses mots, je ne m'attendait pas a ce qu'il réplique ça, un simple non, qui pouvais signifier un million de chose différente. Ce simple mots, imprégna mon esprit afin de l'occuper pendant un moment. C'était dans ces moment la que je n'arrivait pas a le comprendre, j'avais l'impression de me retrouver face a un version différente de lui et ces dernier temps j'avais l'impression de la croiser plus qu'a la normal. 

Chishiya: laisse moi te soigné, je n'ai pas que ça a faire.

Cette fois, j'était offusqué, pourquoi voulait-il a tout pris me soigner si il n'avait pas le temps pour ça. Avec cette phrase j'avais l'impression de l'avoir forcé a m'aidé alors qu'il s'agit totalement du contraire. Il y a peine deux seconde j'aurai pu croire qu'il s'inquiétait pour moi mais une fois de plus, il avait agit froidement juste après. Comment était-je sensé réagir face a ce genre de scène, je me demandait même si il ce rendait compte de la façon dont il agissait avec moi. 

A la suite de ces mots, il tira sur son bras d'un coup sec sans être violent mais ce qui me poussa a faire deux trois pas dans ça direction si je ne voulais pas tomber par terre. Même si je n'appréciait guère la façon dont il m'avait parler, j'était exténuer et je n'avais aucune envie de me battre pour une chose aussi futile.

Aria: c'est bon mais tu n'as pas besoin d'êtres aussi désagréable.

Un souffle s'échappa de mes lèvres, j'en avais plus qu'assez que l'on me traine a gauche a droite s'en prendre en compte mon avis. J'avais envie que pour une fois l'on m'écoute et que l'on me laisse avoir le dernier mots. J'avais l'impression d'être une enfant a qui on ne laissait pas vraiment le chois, car elle était trop jeune pour comprendre le monde qui l'entoure, sauf que ce n'était absolument pas le cas.