le jeu de la vie

Chapitre 12

Chishiya: c'est exacte, j'avais compris depuis le début.

Son regard s'accrocha au miens comme si il voulait me défier, sur ce terrain glissant. Ça réponse ne me plaisait pas le moins du monde, j'avais eu de fort doutes lors de notre épreuve. Je crois que j'aurais préfèré qu'il me mente plutôt que de savoir qu'il avait oser jouer avec nos vie comme si elle ne représentait rien, comme si la vie des autres ne comptait pas, comme si ça mort n'était q'une possibilité absurde. Sa voix était direct, aucun regret ne la faisait hésiter, il avait prononcer cette phrase avec désinvolture, il avait l'air presque ennuyer de devoir tenir cette conversation.

Aria: Et pourquoi n'a tu rien fait?

Il c'était amuser avec nous pendant tout le jeux, sachant que l'on avait peu de chance de s'en sortir vivant. Il avait surement laisser les deux autre hommes mourir et j'avais la certitude qu'il ne remontait aucunement de la honte face a ses agissements, comment pouvait-il se regarder en face alors qu'il laissait pleinement des personnes mourir alors qu'il avait la possibilité de les sauver. 

Chishiya: pourquoi aurais je fais quelque chose?

Il était entrain de s'amuser a me narguer, répondant a ma question par une autre, je voyait bien que la situation l'amusait un tant soit peu et je ne comprenais pas comment cela pouvait-il être possible. Ne voyait-il pas que cela était  aussi affreux que cruel. La façon dont il agissait commençais a m'agacer et j'attendait une vrai réponse de sa part, mon visage comparer au sien lui ne dégageait aucun amusement et je pense que ça se voyait parce qu'il répondit quand même a ma question. Avec lui tout n'était qu'un jeu il ne prenais même pas la vie au sérieux, j'avais envie de savoir pourquoi il avait pu risquer nos vie, pourquoi il avait été près a nous laissé mourrir, après tout il n'avais non plus aucun interêt a vouloir de nous en vie.

Chishiya: je n'aurais pas attendu si j'avais su que vous n'en étiez pas capable, et le Chapelier voulais savoir si tu pouvais réussir le jeu toute seule, il voulait te tester et tu as réussi sinon il ne t'aurais pas fais venir a la réunion.  

Ces deux homme étaient mort a cause d'un fichu test, comment pouvait adhérer a ce genre de comportement. Il avait été envoyer dans le même jeu que moi pour voir de quoi j'étais capable et comment j'avais réussi survivre jusqu'ici. A aucun moment je n'avais pu imaginer que quelqu'un allait surveiller le moindre de mes gestes lors d'un jeu pour avoir si j'était digne d'approcher le chapelier. Pourquoi cherchait-il a renforcer leur rang, n'avait-il déjà pas assez de gens qui disputait les décision prise durant lors conseille. Ils avaient risquer nos vie pour un test, non mais c'est une blague, je commence a en avoir plus que marre de cette plage, pourquoi avait t'il fallu que nous la trouvions. 

Aria: le Chapelier...mais pourquoi ?

Quel intérêt pouvait avoir le chapelier a me surveiller, voulait-il simplement agrandir ses troupes, ou y avait-il quelque chose de bien plus calculer derrière tout ceci, je doit avouer que je n'arrivait pas très bien a le cerner.  

Chishiya: il était curieux, je suppose. Car il avait déjà entendu parler de toi, lors de ton premier jeu et pour le second aussi et tu est arriver a la plage, donc il s'intéresse a toi, pour que tu puisse récupérer des carte pour lui. 

Je vois j'aurai peut être du laisser les autres mourir au premier jeu, sa m'aurai éviter tout ceci, bien que je sache que j'en aurai été incapable surtout a notre arriver. Mais se que je savais c'est que aujourd'hui je le regrettait amèrement, je me demandais si cela aurai change quoique se soit ou si nous étions destiner a atterrir ici. Quand a Chishiya, il avait toujours se sourire arrogant, comme si il avait su que nous n'allions pas mourir se jour la, je détestait le voir ce jouer de moi ainsi. Apres cette discussion Kuina nous proposa d'aller manger pour calmer les tension de tout le monde. On c'était diriger vers la salle manger, elle était immense, pouvant contenir au moins deux-cent cinquante personnes, assez pour accueillir plus de la moitié des résidents de ce lieu. La salle était a moitié libre, les gens allait surement commencer a remplir la salle dans une heure ou deux, surement fatigue de la veille. Observant les habitant, essayant de voir si je reconnaissait quelque tête mais aucun de ses visage fermer ne me disait quelque chose. Je suppose que ça me soulageai de savoir que aucune personne de mon entourage ne se trouvait ici. Une penser vint s'incruster en moi, si ça se trouvait, ils étaient arriver ici comme nous ne comprenant pas se qui leur arrivait et lorsqu'il avait participe a leur premier jeux, il n'avait pas survécu. Alors que je me perdait dans des penser atroce, je fus ramener a la réaliser lorsque mes compagnon choisirent une table. On s'était installer a une table pour quatre dans le fond de la salle, la table était coller au mur, les filles se sont installer chacune en face de l'autre ne nous laissant d'autre choix que de nous mettre en face de l'autre. Je n'avais aucune envie de devoir me mettre en fasse de celui-ci mais je ne pouvais pas faire la remarque, se serai déplacer. La table n'était pas très grande, ne laissant peut dépasse pour nos pied, une fois installer je pouvais sentir sa jambe coller a la mienne, no jambe se touchaient. Chacun de nous avais sont assiette et commençait a manger tranquillement tout en parlant, les discussion allait et venait naturellement. Nos pied toujours coller n'avait pas bouger d'un centimètre depuis que le repas avait commencer,  aucun de nous deux n'avait envie de l'enlever en premier, comme une sorte de défi. je commençais a avoir des fourmis au pied et pourtant je restait la sans bouge une seule seconde, je n'avais pas envie de perdre a ce jeux. Pourtant il allais bien falloir que je bouge cela commençais a vraiment être désagréable presque insupportable.. Alors je releva mon pied frôlant au passage sa jambe, se qui le fit relever la tête vers moi, surpris. Voyant sont regard se relever sur moi, je me tourna vers lui en causant un sourcil interrogateur, ne comprenant pas ce qu'il voulait, jusqu'a ce qu'il bouge ça jambe. Qu'est-ce qu'il croyait que j'étais entrain de faire, mes joue se teintèrent légèrement face au malentendu. En repositionnant mes jambes j'espère qu'il avait compris que mon geste n'était qu'un malentendu, après cela je ne les bougea plus du tout jusqu'à a fin du repas. Le reste du repas ce fit dans la bonne humeur ce qui fus très agréable a vrai dire ça faisait un moment que je mettais pas sentie aussi bien. Mais je sentais la fatigue me gagner, j'avais besoin de me reposer quelque heure loin de toute cette agitation.