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9 La Forêt

Noah et moi nous regardons tous aussi paniquer l'un que l'autre et courrons dans la forêt en quête de Camille. Pendant notre course, nous nous séparons, évidement si non ce ne serai pas drôle. Mais là en plus de chercher Camille, je cherche aussi Noah. Donc je les cherche tous les deux mais il commence à se faire tard puisque la nuit tombe. Je commence à paniquer et à crier le prénom de Noah et Camille en même temps que de pleurer Evidement je n'ai pas mon portable, j'ai dus le faire tomber en courant. Ca doit faire maintenant 1h que je cris, je n'es plus de voix mais m'en fous. Comme je suis épuiser je m'assoie contre un arbre et commence à m'endormir.

POV NOAH

En courant, j'ai perdu Joyce. Je m'inquiète donc pour elle. Ca dois bien faire maintenant 1h que je cherche Joyce, je commence à perdre espoir. Quand d'un coup, j'entends quelqu'un cris mon prénom, donc forcément c'est Joyce. Je cours de toutes mes forces vers la voix mais ne l'entends plus. Je continue quand même dans la même direction, jusqu'à ce que je trouve Joyce assoupis contre un arbre. mon premier reflex es de lui sauter dessus.

POV JOYCE

Je me réveille secouer par Noah. Noah! Je lui saute dans les bras et le sert comme si ma vie en dépendais, ce qui est un peu le cas. Je pleure encore je sais pas par quel magie, vu le nombre de fois où j'ai pleurer.

Noah: Hé, Joyce? Je suis là, chut tous vas bien. Arrête de pleurer.
Je le serre toujours plus fort contre moi. Par peur de le perdre une autre fois.

Joyce: J'ai eu si peur de te perdre. Je veux plus te perdre, reste avec moi. Dis je en pleure toujours plus.

Noah: Je sais, moi aussi j'ai eu peur de te perdre, mais je ne te lâcherai plus jamais tu peux en être sûre. Et on s'endormir, Noah et moi dans les bras de l'un et de l'autre.

le lendemain matin, je me réveille toujours dans les bras de Noah. Qui lui est éveillé et me regarde.

Joyce: Tu me regarde dormir maintenant ? Dis je en me calant mieux sur lui.

Au moment où Noah allé répondre, nous entendis un cris. Nous sautons tous les deux directement sur nos pied, Noah m'attrapa la main et courra vers ce cris. En arrivant sur le présumer lieu nous voyons Camille coucher parterre la tête en sang. J'accoure vers elle pour voir si elle respire ce qui est le cas tandis que Noah cherche je ne sais quoi dans son sac à dos. Il en ressors un talkie walkie. Il appelle ce qui doit être la police ou les pompiers et leurs donnent notre position. Quelques minutes plus tard Nous entendons des sirène de polices et pompiers. Les pompiers essaye de me séparer de Camille, en vain puisque c'est finalement Noah qui réussi à m'éloigner d'elle. Je m'accrocha donc à ce que je pu qui en ce moment fût Noah, qui essaya de calmer mes pleures et mes cris comme il pût. Ce qui donnerai un truc plutôt drôle si ce n'était pas dans de telle situation. La police nous raccompagna chacun chez nous et expliqua à nos parents ce qu'il c'était passer et expliqua à mes parents qu'il avait gardés Camille en observation. A la première seconde où la porte se ferme je reçois une énorme gifle de mon père évidement à ce moment là j'avais décidée de ne pas me laisser faire.

Joyce: Tu n'as aucun droit de lever la main sur moi, tu as bien compris. Dis je en criant de toutes mes forces et à ce moment là je crus que j'allais recevoir une deuxième gifle de la part de mon père. Mais a mon plus grande étonnement je la reçus de ma mère, je la regarda alors choquée de ce qu'elle venait de faire et partis directement dans ma chambre. Tous le reste de ma nuit, je ne fit que pleurer et ne dormis que très peu voir pas du tous.

Le lendemain, je ne me leva pas puisque je n'avais pas le morale à ça. Mais mon père fut d'un autre avis que le miens.

Papa: Arrête de pleurer pour rien, tu n'es qu'une chialeuse, tu ne sais que faire ça. Et bien à partir de vendredi ça vas changer, tu iras en interna puisque nous n'avons trouvez personnes qui ne voulaient qu'une bonne à rien. Maintenant, bouge ton cul et vas en cours. Me cris t'il. La chose positive c'est que je ne me ferai plus frapper là bas. Je me leva donc et m'habilla de sorte à cacher le plus mon corps et une casquettes pour cacher mes cernes puis partis en cours.