partie 2

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PDV (EXTÉRIEUR)
Freya mit 1 heure à faire son sac, par ailleurs, elle rangea la boîte dedans, Johann avait décidé de lui laisser du temps car il éprouvait de la pitié pour sa fille. Car elle ne savait pas qu'elle ne rêverait plus jamais madame Bertha.

Freya se dirigea vers la porte d'entrée, avec les larmes qui dévalaient ses joues rosies, accompagné de madame Bertha qui ne lui lâchait pas la main.

C'est quand elles étaient devant la décapotable, qu'elles se prirent dans les bras et avec les larmes aux yeux que madame Bertha retourna dans la maison, sans se retourner pour ne pas compliquer les aurevoirs.

Pendant que la petite fille attendait dans la voiture, comme lui avait exigé son père, elle entendit des hurlements provenant de la maison. Elle comprit assez vite qu'il s'agissait des hurlements de madame Bertha qui cria sur une personne qui ne pouvait qu'être son géniteur.

Au bout de 5 minutes de cris, une détonation retentit dans la maison ... Plus de cris, seulement le calme, qui terrorifiait la petite fille.

Enfin son père sortit de la maison, il n'adressa aucun regard à sa fille, monta à son tour dans la voiture et démarra.

PDV (FREYA)
Pendant le trajet, je ne parlai pas et mon père non plus, je ne savais pas où il m'emmenait, j'avais peur. Je regarde mon père qui ne m'avait pas lancé un seul regard depuis qu'ont étaient partie de la maison.

C'est alors, que je remarquai dans la poche de son manteau, un revolver, j'en avais déjà vu à la maison auparavant. Je venais de comprendre qu'il avait tué madame Bertha.
Les larmes me montaient aux yeux, puis je repensais à ma promesse, alors, je m'empressai de sécher le peu de larmes qui avait réussi à tomber.

1 heure et demie plus tard, la voiture s'arrêta devant un gros bâtiment, mon père descendit de la voiture, je l'observais jusqu'à ce qu'il me lance un regard glacial.

Johann : Suit moi, ne pose pas de question et prends ton sac. *Dit-il d'un ton sec (je commençais à m'habituer à se ton) *

Sur le chemin, qui menait je ne sais où, j'avais remarqué que là plus par des gens qui étaient dans cet endroit étaient tous des hommes, tous vêtue de la même manière : veste gris foncé avec une pieuvre rouge brodée sur les côtés de chaque épaules et un pantalon également gris, ils avaient tous des armes à feu. Rien ici ne me rassurait.

Quand mon père se stoppa, nous étions dans un long couloir blanc qui renfermait plusieurs portes en fer avec seulement une petite fenêtre refermer par des barreaux. Il s'arrête devant une et l'ouvrit à l'aide d'une clé.

Johann : Entre, c'est ici que tu vas vivre désormais.

J'entra d'un pas lourd, c'était une petite pièce 9m carrée, avec 1 lit blanc, des draps blancs, un bureau blanc, une armoire blanche, et dans le fond de la pièce il y avait une autre porte. J'avais l'impression de me sentir compresser, que cette pièce avait été conçue pour rendre fou.

Johann : Je reviens dans 10minutes, le temps que tu ranges tes affaires.

Mon père parti et derrière lui il referma la porte, à clé, pourquoi je ne sais pas, il avait peut-être peur que je m'enfuisse et que je passe inaperçue auprès des dizaine de clones présent dans cet endroit.

Je rangeais mes affaires et sortit la petite boîte noire, la posa sur le bureau, et m'assied sur mon lit (absolument pas confortable) et l'attendît jusqu'à ce que j'entende la serrure se tourner.

Johann : Bon maintenant, prends ton cadeau que je t'ai offert et suit-moi.

PDV (EXTÉRIEUR)
Freya prit le cadeau, qui selon elle n'en était pas vraiment un et suivit son père jusqu'à une autre pièce, qui recouvrait de plein d'objets médicaux différents, et toutes sortes de machines qui n'inspiraient pas confiance.

Le fatal destin de FreyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant