partie 3

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(Petit retour dans le temps) +PDV(EXTERIEUR)

15 septembre 1944 : Le docteur Zola venait d'administrer la dernière dose du sérum super-tesseract à Freya. La petite était répartie dans sa chambre, et le docteur Zola allait quitter la pièce jusqu'à ce que Johann Schmidt rentre en trombe dans la pièce et crie sur le doc.

Johann : POURQUOI LE SERUM NE FAIT-IL TOUJOURS PAS EFFET SUR ELLE !!

Docteur Zola : Je... Il faut du temps po-pour que son organisme accepte les pou-pouvoirs, du Tesseract, je suppose ...Il f-faut attendre....

Johann : CA FAIT 1 ANNEE ENTIERE QUE J'ASSISTE AUX INJECTIONS ! N'ai-je PAS ASSEZ ATTENDUE !??

Docteur Zola : Si-Si

Johann : AUGMENTER LES DOSES DE 10% A CHAQUE NOUVELLE PIQURE !!!

Docteur Zola : Mais... Mais on ne p-peut par faire ça, ça pourrait mettre sa vie en danger....

Johann : EST-CE QUE JE VOUS DEMANDE VOTRE AVIS ?!? NON...

Docteur Zola : Bien... Je vais faire de mon mieux...

Johann : On fait sa sur 1 an de plus.

Docteur Zola : Ou-oui.

Retour le 15 octobre 1944 :

Johann : *toujours d'un ton sec et froid* Tu as dû t'en apercevoir les 1 an son passée mais maintenant j'ai décidé, avec l'aide du Docteur Zola que nous allons continuer ton traitement pour encore 1 an.

Freya : *elle était déboussolée à l'idée de devoir encore subir des injections alors qu'elle pensait en avoir fini avec* ma-mais pourquoi...je-je ne comprends pas....

Johann : Il n'y a rien à comprendre, tu vas juste faire ce que je te dis, tu préfères peut-être mourir ???

Freya : N-non.

Johann : Bien alors il n'y a rien à ajouter, Docteur, voulez-vous...

Docteur Zola : Ou-oui tout de suite Monsieur Schmidt.

PDV (FREYA)

C'est ainsi que continue ma vie très peu palpitante, les mois suivants ont été... douloureux, je remarquais bien qu'à chaque fois que j'allais recevoir une dose de cet « antidote », les quantités augmentaient et plus elle augmentait plus j'avais mal.

C'était le lendemain de ma 20e piqure que j'avais senti un changement chez moi, car lors de ma 20e dose administrée je m'étais évanouie sous la douleur qu'elle me procurait, et je m'étais réveillé le lendemain matin, avec une drôle d'impression.

Les 5 prochaines doses étaient elle aussi plus douloureuses et à chaque fois je m'évanouissais, le Docteur qui remplaçait Zola, (car oui je n'avais plus vu Zola depuis 3 mois pourquoi, je ne sais pas, on n'a jamais voulu me répondre), me demandais si je me sentais différente et à chaque fois je mentais. Car je finissais par penser que ce n'était pas un traitement ou un antidote mais bien une autre chose.

Ça faisait 2 ans que j'étais entrée dans ce gros bâtiment, et que je n'en étais jamais sortie....

15 octobre 1945 : Je lisais un livre lorsque quelqu'un entra brutalement dans ma chambre, c'était un homme au crâne rouge, je le reconnaissais facilement, c'était mon père, il me faisait peur et faisait les 100 pas dans ma chambre.

Johann : TU SAIS QUOI, J'EN AI MARRE, J'AI BEAUCOUP MISE SUR SE PROJET, DONT TU ETAIS LE SUJET PRINCIPAL ! *il m'hurlait dessus, je faisais de mon mieux pour tenir ma promesse, ma à ce moment-là c'était presque impossible* DONC VU QUE LE SERUM NE MARCHE PAS SUR TOI, TU NE ME SERS A RIEN.

Mon père sortit alors une arme à feu et la pointa sur ma tête, j'étais pétrifier, je ne pouvais plus bouger, il était la devant moi, toujours aucune émotion sur le visage excepté la haine. Doria qui assistait également à la scène, sortit en courant de la chambre (pétase).

Johann : TU EST COMME BEAU ETRE MA FILLE JE TE DETESTE, TU AS TUE LA SEULE PERSONNE QUE J'AIMAIS ALORS AUJOURD'HUI TU VAS PAYER, J'AURAIS DÛ FAIRE CA LE JOUR OU ELLE EST MORTE.

Freya pleurait, et vu la mort, à 5 ans, arrivé à grands pas, son père appuya sur la détente.

PDV (FREYA)
J'étais tétanisée, j'avais entendu la détonation, mais plusieurs secondes après, je ne ressentais aucune douleur et j'étais toujours vivante, je regardais mon père qui me regardait surpris. Quelques minutes après, mon père tira en l'air (sûrement pour vérifier si son arme marchait) puis redirigea son arme sur moi, et il tira, jusqu'à ce que son chargeur se vide. Moi, je n'avais rien pas une égratignure, par une ombre de sang, rien ...

Johann : Ça a donc marcher * chuchota-t-il avec un mince sourire sur son visage *

Freya : Qu'est-ce qui a marché ? *Demandai-je encore sous le choc*

Johann : Le seru ... le traitement petite idiote *m'informa-t-il en reprenant son air le plus froid *

Il se dirigea vers la porte de ma chambre et avant de sortir il m'a dit : Tu ne serais pas si inutile en fin de compte ... Puis il quitta la pièce en fermant le porte à clé.

PDV (EXTERIEUR)

Johann venait de quitter la chambre de sa fille, (qu'il considérait plus comme une expérience), il n'en revenait toujours pas de ce qui venait de se passer.

3 heures étaient passées et Crane Rouge (Johann) voulait savoir si sa fille pouvait absorber plus que dans balles, alors il alla chercher ses armes qui contenait la magie du Tesseract, retourna dans la chambre de sa fille et lui tira dessus avec, selon lui il n'avait plus rien à perdre, il avait déjà perdu assez de temps.

Freya, sans qu'elle ne le sache avait réaliser l'un des rêves de Johann, qui était abasourdi devant ce qu'il venait de voir, normalement les tirs de ce genre d'arme ne résistait à personne même pas à lui.

Le père de Freya lui annonça de faire ses valises, puis il repartit en laissant sa fille. Après l'annonce de son Père Freya prépara ses affaires, elle avait l'impression d'être de retour 2 ans en arrière.

PDV (FREYA)

J'avais fini mes bagages et j'attendais sur mon lit, je ne reviendrais surement jamais ici, et ça ne m'attire pas.

Doria arriva dans ma chambre, m'a demandé dans la suivre, je pris mes affaires et la suivit à l'extérieur du bâtiment.

Devant ma « prison » il y avait un mini-avion et mon père toujours rouge qui m'attendait. Je m'avançais jusqu'à lui.

Johann : Bien maintenant que ton traitement fait effet, tu vas aller en Suisse avec Madame Doria.

Freya : Pourquoi ??

Johann : Tu NE POSES PAS DE QUESTIONS !?! Tu sauras tous ce que tu as besoin de savoir quand tu arriveras en Suisse et pas avant. Maintenant monte dans l'avion et je te rendrais visite dans 6 mois.

Je montai donc dans l'avion talonner par Doria, il décolla quelques minutes après. Jusqu'à la destination prévue, personne ne parlait, même si j'avais passé les 3 quarts de mon temps avec Doria pendant 2 ans je pense qu'elle ne m'appréciait toujours pas.

Le fatal destin de FreyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant