Le week end...mon pire ennemis, et mon pire calvaire.
le samedi je sors et rentre a la residence familiale pour...un entrainement personnel, trois heures de torture quoi.
malgré mon incompetence mes grands parents ne lachent pas l'affaire, mon pere etait tres talentueux et ma mere egalement alors ils ont toujours un microscopique espoire en mes capacité, même si je sais que c'est vain.
ils devraient juste me desinscrire de l'academie et me laisser en paix mais non...ils preferent s'opstiner sur une espoire invisible.
je suis juste, un oiseau en cage boiteux, de la famille secodaire des hyugas...rien de plus rien de moins.
j'arrive a la residence de ma familles.
grand pere(GP): C'est pas trop tot! depeche viens!
je cours derriere lui.
J'arrive dans le grand dojo familiale et apperçoit Luze mon bourreau/entraineur.
Luze: jeune fille en garde nous n'allons pas perdre plus de temps.
je me met en garde mais comme d'habitude son premier coup arrive vite, et, je me le prend a chaque fois, sans manquer, en pleine face.
GP: CONSCENTRE TOI! TU DOIS DETECTER SON COUP ARRIVER!
il tape de sa cane pour signaller que ça allait reprendre.
Ce vieux con, il attend de moi qu'au lieu de voire son coup arriver de mes yeux je dois l'entendre et le sentir...il dit que c'est possible et l'a meme prouver mais c'est comme d'habitude, le talent ne s'achete pas...et en plus aucune energie lumineuse emane de Luze donc pour moi il est...totalement invisible, seulement une succecion de bruits sourds dans le noir.
j'essaie de mon mieux de le sentir mais son point arrive avant ma reaction et comme d'habitude je finis encore couverte de bleu, de sueurs et d'ematome a la fin de l'entrainement.
GP: mff, nul, nul, nul, un cas desesperé, sort de ma vue!
mon ventre gargouille mais je pars.
je traine derriere moi ma souffrance et pour l'instant ça n'a pas l'air de vouloir s'arreter.
je me dirige vers un des restaurants du quartier sous les regards meprisant qui me colle a la peau.
je m'assois a une table et apres une enorme attente je reçois un truc dans la tête.
serveuse: le menu.
je ne peux evidemment pas voir alors je commende comme d'habitude, a l'aveuglete, un plat servis par tout les restaurants qui osent s'appeller restaurant.
moi: des ramens s'il vous plait.
serveuse: mmf.
elle part et 20 mn plus tard on m'apporte mon plat et je paye.
je mange rapidement et pars tout aussi rapidement.
au detour d'une ruelle une voix familliere m'interpelle.
Bill: tiens tiens qui voila, notre cher petiite sorciere inutile héhé.
boby: Cette nul.
bobi: elle ne merite même pas d'etre la.
Bill et les jumeau, bobi et boby, ils sont tous tres fort, les meilleur de leur classe a l'academie ninja, et en bill je vois...une lumiere, je pourrais la reconnaitre entre mille.
Cette petite tache rouge et difforme.
il n'est pas fort...pour l'instant...mais la couleur foncé de sa marque le trahis, a ma connaissance ils aiment s'amuser a diverse chose horrible, egorgé un chat, ecraser les escargots, bruler les fourmis, harceler, frapper, insulter, des batar***ds inutile, leur avenir est sombre, ce sont le genre de ninja a aimer la guerre, le genre a ce convertir brigand une fois en temps de paix.
Ceci est bien mon seule talent, reussir a analyser les gens portant une couleur, celle ci revelle plus d'information que le visage, les expressions, les paroles et la gestuelle des gens car il ne faut pas l'oublier...sur terre il y a 7milliards d'humains mais 14milliards de visages...
bill: alors la sor-ci-ere tu ne nous a pas oublié j'espere. *narquoi*
moi: comment pourrais je...
bill: c'est bien.
j'entend ses pas se rapprocher.
comme d'habitude, un coup puis trois, neuf, puis 27 etc...
il aime ça...voire les autres souffrir et quelqun comme moi est la cible parfaite, personne ne me defendra, personne n'est de mon coté, personne ne me soutiens, personne ne se soucie de moi, personne ne m'empecherai de mourrir, ça les arrangerai même tous de me voire dans la tombe.
ils me frappent jusqu'a se lasser, tiens...je viens de me trouver une noouvelle capacité...je sais encaisser un max.
je me leve faiblement et me traine dans les rue sous ces regards pesant des tonnes sur mon dos.
je rentre jusqu'a mon chez moi, cette vieille cabane delabré, cette vieille cabane laissant passer, le froid, l'eau, les intrus, les rats, le vents et mon pauvre corp chaque soir.
je me jette sur mon lit et m'endors.
Je l'ai dit les week end sont les pires, il y a le samedi ou j'encaisse et le dimanche je dors toute la journé pour recouvrer mes forces.
le lundi je me leve ensuite, toute engourdis et je pars a l'academie.
Cc
___________________________________________________________________________________________________________
819 mots pour une bande de chakal ;)
VOUS LISEZ
/Le regard divin de la sorcière Hyuga/
FanfictionNée aveugle sans le pouvoir de ses pupilles héréditaires dans une branche secondaire de la famille hyuga, abandonnée, délaissée, que se passerait il si...cette jeune fille, hanya, dont les yeux ne disserne pas le monde vivant arrivait a voir...autre...