Chapitre 25

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Tournant comme un lion en cage attendant impatient que le temps avance plus vite, tout ce que je souhaite c'est qu'elle veuille bien m'écouter sans pour autant en parler avec les deux autres. Je suis prêt à tout pour la sauver malgré tout ce que j'ai pu faire contre elle mais j'étais totalement perdu. Le faite que je ressente une douleur indescriptible depuis qu'elle est partie rejoindre le camp des traitres ou simplement le faite que j'ai bien cru l'avoir tuer lors de la bataille contre les altruistes. Il y a aucune excuse assez grande pour que je puisse être pardonner pour les actes que j'ai commis à son encontre, je ne compte même plus le nombre de fois où j'ai failli la tuée souvent par cupidité ou alors peut-être par simple jalousie contre la relation qu'elle a avec Quatre. Continuant mon petit manège, je ne remarque même pas la présence de Max dans mon appartement comme s'il avait la clé où que c'était chez lui.

Max: As-tu trouvé une piste pour retrouver ces traitres ? Dit il se montrant enfin à moi.

Moi: Non, je suis en train de creuser pour essayer de trouver la moindre piste mais rien de probant pour l'instant mais dès que je trouverai, tu seras le premier au courant. Dis je essayant de le manipuler

Max: Bien, ils nous les faut vivant donc évite d'essayer à nouveau de la tuer. Dit il me faisant un clin d'il.

J'avais envie à cet instant précis de lui foutre mon poing dans la gueule comme réponse mais je ne fis rien, lui rendant une infime partie de vérité sur ce qu'il venait de me dire. Comment a-t-on pu devenir aussi cruel l'un envers l'autre ? Après réflexion, je suis certainement le seul responsable dans toute cette histoire. Tout a surement commencer lorsqu'elle a disparut de la circulation durant plusieurs années, j'ai cru avoir fait tout ce qui était en mon pouvoir pour essayer de comprendre les paroles mensongères de son père quand il m'a dit qu'elle avait été engagé par Jeannine qui devait surement être également dans le coup. Mon dieu faite qu'un jour elle me pardonne..

PDV Evy

Tenant toujours ce bout de papier entre mes doigts salis par la terre que je venais de retourner pour la saison des plantations, je n'en crois pas mes yeux une seule seconde de ce qui est en train de se passer. Comment a-t-il su que nous nous trouvions dans la faction des fraternels alors qu'ils sont censé être en paix et ne trahir personne. Attendez quand je vais balancer ça à Johanna, la tête qu'elle va faire quand elle découvrira que les audacieux et les érudits ont des indics parmi eux. Relisant encore et encore chacun des mots qui étaient écrit sur la petit feuille essayant de comprendre où était le piège derrière tout cela. Je ne savais vraiment pas quoi, est-ce que c'est une bonne idée d'en parler à Quatre qui voudra sans aucun doute m'empêcher d'y aller ou le dire à Johanna pour la prévenir des intrus et par la même occasion lui dire où je suis si jamais quelque chose arrive. Je suis totalement déboussolée, comment peut-on ressentir de la haine pour une personne qu'on aime plus fort que soit ? La vie n'est qu'un parcourt d'obstacles infinis dont la mort est la seule issue.

Johanna: Un problème Evy ? Dit elle me faisant sursauter sur place.

Moi: Oh, Johanna. Vous m'avez fais tellement peur, je m'attendais pas à votre visite.

Johanna: Il n'y a que les personnes qui sont en faute qui ont peur ainsi quand quelqu'un vient sans les prévenir. Dit elle d'un sourire encore plus faux que le cul de Jeannine.

Moi: Ca, c'est ce qu'on dit aux enfants lorsqu'ils font une connerie et qu'on les prends en flagrant délits. Dis je levant les yeux au ciel.

Johanna: Que tiens tu dans la main ?

Moi: C'est un mot d'Eric, il semblerait qu'ils ont des indicateurs parmi votre peuple.

Promesse d'enfance - Divergent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant