Femme d'un mafieux

56

Moi: Qu'est-ce que tu veux. Katerina.

Katerina: Tout ! Tu m'as tout volé ! Rends-moi ma vie espèce de pétasse.

Moi: Pourquoi Katé, pourquoi ?

Katerina: Ne m'appelle plus Katé. Katé, c'est pour les intimes. Et quoi, pourquoi ?

Moi: Pourquoi ne m'as-tu rien dis ?

Katerina: Pourquoi je te l'aurais dis ?

Moi: Tu l'aurais dû.

Katerina: Que ? Comment pourrais-je te dire que je sortais avec un mafieux ? Et pire. Le chef.

Moi: J'étais ta meilleure amie. Les meilleures amies ne se cachent pas ce genre de choses.

Katerina: Tu t'es bien mariée sans m'en parler, toi.

Moi: J'étais droguée, figures-toi. Je me suis réveillée deux mois après le mariage. Enfin, je me suis rendue compte que j'étais mariée sans mon accord.

Katerina: Peu importe. Je ne voyais pas comment pourrais-je le dire. "Eh, attention Ambre, tu es mariée à mon copain."

Moi: Voilà, ce n'était pas pourtant si compliqué.

Katerina: Ne fais pas la maligne avec moi. Tu ne joues qu'à ce jeu depuis peu.

Je vois Vianetta, Akach et les autres derrière la fenêtre qui me sourient. Comme pour me donner du courage.

Moi: Un jeu ? Figures-toi que je dirige une mafia, maintenant. En claquement de doigt, je pourrais donner l'ordre de te faire tuer immédiatement. J'ai mes gardes juste dehors, et il y a plusieurs mafieux cachés un peu partout. Juste un signale et tu te baignes dans une marre de sang. Alors toi, ne fais pas la maligne. Parce que j'adore mon nouveau jeu.

Katerina: Tu n'es qu'une peste ! Ambre ! Une pute comme ta mère !

Moi: Ne répète plus jamais ça !

Katerina: Pourquoi ? Elle ne t'a jamais dis que ça lui faisait plaisir de se faire baiser par cinq hommes ? Je suis sûre qu'à ce moment même, elle est entrain de revivre ce plaisir.

Moi: Espèce de garce !

Et je me lance sur elle en lui tirant ses cheveux, en lui griffant le visage, en lui donnant des coups n'importe où. On se retrouve à terre, d'un coup, je me retrouve sur elle et puis, d'un coup, je me retrouve à terre.
Je reprend le dessus. Je lui donne un coup de poing en plein nez, le répète plusieurs fois jusqu'à ce que je vois du sang. Et puis des bras costauds me soulèvent.

Timéo: Ok, ça suffit.

Moi: Lâches-moi !

Timéo: C'est bon, elle en a eu assez.

Moi: Pas à mon goût !

Timéo: Que s'est-il passé ?

Vianetta: Elles ne faisaient de discuter il y a encore deux minutes. On les a vu à travers la fenêtre.

Akach: Et puis Ambre a complètement pété les plombs. Elle s'est jeté sur elle et Garry t'a appelé.

Timéo: J'étais juste derrière. Ambre, que s'est-il passé ?

Moi: Elle a insulté ma mère ! Elle a dit que c'était une pute et qu'elle a bien apprécié son viol.

Vianetta: C'est toi la pute !