Chapitre 8

3.6K 66 21
                                    


PDV Charles

J'étais resté planter devant la porte de chambre de mon petit frère apparaît que Summer est décidé de repartir à l'intérieur.
J'avais écouter leur discussion et cela m'avait blessé, les mots de Summer étaient dur.
Dire qu'il n'y aura jamais rien entre nous est bien plus blessant que je ne le pensais, l'entendre de sa bouche est le plus blessant, de plus elle a suivi par faire des éloges concernant mon meilleur ami.
J'ai décidé de retourner dans ma chambre une fois qu'elle avait fini de lister toutes les qualitées qu'a Pierre.

J'ai alors bien compris que je l'avais perdu, et qu'elle était tombée pour quelqu'un d'autre. Summer a évité tous contacts que ce soit physique ou même visuel.
Ma mère est venu me voir une fois que les deux amis étaient montés la haut, elle m'a rappeler que je n'avais pas lâcher Summer des yeux durant tout le repas et que des que je l' ai vu apparaître dans le salon, mes yeux ont commencé à briller sans s'arrêter.
Tout ce qu'elle m'a dit je le sais déjà, je sais que dès que je l'ai revu après 3 jours sans la voir mon cœur c'est emballé et un sentiment de sécurité est apparu sans que je ne m'en rende vraiment compte.

Je n'ai pas tendance à m'excuser directement pour une faute que je fais lorsque cela concerne un proche, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, peut être que je veux grader une certaine carapace face à ceux que connais le plus, surtout face à elle, celle qui fait battre mon cœur à tout rompre, mais également la même qui ne désire qu'une seule chose à l'heure actuelle, être le pus loin de moi.

Je sais qu'il faudra que je lui parle, pas par principe non mais parce que j'en ai besoin, Summer est devenu une nécessité à ma vie et je ne peux pas le contrôler.

Après ce qu'il semble des heures je tombe enfin dans le sbras de Morphe la tête remplie de pensées à Summer, des images qui ne font que tourner en boucle, et ses lèvres sur chaque partie de mon corps, son toucher, son parfum, tout. Et l'avoir vu à quatre pattes devant moi dans la soirée n'aide vraiment pas mon esprits à y voir plus clair, bien au contraire même, des flashbacks ont fait leur retour dans ma mémoire et passe sans cesse comme si je regardais un film.

Il doit être 9h lorsque je me réveille, je sors de mon lit et ne reste que en short pour descendre en bas. Alors que j'ouvre ma porte de chambre n'entend déjà du bruit et plusieurs voix qui ne sont pas uniquement celles de Summer et d'Arthur.
Je descend donc les escaliers et me dirige vers la cuisine, lorsque j'y pénétre tous les yeux se rivent sur moi et la discussion cesse, mais mes yeux ne se posent que sur une seule personne, Summer, alors qu'elle voit que je la regarde elle détourne le regard et fixe son regard sur ses deux amies qui me matteng sans gêne.

-Salut, je lance alors que je me dirige vers l'îlot centrale et y récupère des fruits. Dans chacun de mes mouvements je sens deux regards pesant sur moi ce qui est un peu dérangeant.

-Hey Charles, me lance une d'entre elle.

-Coucou, me lance la deuxième. Je lève alors mon regard vers elles et je les vois regarder mon buste ce qui personnellement ne me dérange pas mais miss Summer pense le contraire.

Summer se place donc devant moi cachant donc mon torse nue. Elle plaque ses deux mains sur mon torse et me fait donc reculer et sortir de la cuisine.
-Va mettre un pull Leclerc. Dit elle alors qu'elle plonge son regard dans le mien, la petite Summer est donc jalouse, ce qui me fait automatiquement sourire.

-Pourquoi tu souris comme ça ? Elle me demande en fronçant les sourcils, et laissant sa prise sur mes abdos.

-Ne serais tu pas jalouse ? Je lui demande un sourire espiègle.

-Quoi ? Non, dit elle de sa voix aiguë ce qui veut dire qu'elle ment et elle sait très bien que quand elle fait ça elle est grillée, puis pour essayer de se défendre elle reprend la parole, elle recule donc légèrement et son toucher quitte ma peau, laissant une sensation de vide. Ce n'est pas ça du tout mais tu vois bien que ça, dit elle en faisant de grands mouvements pour me désigner mon haut du corps, c'est perturbant, les filles n'ont de yeux que pour ton corps d'Apollon, elles n'arrivent... Je ne la laisse pas finir, un corps d'Apollon, ce sont les termes qu'elle a utiliser, je sens que je vais bien m'amuser à la déstabiliser.

Ennemies LoversOù les histoires vivent. Découvrez maintenant