Ennemies Lovers

Chapitre 26

PDV Charles

Nouveau Grand prix et pas des moindres pour celui-ci, week-end de Grand prix du Japon, et un des Grands Prix les plus difficiles pour moi mentalement, et cela est du à la perte de mon ami et parrain Jules il y a quelque années. Je sais que si j'en suis là aujourd'hui sans ne grande partie grâce à lui, il m'a énormément apporté et appris mais je sais également que je suis la raison de sa mort, c'est moi qui l'ai encourager ou même forcé à rouler ce jour la, il faisait pas beau et il ne la sentait pas mais j'étais petit et fan de lui, le voir conduire était la plus belle chose que je voyais petit. Le voir lui au volant d'une formule 1, le rêve, mon rêve.

Summer n'avait pas pu venir et Dieu sait à quel point j'aurais voulu l'avoir à mes côtés dans ce week-end, je sais qu'elle aurait réussis à me sortir de la déprime et tristesse que je ressens à chaque fois que je viens ici, mais elle n'a pas pu être là et je ne lui en veux pas, elle avait un voyage pour son travail, et je sais à quel point c'était et c'est important pour elle, elle m'a toujours soutenu et ce depuis que j'ai mis un pied dans mon premier karting alors que j'étais encore petit. Elle m'a soutenu dans n'importe quel moment de ma carrière, ma rassurant après chaque course, et n'oubliant pas de me rappeler à quel point elle était fière de moi et qu'elle en était sûre que mon père et Jules l'étaient également de là haut, Summer est persuadé et à toujours été persuadé que Jules et papa sont comme des anges gardiens et qu'ils prennent soin de moi et ma famille de là où ils sont et j'aime cette idée, cette image qu'elle à réussis à me rentrer en tête, le fait qu'ils nous regarde de la haut et que peut importe ce que l'on va faire, ils nous regardent avec un énorme sourire sur les lèvres, fière de voir les personnes que nous sommes devenus. Cette image là d'eux ma beaucoup aidé dans mon deuil et je la remercierais jamais assez pour ça.

Les interviews post essaies libres étaient dures à gérer comme tous les ans ici, parce que les journalistes aimaient bien tourner le couteau dans la plaie en me reparlant de l'accident de Jules ici. Puis ils ont réitéré cela après les qualifications de samedi où je me place 7ème, ce n'est certes pas ma meilleure place mais je ne suis pas super bien ce week-end, je ne me sens pas à ma place que ce soit dans la voiture ou sur le circuit, j'ai l'impression que je ne devrais pas être là, un sentiment qui m'arrive ici tous les ans et je sais que l'on peut voir sur les photos, vidéos et interviews du grand prix du japon tous les ans que je suis triste et refermé, j'aurais voulu qu'elle soit à mes côtés ce week-end. Je n'ai jamais réussis à me placer sur le podium ici, et j'aimerais sincèrement finir sur la première place comme tous les pilates mais pour ma part ce sera plus significatif parce que je sais que cette victoire ne pourra être qu'en signe et qu'en l'honneur de Jules. Si il y a bien une course que je veux gagner après celle de Monaco c'est bien celle ci, j'aime gagner en Italie mais là c'est encore plus sentimentale, et non pas uniquement pour moi, mais pour ma famille et sa famille avec qui nous sommes toujours aussi proche, j'ai l'impression que ces derniers voient en moi un part de Jules et ils leurs aient déjà arrivé de m'appeler par son prénom ce qui je prends pour le meilleur compliment que l'on ne m'ai jamais fait, il était mon modèle et l'est encore aujourd'hui.

Il doit être 10h lorsque je suis en train de parler avec Pierre et Carlos dans les paddocks, la course ne commence que dans 4 heures. Les garçons font tous leurs possibles pour me remonter le morale et je les remercie infiniment pour ce qu'ils essaient de faire pour moi mais malgré tout je n'arrive pas à dévoiler un réel sourire même si je suis heureux de les voir, c'est vraiment compliqué pour moi d'être ici, si seulement elle était là. J'écoute attentivement Carlos qui nous parle d'une connerie qu'il a fait avec Lando lorsque je vois le regard des deux pilots se poster derrière moi et ils affichent un énorme sourire sur mes lèvres et lorsque j'allais me retourner deux mains se posent sur mes yeux, je sais qui sait parce que mon corps ne réagis de cette manière que pour une seule et unique personne, elle. Je pose mes mains sur les siennes et les enlève de mes yeux et je le sais qu'à partir du moment qu'elle a laissé sa peau rentrer en contact avec la mienne un vrai sourire et le premier ici depuis l'accident, s'affiche sur mes lèvres. Je me retourne vers elle et la prends dans mes bras, elle enroule ses jambes autour de ma taille alors que je resserre mon emprise sur elle pour la tenir le plus possible contre moi. Elle est là, elle est dans mes bras, elle a réussis à venir ici, pour moi, pour un week-end qui elle le sait est plu que compliqué psychologiquement et émotionnellement pour moi. Elle entoure ses bras autour de ma nuque et j'entends son rire résonner dans mes oreilles. Elle se détache de mon cou pour prendre mon visage entre ses mains et elle dépose un baiser sur mon nez, alors que je la tiens toujours contre moi, ses jambes toujours placé autour de ma taille, mes mains posés sur le haut de chacune de ses cuisses à la limite de ses fesses rebondis.