Chapitre 10

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PDV Summer

Je me sépare de Charles et garde mes yeux braqué sur le sol.

-Merci, je chuchote à son intention.

-Avec plaisir, il me dit et à l'entente de sa voix je relève les yeux et comme je le pensais Charles sourie.

-Hey ça fait un moment que vous êtes ensembles tout va bien ? Nous demande Arthur en entrant sur le balcon de ma chambre.

-Ouai, ne t'inquiète pas, je lui réponds, il m'ouvre ses bras et je ne perds pas de temps et m'y réfugie.

-On dîne à l'extérieur ce soir tous les trois ? Nous demande Arthur.

-Ouai moi je suis chaud, dit Charles.

-Uhm, je sors avec les filles se soir, je suis désolée, je répond et je vois alors la mine triste de mon meilleur apparaître sur son visage, je n'aime pas quand il fait ça parce que je craque à chaque fois. Arrête ça tout de suite Arthur Leclerc, j'essaie de lui ordonner mais cela ne fonctionne pas comme d'habitude, il faut savoir que ce jeune homme arrive à pleurer quand il veut, et c'est exactement dans ce genre de situation qu'il utilise se don ou talent je ne sais même pas comment nommer cela.

-Summer, dit il me suppliant.

-Non Arthur arrête tu sais très bien que je vais craquer, alors arrête ça tout de suite. Voyant qu'il n'arrête pas je me retourne vers Charles placé derrière moi, mais quelle fut ma surprise lorsque j'ai vu que Charles me faisait également les yeux de chiens battus, je plonge mon regard dans le sien et je sais automatiquement que son regard a lui est bien plus persuasif que celui se son petit frère même si je ne pensais pas que l'on pouvait faire mieux qu'Arthur.
Ne t'y met pas non plus Charles Marc Hervé Perceval Leclerc, dis je en le pointant du doigt pour appuyer mes propos. Vous allez me faire craquer c'est ça le pire, ranger vos yeux de chiens battus, je leur dis mais rien n'y fait, il faut que je détourne mon regard du plus grand des deux frères sinon cela va être encore plus compliquer de leur dire non. Je me tourne donc vers Arthur et encre mon regard dans le sien, il ne faut pas que je craque, il ne faut pas que je craque, c'est pas que je ne veux pas sortir avec les deux frères Leclerc au contraire même, mais vu ce que je me suis pris dans la gueule tout à l'heure par les fans de Charles je ne suis pas super chaude pour réitérer l'expérience une deuxième fois.

-Si c'est pour ce qui sait passé ce midi, on ne sera pas que tous les deux alors peut être qu'ils n'y verront rien de dérangeant à leurs yeux, me dit Charles, attirant alors mon intention vers lui, je me retourne donc vers Charles et plonge mes yeux dans les siens.

-Je ne sais pas trop Charles, j'ai pas envie que ça te cause des problèmes, je lui répond sincère.

-Et pour moi tu n'as pas peur, je vois déjà que tu as changé d'avis sur ton préféré, dit il pour rigoler ce qui fonctionne car je ris aux éclats.

-Arrête tu sais très bien que cela n'a jamais vraiment dérangé les gens que je sois avec toi, ou du moins je n'ai jamais vu les commentaires de ces personnes, alors que pour Charles c'est différent, il est dans une période d'apogée pour sa carrière et les gens pensent que j'arrive comme une petite fleur dans sa vie pour pouvoir profiter de sa notoriété et de son argent, je dis la dernière partie de ma phrase tristement, je n'aurais jamais cru que des personnes pensent cela de moi alors que je penses renvoyé tout le contraire mais il semblerait que je le sois trompée.

- Ouai et c'est triste de penser cela, vient là, me dit il, je m'approche donc de lui et lui me prend dans ses bras. Si je crois une personne dans la rue qui parle mal de toi, je l'attrape par le col et la massacre, je vais devenir ton garde du corps personnel, les mots d'Arthur me font exploser de rire et des larmes coulent le long de mes joues à cause de l'hilarité.

Ennemies LoversOù les histoires vivent. Découvrez maintenant