Chapitre 17

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PDV Charles

Lorsque Summer m'a dit qu'elle me pardonnait, je ne pu m'empêcher de sentir mon cœur se soulager, comme si un énorme poids venant d'être enlevé. Je sers alors Summer dans mes bras une fois que nos lèvres se séparent.

-Je ne voudrais pas gâcher le moment mais est ce que on peut aller manger ? Me demande elle, en posant son menton contre mon torse et en me regardant dans les yeux, et je ne peux m'empêcher de rigoler, du fait qu'elle est comme elle le dit gâcher le moment juste parce qu'elle a faim. Summer est spontanée, ce que je trouve, lui donne un charme en plus, mais ça elle ne s'en rend pas compte.

-Pourquoi tu rigoles ? Demande elle, puis elle n'attend pas ma réponse qu'elle se lève et part de la chambre, alors qu'elle passe la porte elle ne manque pas de me lancer une dernière phrase. Bouge ton beau petit cul Leclerc, ou je vais tout manger, et comme à son habitude sa spontanéitée me fait encore une fois rigoler.

Je décide alors de sortir du lit, et de me diriger vers la cuisine, lorsque j'arrive en bas, j'entends déjà qu'Arthur taquine sa meilleure amie.

-Oh lala, les bébés ont déjà finis d'être conçu, honnêtement je ne pensais pas que ça allait être si rapide, mais ça ne me déplaît pas. Vous pourriez l'appelé Arthur si c'est un garçon, je trouve que ça claque comme prénom, non ?

-Si tu continues c'est toi que je vais claquer Arthur, dit elle en lui frappant l'épaule.
Je décide alors d'entrer dans la cuisine, mais comme pour sa meilleure amie, je ne passe pas entre les mailles du filet.

-Pas trop épuisé des dingueries de Summer ? Me lance-t-il avec un sourire qui veut tout dire, et je ne peux m'empêcher de rigoler en voyant que Summer devient gêné, je décide alors de rentrer dans son jeu.

-Oh si tu savais, elle a du cardio la pepette, je lui répond, un grand sourire aux lèvres, ce qui fait automatiquement réagir Summer.

-Quoi ? Dit elle choqué, avec une voix un peu plus aiguë, surprise de ma réponse.

-J'en doute pas une seconde, me répond mon frère en rigolant, alors que le rouge ne fait que monter petit à petit aux joues de la personne concernée, je me dirige alors vers elle, dos à moi et j'enroule mes bras autour de ses épaules, la plaquant un peu plus contre mon corps.

-On n'a même pas coucher ensemble, dit elle dans son souffle, comme un air de déception dans sa voix qui ne se voulait pas volontaire, mais qui ne m'a pas échappé et qui n'a surtout pas échappé à Arthur.

-Serait ce de la déception que j'entends dans votre voix miss Smith, dit il.
Choquée par les paroles de son ami, elle se détache de moi et se précipite vers lui et plaque sa main sur sa bouche, tout en se retournant vers moi avec un faible sourire aux lèvres, gêné que son ami est dit tout fort ce qu'elle ressentait réellement, et je rigole à son action, qui je trouve à la fois comique et mignonne.

-Vous êtes quand même de sacrer petits cochons tous les deux, limite vous venez de finir que vous êtes déjà prêts pour un deuxième round, honnêtement je ne sais pas comment vous faites pour tenir la cadence que vous vous imposez, mais le pire c'est que vous passer votre temps soit à vous chauffez soit à être mignon, à un moment il fait arrêter tous les deux, dit Arthur alors qu'il avait enlever la main de Summer.

-Tu connais désormais notre secret pour nous tenir en forme, dis je en laissant apparaître un sourire fière de moi sur mes lèvres.

-Ok je préfère quitter cette conversation maintenant, dit Summer en s'approchant de moi, attrapant son bol de fruit derrière moi et elle sort de la cuisine, sans redire un mot.

Ennemies LoversOù les histoires vivent. Découvrez maintenant