Ennemies Lovers

Chapitre 16

PDV Charles

-Est ce que tu accepterais un date avec moi, Summer Smith ? J'ose lui demander en gardant nos lèvres proches sans pour autant les mettre en contact. Voyant qu'elle ne répond pas à ma question je recule mon visage du sien, blessé. Alors que nos yeux sont encore plongés dans les yeux de l'autre, je la vois baisser le regard vers le sol et je compris que sa reponse serait un refus, je brise alors tout contact avec sa peau, de nouveau énervé, pas contre elle, non, mais contre moi, me rendant compte que par mon comportement de connard et mes paroles de batard je ne suis même pas capable d'emmener la personne que j'aime à un simple date.

Puis elle relève les yeux vers moi, ne sentent plus mes mains sur ses douces et chaudes joues.
-Je ne peux pas accepter Charles, je suis désolé mais...

-Non c'est bon j'ai compris, et batard comme je suis, il fallut que je reffoutes le bordel d'avantage entre nous, va baiser avec Pierre de toute manière c'est ce que vous avez fait lorsque tu étais à Milan, sinon à quoi bon tu y serais aller, dis je enervé. Et comme je l'avais prévu mes paroles ne plaisent pas à Summer, et je m'en veux de lui tenir des paroles de cette ampleur mais je suis tellement en colère contre moi même que je ne peux garder et contenir cette colère en moi, je suis obligé de la dégager et malheureusement cela tombe sur l'une des trois personnes sur cette terre pour laquelle je pourrais donner corps et âme, Summer.

-PUTAIN DE MERDE, TU PENSES QUE JE SUIS UNE FILLE QUI COUCHE AVEC TOUT LES MECS QU'ELLE CROISE OU QUOI, PUTAIN JE TE JURE QUE SI TU NE QUITTE PAS MA CHAMBRE D' ICI LA SECONDE, JE TE BRISE UN OS, J'EN AI RIEN À FOUTRE DE SI TU AURAS LA CAPACITÉ DE CONDUIRE TA FORMULE 1 OU NON, me dit elle en craint et je me rends compte qu'à chaque mots que je lui adresse j'ai l'impression de la briser et la perdre un peu plus, j'ai été trop loin, mais il est désormais trop tard pour faire marche arrière à ce niveau là, je vois alors apparaître des larmes couler sur le lo g des joues de Summer.

-QU'EST CE QUE TU FOUTAIS CHEZ GASLY ALORS ? je lui demande.

-ÇA NE TE CONCERNE PAS LECLERC.

-JE PENSES QUE CA ME CONCERNE À PARTIR DU MOMENT QUE MON MEILLEUR POTE ET CELLE QUE JE CONCIDERE DÉJÀ COMME MA FUTUR FEMME ET MÈRE DE MES ENFANTS COUCHENT ENSEMBLES, je lui dis sans me rendre compte de la deuxième partie de mes propos là concernant, mais elle contrairement à moi à l'air de s'en être rendu compte, car elle se fige directement et semble se calmer.

-Qu'est ce que tu viens de dire ? Me demande elle perdu.

-Rien, oublie, je lui dis en baissant le regard désormais honteux.

-Vous en avez pas marre de vous criez dessus, bordel vous êtes relou, coucher ensemble une bonne fois pour toute, ayez des bébés et marier vous, que les prochains cris que l'on entende dans cette maison ne soient pas vos engueulades ou vos cries de jouissances mais bien ceux de vos enfants qui s'amusent, nous dit Arthur en entrant dans la chambre.

-Mais t'es malade ma parole, lui dis Summer, en le regardant stupéfaite.

-Quoi, tout le monde sait que vous allez finir ensemble alors arrêter de tourner autour du pot et passer à l'action, nous dit Arthur innocemment, ne se rendant donc pas compte de ses propos.

-Oh tu es voyante maintenant ? Lui demande Summer en se foutant de sa gueule.

-Oh si seulement tu savais, je vois tout dans ma boule de cristal et je peux vous dire que j'aurais préféré ne pas voir toutes les cochonneries que vous allez faire dans le futur, bande de coquinoux, dit il en rentrant dans le jeu de Summer, ce qui permet de détendre l'atmosphère.