la fête 1ère partie

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Salut, n'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de Léanne pour le moment et ce que vous pensez qu'il va se passer. Ça me ferait plaisir de savoir ce qu'il se passe dans votre tête quand vous lisez mon histoire et vos pronostiques, même de connaître vos personnages préférés.
J'espère que ça vous plait pour le moment !
Kisssss sur votre fesse droite, bonne lecture.

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Je me replace sur le siège passager en essayant de me rhabiller.

- Tu veux que je te raccompagne au lycée ? demande-t-il si aimablement.

- Non. Je vais rejoindre des amies au centre-ville à deux pas d'ici.

Et c'était vrai. Lorrie, Carole et moi devions aller au cinéma.

- D'accord...

Je sors de la voiture.

- Y a pas moyen qu'on se voit dans des autres conditions juste une fois ? Ciné... tout ce que tu veux... demande-t-il rapidement comme si cette question lui brûlait les lèvres mais qu'il lui avait fallu du courage pour la sortir.

Je me retourne. Ses yeux bleus et ses cheveux en bataille me font craquer... son air est si doux et sincère. On dirait vraiment un gamin, un très beau gamin. Si mes amies savaient qui je me tape elles seraient époustouflées, même jalouses. Elles me diraient d'accepter sa proposition. Mais je ne sais pas... J'ai peur de m'engager... de m'attacher...

- Je ne sais pas...

- Et bien si tu as besoin d'aide pour choisir je te conseille d'accepter, tu ne regretteras pas promis.

C'est mignon, il me décroche un sourire.

- Mercredi prochain, après l'entraînement, un ciné.

- Vendu, conclue-t-il.

Je me retourne et m'apprête à partir mais j'entends qu'il sort de la voiture.

- C'est de trop si je fais ça ?

Il m'attrape les hanches, me retourne et presse tendrement ses lèvres contre les miennes, puis, me regarde dans les yeux.

- T'es vraiment belle, je suis un sacré veinard.

- Merci...

Je n'arrive pas à lui retourner le compliment même si je le trouve sincèrement très beau et que j'adore de plus en plus nos moments.

Je détourne les yeux.

Son expression s'attriste et il me lâche.

- C'était de trop désolé, remarque-t-il devant mon air fuyant.

- Non, enfin si, mais je sais pas. À la semaine prochaine, m'empressé-je de rajouter, gênée.

- Oui.

Soudain, je me rappelle de quelque chose.

- Au fait, tu peux me rendre un service ?

- Oui.

- Samedi soir, tu pourrais venir me chercher chez moi pour m'emmener à une fête ?

- Euh... Oui. Tes parents ne peuvent pas t'emmener ?

- C'est plutôt qu'ils ne veulent pas...

- Je vois, petite hors la loi. Tu sors par la fenêtre ? demande-t-il en riant.

Il ne se doute pas que c'est exactement ce que je compte faire.

- Oui.

- Ah, pour de vrai ?

La fois de tropOù les histoires vivent. Découvrez maintenant