10 - C'est ok pour toi

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Le jazz est vif, douloureux, doux, tendre, lent ; il apaise, il bouleverse, c'est de la musique et ce qu'il rythme est vrai, c'est le pouls de la vie

Andrée Maillet

7:30


Je laisser passer Samuel devant moi, Antoine nous a tous envoyer un message pour venir plus tôt aujourd'hui, il nous offre le petit déjeuner. Sa lui arriver de le faire, mais surtout quand c'est une grande occasion, alors notre nouveau pianiste est une grande occasion.

- Prépare toi, les petit déjeuner sont costaud avec eux.

Je mange rarement le matin, mais quand tu te retrouves devant une table remplis comme celle devant nous. Tu n'a plus vraiment le choix.

- Je vois ça.

Plusieurs tables on ete regroupé près des fenêtres, décoré d'une belle nappe a carreaux rouge. Plusieurs petit gâteaux, croissant et pains au chocolat son posé dans des assiettes jaune. Mon ventre se met instinctivement a gargouiller furieusement et je comprend que même si ca me dégouté au premiers abord mon ventre veut manger. Je n'ai pas vraiment le choix.

- Bonjours, je pose mes affaires et je reviens, j'ai quelques chose pour vous dit je en passant devant tout le monde, déjà installé.

Je passe la porte de la salle de repos, je pose mes affaires sur le porte manteau, récupérant la boite de donuts de mon sac. Je devais leur présenter c'est donuts que j'ai manger il y a quelque jours. Finn les a adoré et ma même demander l'adresse.

Je pose la boite sous leur regard curieux, je m'installe sur le chaise a coté de John.

- Je sais, Margaretha t'est gâteaux sont parfait mais laisse une chance a ses donuts dit je en ouvrant la boîte.

Curieuse elle en prend un, il se retrouve en deux partie après une légère pression de ses doigts dessus. Elle analyse l'intérieur avant de le croquer.

Les secondes passe, puis un immense sourire égayer son visage. Contente je prend la tasse que me tend Antoine.

- Il sont excellents, je les réserve pour moi, prenez le reste dit t'elle en rigolant récupérant la boîte dans ses mains.

Je gratte doucement chacune de mes cordes, je suis le tempo qu'insuffle John derrière sa contrebasse. Une mélodie plus douce qu'a notre habitude. Nous avons beaucoup de clients. Et même s'il chuchote, et que nous jouons plus doucement nous ne voulons pas brusquer l'atmosphère presque mélancolique de la santolines sauvage aujourd'hui.

Je croise pendant quelques secondes le regard d'un homme, un carnet et une palette d'aquarelles sont poser à côté d'un café, et à une forêt-noire posé sur sur une assiette doré. Son pinceau virevolte sur son carnet et je me demande ce qu'il dessine. Quelques mètres plus loin, autour d'une table carrée. Deux jeunes adolescents discutés des regards plein de tendresse se mélange à leurs paroles. Plus près du bar, un papy perdu dans ses pensées tournant sa cuillère dans un café noir. L'anneau brille sur son doigt, me rappeler notre discussion il y a quelques mois, il m'avait informé la mort de sa femme. Nous avions l'habitude de les voir tous les deux, nous avions discuté pendant de longues minutes, et je lui avais offert l'addition. Ses yeux percutent les miens et je lui souris. Il a l'air d'aller mieux en se moment.
Plus proche de la fenêtre, les sofas sont occupés par un groupe d'amis, leur discussion a l'air intrigante, ils boivent toutes les paroles de la jeune femme, la seule assise sur un fauteuil tandis qu'il sont installés sur les canapés. Dehors, les tables sont prise, certain fume tandis que certains parler fort en rigolant . Notre mélodie les touche différemment. Nos instruments se mélangent au bruit des rues. Le soleil tape contre la vitre, les rideaux nous cachent légèrement de l'extérieur. Rendant au café la fraîcheur qu'il n'y a plus dehors.

18:41Où les histoires vivent. Découvrez maintenant