(Amour sucré) Le Poids des Secrets - Tome 2 [TERMINÉ]

Chapitre 41

– Cinq mois plus tard –

Allonger dans le lit l'un à côté de l'autre Castiel caressait doucement le ventre de Diane qui s'arrondissait de plus en plus au fil des mois.

Les premiers mois avaient été difficiles à passer, à la moindre petite douleur Castiel et Diane pensaient au pire, mais chaque jour était une petite victoire sur leur combat.

Castiel déposa un baiser sur son ventre murmurant lentement à leurs enfants qu'ils les attendaient impatiemment tandis que Diane se mit à sourire tendrement devant le regard de son homme.

— Il est à quelle heure ton rendez-vous ? demanda-t-il.

— À dix heures quarante-cinq. Tu es prêt à connaitre le sexe de nos bébés !

— Plus que prêt et que ce soit deux petites filles, deux petits garçons ou encore les deux, je les aimerais comme je t'aime.

Son cœur bondissait fortement en entendant ces trois petits mots sortirent de sa bouche et une douce chaleur enveloppa son cœur faisant s'envoler de nombreux papillons dans son ventre.

— Attends, je vais te faire écouter quelque chose d'encore plus magique ! lui lança Diane. Tu peux m'apporter ma sacoche, s'il te plait.

Castiel se leva et l'embrassa sur les lèvres avant de se rendre dans le bureau pour prendre l'objet demander et Diane se redressa lentement, s'installant confortablement dans le lit. Le rebelle entra dans la chambre et le lui donna sans attendre se réinstallant dans le lit, Diane sortit un stéthoscope de sa sacoche et le tendit à son amant.

— Mets-le et pose le pavillon sur mon ventre ! incita Diane.

Castiel lui obéit et il écarquilla les yeux en entendant les battements de leurs petits cœurs pulser dans ses oreilles. Il glissa lentement l'objet sur l'abdomen, les yeux imbibés de larmes, heureux de vivre la grossesse en même temps qu'elle, puis il s'arrêta retirant le stéthoscope.

Le rebelle se mit à côté de Diane et l'embrassa sans attendre posant une main sur son visage approfondissant le baiser avant de se décaler posant son front contre le sien.

— Merci, Diane !

— Castiel Cameron Lawson, tu as fait de moi une femme comblée alors c'est à moi de te remercier pour tout ça !

Alors qu'il s'embrassait à nouveau, un coup de sonnette se mit à retentir dans tout l'appartement. Les amants se séparèrent et Diane soupira en levant les yeux au ciel.

— Je te jure si c'est mon frangin je le tue et je l'enterre dans le jardin ! lâcha Diane.

— Nous n'avons pas de jardin, ma chérie ! lança Castiel en riant ; et ce serait dommage de faire perdre leur oncle à nos enfants.

— Tu as raison j'ai besoin de mon jumeau pendant encore une belle paire d'années.

— Je vais aller ouvrir, toi tu descends doucement.

— Oui papa !

Castiel descendit l'escalier, se dirigeant vers la porte d'entrée tandis que Diane les descendait tranquillement, mais s'arrêta quand une jeune femme se tint aux côtés du rebelle.

— Ilyana, mais qu'est-ce que tu fais ici, à Sweet Amoris ? questionna Diane en portugais.

— Je viens te prévenir de l'arrivée de la famille en France ! répondit-elle. J'ai eu l'adresse par Léa, grand-père ne sait pas que je suis venue ici.

— Pardon, grand-père a fait le déplacement !

Elle se tourna vers Castiel lui expliquant que toute sa famille était arrivée en ville et surtout son grand-père.