Je la pousse sur le lit afin de l'allonger, l'effet de surprise dans son regard est là. Cette chaleur au fond de moi grandi, me mettant à califourchon sur son bassin. Une seule envie en tête la dominer, la posséder. Je l'embrasse plus délicatement cette fois ci, dirigeant mes baisers vers son cou en mettant les dents pour y coincer sa peau. Je ressens un frisson parcourir son corps, ce qui me fait sourire. Elle commence à faire courir ses doigts dans les cheveux, c'est sans ménagement que je lui saisis les poignées pour les placer au dessus de sa tête. Sa respiration accélère, je pourrais presque entendre les battements de son cœur.
- Ne baisse pas les bras, murmurais je au creux de son cou.
Elle eu qu'un gémissement d'impatience comme réponse, se qui me fit empoigner son cou d'une seule main.
- J'attends une réponse de cette sublime bouche, et non un gémissement, ajoutais je d'une voix plus roque et dure.
- Mmmh...o..oui.., parvient elle à prononcer.
Je continue ma descente jusqu'à son buste, faisant glisser ma langue à la naissance de sa poitrine. Je lui ôte ses vêtements, pour la laisser en sous-vêtements, son corps est chaud et désirable mais il ne mérite pas de libération pour le moment.
Je fais courir mes mains sur son ventre, le long de ses jambes frissonnante. Pour l'instant, je ne touche aucunement les parties encore couvertes de tissus fin. Elle bouge ses hanches, l'excitation commence à la consumer. Je place les mains sur son bassin afin de l'empêcher de bouger, en y mettant une certaines forces. Son instinct lui fais baisser les bras, les portant à mes joues.
- Mia, j'ai.., dit elle avant de laisser échapper un autre gémissement.
- Supplie-moi, désire moi comme je te désire, dis-je en appuyant un peu plus sur les os de son bassin.
- Je veux plus, arrête de me faire attendre, dit-elle essoufflée.
La flamme qui brûle en moi, me consumer également ce feu ardent grandit, cette femme est l'essence qui le renforce. Mais pour l'heure, je ne prête pas attention aux conséquences, même si je sais qu'il y en auras.
Je me lève du lit afin de me diriger vers l'accès à ma pièce, je me rapproche un peu plus vers mon vice, comme une droguée en manque depuis bien trop longtemps, en route vers l'allée menant à son dealer qui l'attend pour lui refiler sa dose. Je vis le regarde de Lexie, l'incompréhension.
- Tu..enfin..tu es..
- Je te laisse deux possibilités, soit tu monte de toi même, soit je t'y fais monté..
Pour toute réponse elle se lève et monte, je la suits. Une fois en haut, je ne lui laisse pas le temps de découvrir plus que je la dirige vers le grand lit où je la fais s'allonger.Cette pièce ne comporte pas de véritable lumière, aux murs ils y a uniquement des meubles vitrés laissant transparaître les accessoires comme des trophées. Je suis en face d'elle au pied du lit, au sol et au mur au niveau de la tête de lit il y a deux anneaux solidement fixé. Je fais passer une chaîne dans ces derniers, pour attacher chaque extrémité ses chevilles l'obligent à écarter les jambes. Je fais la même chose pour les poignées qui sont placés au niveau de la tête de lit. Je me dirige vers une de commode vitrée sur la gauche, lève la vitre pour récupérer un objet métallique. Aucune de nous, n'avait prononcer un mot, je m'installe près d'elle en ayant son regard fixé sur chacun de mes gestes. Mon regarde croise le sein, je savais que je n'étais plus moi mais bien une autre face de Mia. Toujours les yeux rivés sur elle, d'une main délicate je maintient son buste, et de mon autre main je viens couper la zone centrale de son soutien, libérant sa poitrine. Je coupe ensuite le peu de tissus qui me bloque encore l'accès à sa fleur intime. Je pose les ciseaux sur la table à côté du lit, pour venir me place entre ses jambes et je constate qu'elle est déjà bien mouillée.
Je commence par faire courir mes doigts sur son pubis, effleurant ses lèvres, elle se crispe a ce contact rapidement son bassin se lève. Je sais ce qu'elle veut, la délivrance de cette frustration, pour moi aussi cela est grisant, surtout de la voir offerte à moi avec les jambes bien écartées. Je laisse ma bouche frôler son clitoris, permettant à mon souffle chaud de s'écraser sur sa peau. Au moment où elle s'y attend le moins, je lui offre le seule et unique coup de langue ce qui lui fit basculer la tête en arrière, je me lève la laissant, là, excitée et frustration de mon action.
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La Boxe et la Médecine
RomanceEntre les cordes du destin se croisent deux vies diamétralement opposées : L'une offre des coups L'autre prodigue des soins. D'un côté, une âme intrépide défie constamment les limites, tandis que de l'autre, une âme bienveillante œuvre pour guérir...