Sans avait bloqué son regard sur la silhouette qui flottait, dès à présent, à ses côtés.
Cette silhouette était un squelette d'une assez petite taille, environ 1m60. Il portait un simple sweat vert un peu trop grand pour lui, ce sweat avait un col roulé blanc ainsi que deux ficelles reliés à deux boules de petites tailles.
Il avait des chaussettes – Longues – laissant seulement voir le bout des phalanges de ses pieds ainsi que son talon.
La couleur des ses pupilles étaient d'un vert pure tendit que le contour inférieur de ses orbites possédaient une sorte de trait de couleur vert.
Son regard était étrangement brûlant, comme si il était en colère.
Sans : « J'imagine que tu n'es pas de bonne humeur. » Le squelette au large sweat vert hocha le crâne d'un élan sec, se dirigeant rapidement vers la cuisine dans la but de chercher son breuvage.
Green : « Pensais-tu sérieusement que j'allais être de bonne humeur dès mon réveil, crétin ? » Sans secoua son crâne de droite à gauche avant de se redresser sur le canapé, frottant l'arrière de son dos, endoloris.
Sans : « Depuis quand saurais-tu de bonne humeur, même ? » Il avait lentement rejoint le squelette flottant dans la cuisine, s'asseyant sur le plan de travail à côté du grincheux.
Papyrus ne savait pas à propos de Green, il n'avait jamais su, d'ailleurs. Sans avait pensé cela plus prudent de garder son cadet dans l'ignorance.
Sans ne voulait pas tout gâcher, il voulait simplement vivre une vie normale, comme avant, sans que personne ne vienne s'incruster dans sa vie pour lui proposer ces idéaux.
Il n'avait pas envi d'être utilisé.
Green attrapa le récipient remplit du liquide noire et amère qu'il aimait tant, prenant une grosse gorgée de ce dernier.
Sans poussa un léger soupire, étrangement, il avait l'impression que quelqu'un était déjà venu ici, mais pas lui, ni Papyrus, et ni Green.
Quelqu'un.
Mais qui est quelqu'un, déjà ?
Sans secoua son crâne, une nouvelle fois, de droite à gauche.
Green : « Qu'est ce que j'ai loupé ? » Le squelette à la veste bleue se tourna vers le squelette au sweat vert, le regardant du coin de ses orbites, il déplaça un peu son coccyx du plan de travail dans le but de s'écarter du bord.
Sans : « Pas grand chose. J'ai simplement tué une poignée de monstres, hier soir. » Sans ne disait mais plus que cela était difficile, au contraire !
La pitié était partit.
Il arrivait à dire, à exprimer que cela était simple alors que pour une personne normale, cela m'aurait profondément affecté.
Que c'était t'il passait pour qu'il ait un changement aussi radicale ?
Green : « Bien ! Bien ! J'imagine que tu l'as fais à cause des pulsions qui s'accumulaient. » Sans déglutit, sentant la salive descendre péniblement dans sa bouche.
Green prit une nouvelle gorgée de café avant de lécher une petite goutte qui s'était faufilé hors de sa bouche.
Sans : « Oui. Les pulsions sont de plus en plus importantes, ces temps-ci. » Green lécha l'intérieur de sa bouche, laissant le goût de son breuvage sur sa langue – Magique ( Elle était d'une couleur verte claire ) –.
Green : « Plus importantes ? J'imagine que ton corps commencent à s'habituer doucement aux pouvoirs que tu as obtenu grâce à moi. » Green déposa la tasse de café dans le robinet avant d'y verser un gros jet d'eau, éclaboussant légèrement son sweat, mais qu'est-ce qu'il s'en foutait.
Le courant d'eau s'arrêta quand Green saisit la poignet qui permettrait au robinet de libérer le liquide limpide.
Il replaça la tasse dans le placard.
Sans resta fixe sur une partie de la cuisine, le malaise lui vint mais il s'en débarrasse très vite.Pourquoi être mal à l'aise dans sa cuisine ? Bordel ?
Sans : « Habitué ? » Green se plaça de nouveau aux côtés de Sans, flottant encore et toujours un peu au dessus du plan de travail, Sans frotta ses orbites du revers de sa manche droite.
Green : « Oui. Ton corps commence à prendre goût à ma magie. Mais à cause des petites interférences : Des résidus magiques ne devant pas se trouver là, s'infiltrent dans ton âme ainsi que dans ton crâne. » Green tapota de l'index de sa main droite le crâne de Sans. Il reprit : « Mais ces résidus magiques ne sont pas comme ceux que tu libérés naturellement ( Ceux qui sont reliés à la confiance de Sans ), ce sont des résidus dangereux qui s'échappe de leur chemin, ils se dirigent dans les mauvais endroits et provoque des pulsions que peu de personnes savent contrôlés. » Sans pencha son crâne sur le côté en la redressant immédiatement.
Se souvenant des effets secondaires qu'il avait après qu'une de ses pulsions, il se tourna vers Green.
Sans : « Green, ses résidus magiques dont tu me parles, ont-ils des effets secondaires ? » Green hocha son crâne de haut en bas, la nostalgie l'envahissait, il se pencha un peu vers l'arrière.
Green : « Oui ! Mais les hôtes comme toi ont plus de facilités à les stopper. Le problème, c'est que les pulsions ont quelques fois un degré de puissance plus élevé que d'autres. Étrangement, c'est toi qui a le plus de pulsions au degré incohérent. » Sans se sentait un peu flatté, mais il ne le montra pas.
Il descendit rapidement du plan de travail en entendant les pas provenant de l'escalier devenant plus bruyants.
Papyrus : « SANS ! ES-TU DANS TA CHAMBRE ? MOI, LE GRAND PAPYRUS, VOUDRAIS TE RÉVEILLER POUR UNE BONNE NOUVELLE, SI CELA EST LE CAS ! » Sans se dirigea rapidement vers le canapé, se jetant, paniqué, sur ce dernier.
Green le rejoignit, s'asseyant sur l'accoudoir.
Papyrus apparut dans leur champs de vision.
Sans, décontractant ses épaules, salua son cadet.
Sans : « Oui, oui. Je viens de me réveiller, frangin. Quelle est cette nouvelle ? » Papyrus laissa une expression inquiète se formait sur son visage, voyant le visage de son frère se tordant, pour sourire. Il secoua son crâne de droite à gauche, reprenant son expression joyeuse.
Papyrus : « UNDYNE M'A PROPOSÉ UNE OFFRE ! ELLE VOUDRAIT QUE JE ME JOINS À SES RANGS ! CEPENDANT, IL FAUT QUE J'EMMÉNAGE DIRECTEMENT DANS LE CHÂTEAU OU PRÈS DE SON HABITATION POUR EFFECTUER CE RÔLE ! » Sans soupira bruyamment, la compagnie de Papyrus n'était jamais ni de trop ni de moins, et il ne voulait que son bonheur, alors, pour être le grand frère qu'il voulait être, il devait accepté.
Il s'était promis de faire en sorte que tout le monde soit heureux, quand il était revenu ici.
Sans : « Comme tu veux, Pap's. » Le concerné, sautillant de joie, se dirigea, chantonnant, dans la cuisine. Fouillant dans le réfrigérateur.
Papyrus : « MINCE ! IL N'Y A PLUS DE SPAGHETTIS ET JE N'ES PAS LE TEMPS D'EN CUISINER ! JE SUIS DÉSOLÉ, MON TRÈS CHER FRÈRE FAINÉANT, TU N'AURAS PAS LE DROIT À UN PETIT DÉJEUNER, CE MATIN ! » Sans hocha son crâne de haut en bas, repoussant une des ficelles de Green qui s'était décidé à cogne son visage.
Papyrus attendait la réponse de son aîné.
Sans : « Ne t'inquiètes pas, j'en mangerai demain, pour l'instant, tu devrais préparer tes affaires, je ne voudrais pas que le poisson bleu se ramène à la maison pour te rappeler à l'ordre. » Papyrus sortit de la cuisine, se dirigeant vers d'escalier avant de monter, sautant les marches par 4.
Papyrus : « TU AS RÉSOND, GRAND FRÈRE ! JE VAIS LE FAIRE DE CE PAS ! » Sans hocha son crâne. Changeant l'émission télé qui se trouvait sur l'écran de cette dernière.
VOUS LISEZ
Private Property - (Classic Sans x Bad Sanses)
FanfictionSans vient tout juste de se faire virer de la Bad Sanses. Ils n'avaient plus besoins de lui, il était devenu un fardeau contre la Star Sanses, ou même dans la vie de tout les jours. Mais ils seront bien heureux de voir à quel point ce renvoi là aff...