Chapitre XXXIII

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Bon dieu, c'était horrible.

Sans avait l'impression de mourrir.
Quelques une de ses nombreuses côtes étaient brisées, tandis que sa jambe droite avait reçu des coups de marteau sur son articulation ainsi que sur la surface des 2 os du tibias, sans oublier le fémur.
Ses poignets étaient fermement attachés à la corde juste au dessus de son crâne, s'usant et souffrant.
Ses omoplates avaient de temps à autre étaient retournés. Et ses bras avaient simplement goûtés à de grands clous, encore enfoncés.
Et c'était Dust qui faisait tout ça. C'est Dust qui se faisait un putain de plaisir à le voir souffrir. Se tortillant et gémissant de douleur à chaque coup.
Mais le poussiéreux ne s'était jamais demandé si le squelette torturé avait besoin d'une pause.
Mais pourquoi se demanderait t'il cela ? Son but était de le faire craquer, non ?
Urgh. C'était chiant d'avoir toujours la même pensée en boucle pendant des heures consécutives.
Pourquoi penserait t'il à mon bien-être quand il voulait tout simplement finir sa tâche ?
C'est lui, qui pensait stupidement, là.
Il fallait juste qu'il tienne bon.
Il n'allait pas mourrir, si ?
C'était devenu impossible et là n'était qu'une question de temps et d'ardeur.
Il était plus fort si il restait comme tel.

Mais de l'autre côté, Dust était ravi. Enchanté. Il adoré tout ces petits cris, tout ces petits spasmes incontrôlable, tout ces petits tremblements quand ces os rencontraient le m'étale froid de son couteau ou de son marteau, tout ces petites choses qui rendaient sans cesse la torture plus géniale chaque jour de son existence.
Cela faisait aussi tellement de bien à son égo. Pouvoir utiliser une personne qui ne finira pas par mourrir, torturer dans le rythme qu'il voulait sans retenu. Il attrapa une phalange de la main gauche de son prisonnier avant d'enfoncer avec lenteur toute la longueur. Et une fois à sa fin, il prit l'autre côté et le sortie dans le sens opposé. La limite du clou laissant une énorme fracture au niveau de la phalange du squelette aux pupilles blanches.
Comme il l'avait dit, c'était délicieux. Il plaça le clou ensanglanté dans l'humérus droit de Sans avant de reprendre son marteau. Même si il adorait voir cette régénération tout simplement galérer, il préférait éviter les conneries. Alors avec l'autre côté du marteau, il enleva les clous un par un, une douce mélodie rencontrant son audition.
Le squelette maintenu par une corde juste en face de lui, couinait, pleurait hurlait. C'était si. Si étrange. Totalement différent.
C'était même excitant. Il fit ensuite bien attention à regarder si des trous étaient Infectés, voulant évités que la régénération ait de mystérieux problèmes par sa faute.
Dust : « Alors, toujours pas ? » La question était revenue une nouvelle fois. Et malgré tout ce qui c'était passé, le squelette était déterminé à garder le silence. Baissant son crâne vers le bas en mordant ses lèvres – Squelettiques – dans l'espoir d'arrêter de pleurer. C'était pathétique de faire cela de toute les manières.
En plus, qui viendrait l'aider ?
Cross ? Il était blessé.
Green ? Pourquoi demandait, ça l'amuse.
Et c'était tout, 2 personnes étaient vraiment au courant de son existence et de ses sentiments, mais malheureusement, ces personnes n'étaient pas dans l'état ou l'envie de l'aider.
Sans : « Va te faire foutre, Dust. Va te faire foutre. » Le concerné roula des orbites en faisant claquer sa langue contre son palet. Le son faisant écho entre les murs de la cave (C'était juste sûr, que c'était la cave).
Dust : « Bon, je dois passer à la prochaine personne. À ce soir, chéri. » Va te faire foutre. Juste, dégage. Ne reste pas là à me toucher avec tes mains sales.
Ne m'effleure plus les os avec tes horribles phalanges.
Ne frotte pas ta veste contre mes blessures.
Sans entendit ensuite de nombreux cris, surtout de peur. Puis des clés et un long bruit de métal grinçant. Et ce n'était ensuite qu'une personne qui hurlait.
Et bien évidemment, pour le squelette aux pupilles blanches, c'était beaucoup trop bruyant.
Sans : « Ferme ta putain de gueule, salopard ! Souffre en silence ! » Et après cela, il aurait put juré entendre Dust dire : “ Arrête de crier, bouffon. Je n'ai pas envie que mon prisonnier souffre à cause de tes bruits immondes. ” Et tout avait cessé.
Plus aucun bruit, rien.
Seulement des sanglots étranglés ainsi que des craquements et des bruits de chairs se remuant. Ainsi que les outils que le poussiéreux utilisé.
Sans fut ensuite une chute jusqu'au sol, la corde ayant cédé quand un des os du squelette à la capuche l'avait transpercée.
Le squelette aux pupilles blanches lâche un gros et long soupire étouffé.
Green : « Il est assez doué. Il ne t'a pas fait beaucoup saigner, en plus. Je veux dire, juste un peu. Mais pas beaucoup. Ça se voit qu'il fait ça régulièrement. » Le squelette dénudé roulades orbites avant de s'appuyer sur son bras droit ( Complètement régénéré ), se redressant avant de se frotter le crâne. Oh, mais ce n'était pas le pire. Il était propre, au moins. Mais il n'était absolument pas le pire.
Sans : « Tu n'as pas vu Horror a l'oeuvre. Ce mec n'hésitera pas à me couper les jambes si il sait en plus qu'elles vint finir par revenir. Il pourrait même me bouffer la moitiée du corps, cela le rendra probablement heureux. Il est bordélique. » Oui, Horror était un cas. Il torturait pour tuer, par pour faire souffrir. Alors son tour était rare. C'était seulement un nettoyage. Nettoyage des personnes ne ressentant plus assez pour Nightmare.
Il les ramenait ensuite dans un endroit mystérieux mais Dans avait toujours soupçonné d'avoir m'ager des bouts de temps en temps.
Green : « Huh, j'espère qu'il viendra bientôt alors. » Tellement de soutien. C'était tellement réconfortant de savoir que la personne à laquelle tu parles tout les jours, lui prêtant même ta maison : Veut que tu souffres.
Green avait beau être différent, il restait sans âme, totalement à côté de la plaque.
Heh, il aurait aimé être chez lui. Sérieusement. Cela était peut-être de la faute de Cross, d'ailleurs ?
C'est à cause de lui qu'il est venu, c'est à cause de lui qu'il souffre, c'est à cause de lui qu'il a froid, c'est à cause de lui qu'il est ici.

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