Chapitre XXXII

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Il faisait froid.

Tellement froid que ces os lui faisait mal.
Sans n'était pas attaché, seulement une chaîne était reliée à sa cheville lui coupait beaucoup d'espace.
Et surtout, il faisait sombre.
Aucune lumière, rien.
Il pouvait entendre de temps à temps quelques petits gémissements ainsi que des plaintes tandis que quelques bruits métalliques suivaient.
Il était dans un endroit inconnu, totalement nu et non-armé.
Il n'aurait pas dû s'énerver.
Il n'aurait pas dû s'emporter.
Il n'aurait pas dû redevenir amis avec Cross.
Surtout pas.
C'était tellement débile. Sachant que les chaînes aspirer sa magie sans aucun doute. Il ne pouvait même pas faire apparaitre un os ! Ni se téléporter.
Et il aurait dû y penser. Il avait fait l'idiot et à présent, il se retrouvé prisonnier dans un cachot ( Ou une cage plutôt ).
C'était pathétique.
Green : « T'es vraiment con. » Super, le réveil. Toujours aussi charmant, celui-là ! Putain, il était con et inconscient, mais ce n'était pas une putain de raison.
Sans : « Viens m'aider, ou je vais t'enfoncer ta tasse de café favorite dans ton coccyx. Tellement qu'elle ne Vera plus jamais la lumière du jour. » Très peu impressionné, Green ricana et plana de nouveau dans la pièce.
Se faisant une nouvelle tasse de café avant de seiu rapprocher de nouveau de Sans, tout en flottant.
Green : « Ils sont gentils, quand même. Ils m'ont laissés une machine à café, ils ont même mit mon prénom dessus ! » Wow, quand même. Il savait que le squelette flottant aux pupilles vertes était addict à la caféine, mais il n'imaginait pas qu'il serait si bête d'accepter.
Peu importe, de toute les manières, dans les 2 cas. Il n'aidera pas, la machine n'est qu'un bonus pour éviter qu'il n'est de la rancune envers le groupe.
Il était rarement envahie, de plus.
Il s'en foutait très clairement et même si il sortait de la case, le jugement ne lui faisait plus peur.
Sans : « Tch. Débile. » Le débile étant concerné roula des orbites avant de se diriger de nouveau en direction de la machine à café dans le but de prendre la tasse étant, à présent, totalement remplie. De la fumée s'en dégageant.
Green : « Je t'ai déjà raconté ma théorie sur l'état et la société du monde de la surface. Celui d'où je viens ? C'était une des principales raisons pour laquelle j'ai étais brûlé, aussi. » Le squelette aux pupilles blanches se tourna en direction de celui aux vertes, secouant son crâne de droite à gauche. Il pouvait savoir où le Virus se trouvait à l'aide de la lumière que dégageait ses pupilles, ces dernières, illuminant de temps à autre les barons de sa prison quand il volait un peu partout.
Sans savait aussi que les cordons du sweat de Green avait probablement jouer patiemment avec les clés se trouvant accroché sur le mur.
Par pur ennui.
Il était sûr qu'il était même déjà sortit.
Ces merdes étaient tellement longues.
Sans : « Va toujours, de toute les manières je n'ai rien de bien intéressant à faire. » Joyeusement, Green s'installe à côté de du squelette dénudé aux pupilles blanches, buvant une gorgée de sa boisson favorite avant de doucement soupirer.

Sans savait que le squelette à ses côtés avait causés des dégâts inimaginables au monde de la surface.
Destruction, mafia, pollution, lavage de cerveau, manipulation et tout le reste.
Il aurait put facilement détruire toute la population sans difficulté.
Mais il cherchait de l'amusement et une façon de ne pas s'ennuyer.
Green : « Peux-tu d'abord me citer les principales sources corrompus de l'humanité depuis des siècles et de siècles ? » Quelques Petites minutes passèrent tandis que Sans releva son regard en direction du plafond, il soupira lui aussi alors que le squelette à sa gauche peut une nouvelle gorgée de son breuvage.
Sans : « Le sexe, l'argent, et l'ennui. » Exactement. C'était ça. L'ennui était la pire des choses.
Et quand on était ennuyé, souvent, on cherchait à s'occuper.
Et la chose que les hommes cherchent tout particulièrement est le bonheur matériel.
Mais le bonheur était éphémère. Non ?
Green : « J'avais comparé le système de l'état à un gros programme pour faire en sorte que la population subisse un lavage de cerveau. Dans mon sens, le système scolaire formait des salariés pour ensuite les balancer dans un lieu de travail où ils auront de l'argent. Puis ensuite, tu devras faire comme tout le monde. Acheter une maison, avoir une voiture, payer tes dettes, et tout le reste. Et comme tout le monde souhaite être heureux, le bonheur matériel vaut de l'argent, et l'argent, on l'obtient en étant exploité comme des animaux. J'ai un viel ami, avant, qui avait tué un professeur et avait prit la place de ce dernier en prétendant être un remplaçant. Ensuite, il avait directement demandé à des collégiens en 3ème de copier 10 une phrase totalement stupide sachant que chaque lettre devait être d'une différente couleur. Et devine quoi ? Les élèves l'ont fait. Et s'en cesse, quand un de ces élèves tentaient de négocier ou de dire que c'était complétement stupide il rajoutait du nombre et des contraintes. Les élèves ont finis par arrêter au bout de 40 car ils ont trouvés ça étrange et il m'a passait l'info. Les élèves n'ont même pas réfléchi et on automatiquement copié sans se poser de question. Tu te rends compte ? C'était une consigne totalement stupide, mais ils l'ont fait ! Une élève s'était ensuite levait et avait déclaré : “ On ne sait pas donner le droit de désobéir étant donné qu'un professeur est une figure de respect qui ne cesse d'en demander. On a juste obéi, c'est tout. Et de toute les manières, si ce n'était pas un test, nous n'aurions rien dit. ”. Impressionnant, non ? » Le squelette aux pupilles blanches secoua son crâne de haut en bas avant que Green ne fasse flotter sa tasse en direction de la machine, la laissant attendre.

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