Chapitre XXX

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Cross se tenait just en face du bureau de Nightmare, ce dernier, enragé et mécontent. Serrant fortement ses mains l'une contre l'autre, ses phalanges : S'entrelacent.
Nightmare : « Nous avions normalement établis des règles claires au sein de ce putain de manoir. Cross. » Le concerné roula des orbites, poussé par une montée douce d'adrénaline ainsi qu'autre chose n'étant pas très fiable mais pouvant être décrit comme de la concurrence.
Cross : « Totalement stupides, mais oui. Des règles. » En à peine une fraction de secondes, un tentacule balança son corps contre le mur, puis au plafond ainsi qu'au sol.
Il sentit une de ses côtés se faire brutalement briser. Son fémur gauche obtenant la même résultat que la côte.
Nightmare : « Je t'interdis de me parler de cette façon. Tu sembles avoir trop prit la confiance. » Cross Toula des orbites en léchant ses lèvres – Squelettiques –, plaçant une main sur sa côte et l'autre au sol dans l'espoir d'obtenir un peu d'équilibre.
Il poussa un gros grognement et le maître des lieux dit de même, agacé.
Comment osé il ? Comme osé t'il désobéir en plus d'être allé voir sa cible ?
Quel putain de salop.
Cross : « Il m'a embrassé. » Le Cauchemar élargit ses orbites en même pas une seconde, le squelette blessé esquiva tout juste un tentacule, le deuxième l'avait bien frappé, l'envoyant dans un autre mur.
Nightmare frappa encore à plusieurs reprises avant que sa colère ne se dissipe. Son regard était remplit de couteaux.
Nightmare : « Il t'a embrassé ? Toi ? Vraiment ? La personne qu'il haïe le plus après moi ? » Cross hocha son crâne avant de doucement se relever, appuyer contre le mur tandis qu'il cracha un peu de sang ( D'une belle couleur violette claire ).
Ses dents se resserrent quand la douleur redonne quelques coups violent dans ses os.
Cross : « Et s'il apprend que tu m'as blessé, il va sûrement s'énervé. Tu sais, dans le genre où il t'arrachera le crâne ou qu'il remplacera tes côtes par tes fémurs. » Nightmare attrapa un livre se trouvant sur son bureau avant de violemment le balancer à travers la pièce. Ses orbites se plissant et ses 2 mains s'accrochant avec haine sur les côtés droit et gauche de son bureau.

Comment osait t'il le menacer ?

Je veux dire, c'était son Patron ! Pas un simple petit connard comme lui.
Et il osait l'insulter, le désobéir et en plus : Le menacer !
Comment pouvait t'il ?
Ah oui, Sans était probablement de son côté.
Ou mentait t'il ? Oui, il mentait ! C'était ça ! Absolument ça !
Le gardien des émotions négatives poussa un rire mauvais et lourd. Bruyant.
Sans n'était plus si miséricordieux, si ?
Nightmare : « Bonne blague, Cross ! Bonne blague, j'avoue ! » Le concerné roula des orbites en essayant d'être le plus sérieux qu'il le pouvait, il lança, de son regard, des couteaux à Nightmare.
Ce dernier frissonne, il s'arrête, ensuite, de rire.
Attend, c'était vrai ?
Non, quand même pas ?
Cross : « Ce n'est absolument pas une blague, Patron. » Le concerné avait l'impression d'avoir reçu une brutale claque de réalisation. Lui disant avec une voix dure : “ C'est vrai et tu es mal si il balance la merde que tu lui as fais. ”.
Très mal, oui.
Mais il n'oserait pas, hein ?
Nightmare : « Dégage de mon bureau, espèce de connard. » Il avait de l'avance, oui.
Beaucoup trop.
Mais ça changera rapidement, il allait avancer dans son plan.
Il cria le nom du Destructeur dans un ton amusé et colérique.

De retour dans sa chambre, Cross se dirigea en trottinant vers son lit. Sautant sur ce dernier avant de doucement serré les couvertures.
Il avait enfin un moyen de défense !
Putain, oui !
Il n'avait plus à se laisser faire ! Plus maintenant ! Il suffisait que Sans soit à ces côtés pour que tout change !
Si il avait su, il ne l'aurait jamais trahi.
Mais c'était surtout trop tard et il devait recommencer tout jusqu'à zéro.
Mais bon, c'était déjà un bon départ, très bon départ. Nightmare commençait à devenir paranoïaque, il le savait, surtout en ayant entendu le nom d'Error parcourir les couloirs du manoir. Ce dernier répondit en hurlant : “ ¡, ₱μ¡ⁿ ?
Il poussa un baillement, grattant l'arrière de son crâne alors que ses plaies continuaient à saigner. Fortement.
Bon, il allait devoir se débrouiller, pour sûr.
N'empêche, cette journée avait été merveilleuse.

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