Assit à côté de Green, Sans lisait tranquillement un livre d'enquête.
" A Father's Story " — Lionel Dahmer.
Wow, l'envie de chialer se répand dans ses orbites tandis qu'il commence doucement à frotter ses orbites dans un mouvement de pendule.
Il accrochait trop facilement les séries, franchement. Surtout les comptes qui s'étaient vraiment passé.
Il y avait toujours un sentiment plus fort que la création imaginative du créateur. La réalité qui dépasse la création. Inspirant.
Très inspirant.
Mais c'était souvent mieux d'être spectateur que d'être là victime ou le tueur.
Mais du point de vue de Sans, il jouait 2 rôles ( Cela était pareille pour Green, d'ailleurs ) : Celui du meurtrier et du spectateur.
Être une victime n'était plus dans ses plans, et il espérait que la nouvelle force qu'il avait obtenu allait l'aider à cette tâche.
Cependant, il était à présent en difficulté colossale car les regards qu'il avait senti était tellement nombreux.
Très, très nombreux.
Green : « Dit, il est bien, ton livre ? » L'hôte hocha son crâne avant de changer de page, le son du papier était assez détendant quand on y pense.
Sauf quand il s'arrachait. Surtout quand il s'arrachait.
Il n'oserait pas déchirer un livre, ô grand jamais !
Si il le faisait un jour, cela sera sûrement parce qu'il était possiblement hors de contrôle ou en rage.
Hors de contrôle ou en rage.
Peu importe, il devait tenter de se détendre étant donné que les temps sont devenus plus mouvementés.
Il avait espéré qu'il ne découvre pas en premier lieu, mais cela devait bien arriver, tôt ou tard.
Sans : « Et la série ? Elle est réaliste ? » Green hocha son crâne avec rapidité tandis qu'il reprit la télécommande pour monter le son, légèrement.
L'accent américain était si silencieux quelques fois.
Green : « J'ai prévu de regarder le dernier " Halloween ", il a l'air bien. Surtout les bruitages. Et je vais peut-être me re-taper " Massacre à la tronçonneuse ". » L'hôte roula des orbites avant de placer un marque-page dans son livre pour pouvoir repérer où il avait arrêté sa lecture, il s'allongea dans le canapé en étirant ses articulations et, par la même occasion, son corps tout entier.
Sans : « Je déteste tout ce que se passe, putain. » Le squelette aux pupilles vertes tapota le crâne de celui aux pupilles blanches avant de l'attraper par le col pour l'attirer sur ses fémurs, bâillant maladroitement en enfonçant son crâne dans le col de son sweat, fermant ses yeux d'une façon douloureuse, même si il ne souffrait aucunement.
Green : « Je sais, je sais. Mais n'oublie pas, tu es plus puissant qu'eux réunis. » Le squelette au sweat vert avait sûrement raison, pourquoi s'inquiéter ?
Bien sûr, il avait quelques limites infranchissables ( ? ), mais il n'était plus faible. Plus maintenant.
Cependant, il savait pertinemment qu'il continuerait de descendre dans un abysse remplit de péchés et de sang de ses victimes.
Combien en avait t'il tué d'ailleurs ?
Il ne sait plus, il ne voulait pas compter.
Il n'avait jamais voulu compter, mais les autres l'obligeaient.
Il lâcha un profond soupire avant de se sentir partir dans un monde sombre, seulement un peu meilleur que l'abysse.
Peut-être était ce pire ? Il ne sait pas.Et il ne voulait pas savoir.
Il faisait froid.
Très froid. Tellement froid qu'il n'arrivait plus à sentir ses propres os.
Il était paralysé sur place, allongé sur le sol dur, juste en face d'un grand canapé.
Nu.
Merde ! Merde ! Ne me dites pas que je suis retombé dans un autre cauchemar de Nightmare ? Avait t'il pensé tandis qu'il se redressa lentement sur ses genoux.
Les sentant craquer sous son propre poids, il posa ses mains sur le sol et ensuite sur ses fémurs.
Il jura en grognant de frustration, comment avait t'il put se retrouver encore une fois ici ?
Mais ses pensées s'étaient dirigés en direction du Roi des Cauchemars.
Et si il était là ? Dans le manoir ? Marchant lentement jusqu'à sa proie complètement paralysé par le froid ?
C'était déjà incroyable qu'il se souvienne que Sans détestait le froid.
L'Original pousse un profond soupire avant de se tortiller, ses côtes commencent à lui faire mal.
Seulement, il n'eut même pas le temps de penser une nouvelle fois qu'il fut brutalement saisi par sa cage thoracique, ramené contre un torse hautement chaud et comfortable.
Non, il n'était pas censé penser ce genre de choses !
Il se retourna pour pouvoir connaître la personne qui l'avait attrapé.
Il se raidit en voyant le visage d'Horror aussi prêt.
Était-ce un cauchemar ou Nightmare a prit la liberté de laisser ses subordonnés s'infiltrer dans le cauchemar du squelette aux pupilles blanches ?
Sûrement.
Ce dernier poussa un grognement, sentant la veste du squelette à la moitié du crâne manquant se refermer sur lui.
Il hésite un moment, la chaleur est réconfortante et les battements d'âme qu'il arrive à entendre de la cage thoracique de l'horreur devienne presque réconfortant.
Sans : « Lâche-moi. » Il sentit le crâne du squelette le maintenant se tourner de droite à gauche avant que ses bras ne se serrent de nouveau.
Le squelette aux pupilles blanches observa les environs, il écarquilla ses orbites avec effroi et surprise. Sans oublier le choc.
Dust : « Incroyable, tu ne nous a même pas remarqué. » Attend, attend, attend.
Petit rappel.
Il était nu.
En à peine quelques secondes, il se cambra, se rapprochant ensuite du torse d'Horror. Cachant son rougissement avec honte tandis que tout les regards étaient sur lui. L'observant avec attention.
Il détestait le froid, hein ?
C'était bon à savoir.
Sans : « Va te faire foutre. » Dust roula de ses orbites avant de sortir un paquet de cigarettes de la poche de sa veste, prenant une de ces dernières, saisissant la mâchoire de l'Original. Plaçant la clope dans sa bouche.
Bientôt, il alluma cette dernière avec son briquet.
Dust : « Fume. Ça réchauffe. » Malgré lui, Sans ne put s'empêcher de faire voir son majeur au poussiéreux, le remerçiant peut-être mentalement.
C'était la première fois qu'il était gentil avec lui.
Avant, le squelette aux pupilles blanches n'étaient qu'une simple cendrier périmé ou un amusement quotidien pour échapper à l'ennui permanent.
De la fumée s'échappe de sa bouche ; de son orbite droit ; ainsi que de ses conduits nasaux.
Error : « $ø¡t ₱/(_)$ $y/\/\₱ª ª\/€¢ ⁿ⁰u$, ₱º(_)₹ /'¡ⁿ$tªⁿt : ∅ⁿ ⁿ€ t'ª ₱a$ b\€$$é. » Son majeur se dirigea ensuite en direction du Destructeur qui poussa un grognement de bariton de sa voix remplit d'interférences.
Il roula ensuite des orbites pour finalement se suspendre au dessus du sol à l'aide de ses fil.
Le plus petit retira la cigarette de sa bouche avant d'expirer la vapeur cendrée. Il reposa ensuite la créatrice de cette dernière entre ses dents.
C'était t'il adouci ? Il ne l'espérait pas mais une petite pause bien méritée était nécessaire. Peu importe le genre.
Sans : « Qu'est ce que vous me voulez ? Et pourquoi fait-il aussi froid ? » Il lâcha un juron avant de doucement se pencher vers l'avant, déposant son crâne sur l'épaule d'Horrror.
Il était tellement épuisé que sa pauvre petite conscience ne se préoccuper même plus de son environnement – Cependant, Shattered n'était pas là, il se considérait trop intelligent, alors, il avait décidé d'éviter de ruiner son plan à l'eau car son aîné voulait intimider sa proie –.
En à peine quelques secondes, le squelette aux pupilles blanches rapprocha un peu plus ses jambes de son corps, étant donné que le bout de ses pieds commençaient à lui faire horriblement mal à cause de la froideur de la salle.
Un mélange de manque de chauffage ainsi que d'auras glaciales, hein ?
Ouais, ça passait. De toute les manières, il commençait à avoir l'habitude avec Green, je veux dire : Il a un virus à ses côtés depuis 3 mois et il ne fait jamais de crises ou de commentaires à cause de cela. C'était un record, non ?
De base, l'aura était la chose la plus importante. Mais Sans commençait doucement à classer les auras comme des simples LV de puissances naturelles qui envahissent les lieux.
Cross : « Demande au Patron. Ce cauchemar, c'est sa création. Pas la nôtre. » Brutalement, le squelette nu craqua sa nuque en direction du squelette adossé au mur, la partie inférieure de son visage enfoui dans son écharpe noire et blanche.
Oh là là, il allait péter un câble, ici et maintenant.
Ce traître ? Il le détestait, à présent. Il avait très clairement tenté de le tuer et en plus, pour en rajouter un maximum, il lui avait brisé l'âme à cause des évènements d'il y a 3 mois.
Il tenta de s'échapper des bras de l'horreur, mais la force de ce dernier était multiplié étant donné que ce cauchemar était à eux.
Et non à lui.
Sans : « Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. Je vais te buter. je vais te buter, Cross ! » L'envie de tuer, oui cela le lui avait manqué.
Je veux dire, cette vraie envie de tuer.
Cela n'était pas un ordre ou une pulsion.
Juste une émotion instable et hystérique qui démarre souvent d'un feu à un incendie rempli de cendre et de fumée toxique.Comme cette relation.
Oui, comme cette foutue relation de merde qu'il avait tenté de comprendre il y a 3 putains de mois !
Et voilà, le résultat !
Une colère noire contre un abandon, un trahison au sang froid.
Tué une âme mais pas un corps.
Il aurait préféré entendre ses os craquer que son âme hurlait.
Mais le passé était le passé et il ne pouvait changé ; Ni le Passé ; Ni le Présent ; Ni le Futur. Jamais, jamais, jamais.
Mais il pouvait changé sa vie et ses erreurs.
Et la plus grand erreur qu'il aurait put faire dans toute sa vie est d'avoir place sa confiance à quelqu'un qui était trop égoïste pour se soucier de la petite personne du type ou de la meuf d'à côté.
Foutue vie, foutue travail, foutue destin, foutue passé, foutue présent, foutue connards, foutue Nightmare, foutue Green, foutue tout le monde.
Aller tous vous faire foutre bande de saloperies !
Il inspiré et expire en sentant des mains attrapés le dessous de ces aisselles pour le soulever et ainsi le retourner en direction du personnage qui l'avait libéré de l'étreinte d'Horror.
Reaper : « Wow, ça fait bizarre de pouvoir toucher quelqu'un sans qu'il ne meurt. » L'Original n'avait senti qu'une petite secousse au niveau de ses HP mais rien de plus. Un simple petit grattement maladroit à son âme.
Mais le choque et la surprise était là.
Sans : « Oh putain, un satanique pervert ! » Il tenta de se libérer mais l'emprise était d'autant plus forte que celle du squelette 2 la moitié du crâne manquant.
La mort s'assit de nouveau sur le canapé avant de totalement recouvrir le plus petit qui avait encore et toujours sa cigarette dans sa bouche, réchauffant ses lèvres – Squelettiques – avec difficulté.
La robe du faucheur était presque tout autour de l'Original apparaît une chaleur inconnue mais chaleureuse.
Killer : « Putain, Reaper ! Il a raison ! » Continuant de rire à gorge déployée, le tueur aux larmes noires se plia en deux, plaçant ses avants bras en face de son bassin – Inexistant, d'ailleurs –.
Oui, il trouvait ça marrant, et au fil du temps, ses collègues commençaient à rire eux aussi.
Mais le concerné était trop occupé à découvrir la sentation d'un touché " vivant ".
Bizarre mais tellement bon.
Il pouvait faire tellement de choses, à présent !
Comme, comme ! Huh, il y avait tellement à faire.
Mais il savait qu'il allait devoir attendre étant donné que Sans ne semblait pas être quelqu'un de docile et obéissant.
Il avait plutôt un caractère de pétard.
Ou une bombe ( Dans les 2 sens, littéralement au caractère mais réel sur le corps – Le physique – ). Plus un bombe. Cela faisait toujours plus de dégâts, et c'était souvent magnifique et jolie quand ça explosait.
Ouais, une bombe.Impatience.
À suivre.
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Private Property - (Classic Sans x Bad Sanses)
FanficSans vient tout juste de se faire virer de la Bad Sanses. Ils n'avaient plus besoins de lui, il était devenu un fardeau contre la Star Sanses, ou même dans la vie de tout les jours. Mais ils seront bien heureux de voir à quel point ce renvoi là aff...