Chapitre XLV

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Sans déglutit une nouvelle fois.

Cela ne faisait à peine quelques secondes après la question de Green qu'il commençait à se dire : ‘ Comment savait-il ? ’
Il jura silencieusement en mordant sa langue.
Se demandant que faire, que dire.
Devait-il mentir ? Mais il le savait, non ? Et si c'était un test ?
Sans : « Je. Non, rien. » Green lui lança un regard fou de rage avant de le gifler brutalement, attrapant son col avant de le fixer dans une sorte de rage inhumaine.
Green : « Sans, c'est sérieux. Tu sais à quel point ce type est dangereux. Et si j'apprends par n'importe quel moyen que tu l'as vu et que tu ne me l'as pas dit. Je vais te briser les os un par un pour ensuite les broyer jusqu'à ce qu'il devienne poussieres. Tu es sous ma commande. Réponds à ma question : As-tu eu un putain de contact avec Zelenyy ? » Le squelette aux pupilles blanches déglutit en sortant du lit, s'habillant rapidement, faisant attention à ne pas paraître suspect.
Il devait le dire, il le sait.
Mais ne soyons pas si pressé, il préférait attendre que ce soit vraiment le bon moment.
Il était quelle heure déjà ? 6h du matin ?
Et bien il allait juste attendre qu'Horror finisse le petit déjeuné! Il avait du temps jusqu'à là.
Sans : « Je te le dirais pendant le déjeuner, d'acc ? » Le squelette aux pupilles vertes roula des orbites, grincent des dents avant de sortir de la chambre, toujours très en colère.
Sans laissa échapper un soupire fatigué et tremblant en pensant à ce que pouvaient bien vouloir dire ces cadavres.
Ça le rendait malade et paniqué, sachant qu'il l'était déjà beaucoup trop. 
Il jura silencieusement, massant son crâne avec ses ongles.
Il voulait crier. Il en avait marre. Pourquoi rien ne se passait comme il le voulait? Pourquoi tout devenait sans cesse difficile quand tu ne faisais pas assez d'effort ?
Mais on faisait toujours de son mieux. On s'y tuait toujours à la tâche, et le monde restait cruel et sans pitié car il avait besoin de voir que vous souffrez et que vous faites partir de la réalité qu'était ce monde remplit de gens hypocrites qui non sans cesse répétait des absurdités aux autres pour le propre bénéfice. Et même s'il l'avait tellement fait, aujourd'hui, il avait du regret. Il se sentait mal d'avoir menti à tellement de gens car il croyait qu'il avait besoin de vivre plus qu'eux. Mais aujourd'hui, il s'en rendait compte car il souffrait.
Il souffrait car il avait mal agi. Il était puissant, pourquoi ne pas juste effacer tout au complet ? Quand a t'il fait sa dernière sauvegarde ?
Il abandonne rapidement cette idée quand Cross revient à son esprit.
Il l'avait tellement oublié pour une seconde, c'était pour lui qu'il avait de nouveau rejoint le groupe de Nightmare. Il ne devait pas reculer, pas tant que les gens qu'ils aiment soit en sécurité.
Il inspira et expira avant de tourner son regard en direction de la porte.

Autant descendre en bas, il n'avait rien à faire dans sa chambre de toute les manières.

Il se dirigea dans de grands pas vers la seule issue de la pièce (Excepté la fenêtre), la traversant et la fermant derrière lui tout en lançant un regard rapide autour de lui.
Rien.
Il soupire avant de diriger une nouvelle fois son regard, cette fois, vers les escaliers.
Il y avait du mouvement en bas. Ça s'entendait, il y avait des cris et des rires ainsi que de gros sons de claquement.
Il se dépêcha de descendre en bas tout en frottant ses orbites, faisant attention à ne pas louper par malheur une marche.
Que se passait-il pour qu'ils soient aussi énervés à 6h du mat' ?
Killer : « Hé, Dust, tu parles encore tout seul ? » Avait crié bruyamment le squelette aux larmes noires avant de faire tourner son couteau entre ses phalanges. S'approchant de Dust avec un air joueur et malicieux.
Dust : « Killer, laisse moi tranquille, j'suis pas d'humeur. » Le concerné ricana avant de répéter quelques paroles qu'avait dit le poussiéreux, ajoutant un timbre d'idiot pour accentuer la connerie.
Sans : « Hey, tu fous quoi, fouteur de merde ? » Le concerné ' fouteur de merde ' se retourna en direction avant de sourire d'une large façon, tellement large que ça pourrait même devenir douloureux si il s'en souciait réellement.
Killer : « Ce que je fais d'habitude, je fous la merde. » Le petit squelette aux pupilles blanches s'approcha du duo avant de fixait Dust quelques secondes, remarquant une sorte de tristesse à travers les traits de son visage.
Sans : « Qu'est ce que tu lui as dit ? » Le squelette à la cible rouge regard Sans dans les orbites avant de pancher son crâne sur le côté, souriant toujours. Mais de façon folle et singulière.
Killer : « La vérité- » Il est brutalement coupé dans sa phrase, Sans ayant tout simplement attrapé son col. Le tirant proche de son visage et le menaçant du regard. Lui faisant comprendre qu'il n'était lui aussi pas d'humeur.
Sans : « Ta gueule, et réponds correctement à ma question. » Le squelette aux larmes noires jura avant de reculer en arrière, alerter par le regard haineux du plus petit tandis qu'il pouvait sentir toute la pièce se concentrait sur la scène.
L'Original grogna.
Killer : « Je l'ai traité de cinglé schizophrène. C'est un putain de cinglé. » Killer reçoit une gifle puissante sur sa joie – Osseuse – droite.
Que vient t'il de faire, a t'il vraiment osé me frapper, moi ?
Que vient t'il de faire, a t'il vraiment osé me frapper, moi ?
Que vient t'il de faire, a t'il vraiment osé me frapper, moi ?
Que vient t'il de faire, a t'il vraiment osé me frapper, moi ?
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Que vient t'il de faire, a t'il vraiment osé me frapper, moi ?
Que vient t'il de faire, a t'il vraiment osé me frapper, moi ?
Que vient t'il de faire, a t'il vraiment osé me frapper, moi ?

Il allait répondre à cette claque Sans et Dust avait déjà disparu de son champ de vision. Il grogna rageusement en massant sa joue – Osseuse – enflammé par la marque d'une main.

Il allait se venger.

Et il savait comment.

Sans referma la porte de sa chambre derrière lui, se tournant en direction de Dust avant de soupirer.
Sans : « Ça arrive souvent ? » Le squelette capuché soupira lui aussi avant de s'asseoir sur le lit, sortant un paquet de cigarettes ainsi qu'un briquet.
Très ennuyé.
Il grommela quelques insultes envers Killer avant de s'approcher un peu plus de Sans.
Dust : « 1 mois. Et pourquoi me défendre ? Je fais littéralement partie de ceux qui t'ont torturé. Sans. Tu es censé me détester, pas me sauver de ce genre de conneries immatures de la part d'un gamin qui pleure de l'encre qui à probablement le goût de merde. » Le squelette aux pupilles blanches gratta l'arrière de son crâne avant de s'allonger sur son lit, fatigué et étourdi.
Sans : « Pas grave. Je ne voulais juste pas qu'il te traite comme ça. Les maladies mentales sont des choses sérieuses. » Alors je ne vois pas pourquoi cela serait marrant quand il n'est, de plus, pas mieux que toi.
Sans le savait car il avait subi des moqueries, lui aussi. Bien pire que cela mais il en avait reçu.
C'était juste un moyen de se sentir supérieur à quelqu'un car on était en insécurité à cause de sa condition. In a tous un point faible et malheureusement le sien était toujours visible au mauvais moment. Toutes ces fois où il aurait pu éviter de finir blesser car il n'avait juste pas fait gaffe.
Il grogna en se souvenant de chacune de ces mauvais souvenirs.
Il regarda Dust quelques secondes.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain. 
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.
Je ne dois pas avoir d'empathie pour lui putain.

Sans grogna encore une fois en se sentant doucement partir de nouveau dans le monde des rêves. Une pression sur son dos le rend légèrement étourdi.
Il grogne une nouvelle fois avant de complètement fermer ses orbites.

Il se détestait pour avoir de la pitié pour ce type de personne, sérieusement.

À suivre.

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