Love Me [ Tome II ]

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Voilà une semaine après m'être fait pris pour un psychologue par Jennie. Avoir découvert cette partie d'elle a changé ce que je pensais d'elle.

Elle a un fond touchant.

Comme on le dit "On ne juge pas les gens qu'on ne connait pas", et c'est vrai. Je ne connaissais pas Jennie sous toutes ses formes, et c'était assez contraignant.

Aujourd'hui, une semaine après. Je sais.

Je suis sur le point d'aller chercher Jisoo, et de l'emmener manger au restaurant. Elle m'avait manqué, mais je n'avais pas le temps de venir la voir cette semaine.

— Bonjour Taehyung. Fit Madame Kim.

— Bonjour, comment allez-vous Madame Kim ? Demandai-je en me courbant.

— Très bien. Tu viens voir Jisoo ? Elle se prépare ! Entre donc pendant ce temps.

— Merci beaucoup, Madame Kim.

J'entre alors la maison de Jisoo que je connais comme ma poche. Je ne sais combien de fois j'y suis entré, mais j'aime leur maison.

— Taehyung ? Mais c'est fini notre semaine de psychologie. Fit Jennie en dévalant les escaliers.

— Bonjour d'abord.

— J'aime pas dire bonjour.

— Je sais. En fait, je viens chercher Jisoo. On compte sortir un peu.

— Attends, et le bébé ? Fit-elle en chuchotant.

— Je ne sais pas. Il faut qu'on aille voir.

— Tes parents sont au courant ? Demande-t-elle.

— Non, toujours pas.

— C'est pas une bonne chose.

— Arrête de me juger, non ? Fit je avec humour.

— Jamais de la vie, Kim Taehyung. Fit-elle en rigolant, je rigole en retour.

— Elle est dans sa chambre Jisoo ?

— Ouais, elle se prépare je crois. Elle est sous la douche depuis plusieurs minutes.

— D'accord, je monte. Oh, attends et Monsieur Kim il est la ?

— Au boulot. Réponds-t-elle.

— Ok, merci.

— Pas de soucis.

Je dévale rapidement les escaliers, étant donné qu'on ne sait plus vu depuis un bon moment. Lorsque j'entre dans sa chambre, elle est déjà habillé. En robe noir moulante, et des talons rouge.

— Woah. T'es magnifique, mon amour. Fit-je.

— Bonjour, fit-elle.

— Bonjour, fit-je en m'approchant. Je suis désolé d'être entré comme ça, tu m'as tellement manqué.

— Toi aussi. Ce n'est rien, c'est chez toi ici.

Je la prends dans mes bras et hume son parfum. Elle m'avait tellement manqué. Je lui fit un baiser sur le front, et la repris dans mes bras fermement.

— Tu vas bien ?

— Oui, et toi ? Me demande-t-elle dans mes bras.

— Un peu galère le boulot, mais ça va. Et toi, notre bébé va bien ? Il grandit petit à petit non ? Fit-je en m'abaissant vers son ventre.

— Tout va bien. Je vomis de plus en plus, et j'ai pris quelques kilos. Mais ce n'est pas voyant.

Je fis un doux baiser sur son ventre, et remonte vers son visage.