PULCHERRIMAA_ PRODUCTION ©️.
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Ouvrant la porte de ma maison à l'aide de mes clés, j'ai mis ma main sur la poignée afin d'exercer une pression sur celle-ci et ensuite rentrer chez moi en refermant à clé la porte derrière moi.
Plus que fatiguée, j'ai retiré mes chaussures que j'ai laissé dans le hall d'entrée et ai déposé mon sac sur la table basse du salon.
Tout était calme. Il n'y avait aucun bruit. Ce qui m'a poussé à penser que tous les habitants de cette maison étaient en train de dormir.
Je suis allée me laver les mains dans la salle de bain et j'ai pris mon téléphone dans mon sac après m'être essuyée les mains.
En entrant dans la cuisine, j'ai été surprise de constater que tout était parfaitement rangés et nettoyés. Me décrochant même un petit sourire.
Des lèvres se sont posées sur mon cou en même temps que des mains sur mes hanches ce qui m'a légèrement fait sursauter.
... — Je te fais peur maintenant ?
Je secoue négativement ma tête en me retournant pour être face à lui. Et par son petit rire, j'ai souri.
— Non du tout. Je pensais que tu dormais.
... — J'étais parti laver et coucher les enfants.
Je passe mes bras autour de sa nuque en l'embrassant tendrement. Monsieur en désirait plus alors nos langues sont rentrées en jeu.
Afin d'éviter tout débordement, j'ai mordu sa lèvre inférieure.
Et c'est ainsi que j'ai posé ma main droite sur sa barbe que j'aime tant toucher. Je ne saurai expliquer pourquoi mais c'est un de mes passe-temps favori quand je me tiens près de lui.
... — Comment s'est passée ta journée ?
— Plus qu'épuisante. J'ai juste envie de dormir.
... — Va prendre ta douche habituelle je m'occupe du reste. Je vais te préparer de quoi manger pendant ce temps-là. Prend tout le temps dont tu auras besoin.
Punaise mais qu'est-ce que je ferai sans lui ?
Je dépose un petit baiser sur ses douces lèvres.
— *sourire* Merci. Merci de t'occuper des enfants comme tu le fais. Merci de prendre autant soin de nous Yoakim. Je sais pas ce que j'aurai fait sans toi.
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« Est-ce nécessaire d'aimer ? » [II].
General FictionEn cours d'écriture. On ne peut pas empêcher un cœur d'aimer.